America is back

Great day, big hopes !

Posté par ATB le 28 novembre 2016

Quand je me suis mis devant mon PC, vers 4h30, le matin du 8 novembre dernier, je n’en croyais pas mes yeux, Trump était en train d’enlever les Etats américains les uns après les autres, la Révolution était en marche, je voulais son élection, je croyais en son élection, mais j’avais pourtant essayé de me convaincre de son échec pour ne pas avoir le moral dans les talons s’il devait échouer….Ouf, il a réussi, il avait tout le monde contre lui, les médias, la plupart des politiciens, même dans son propre camp, on lui crachait à la figure, il s’est battu, il a tenu, il a fait face seul contre tous, il a gagné et le voilà maintenant Président élu des Etats-Unis, c’est grandiose, en politique il n’existait pas, il vient de nulle part, ce simple fait est déjà admirable, exceptionnel et confirme également que c’est un tout grand bonhomme, un homme pourtant inclassable, il n’est ni à gauche, ni à droite, il n’est pas réellement conservateur, certainement pas socialiste ou communiste (tout de même !), pas purement libéral, il n’appartient à aucun courant de pensée déterminé, c’est un homme libre, indépendant, un homme réaliste, pragmatique qui me fait penser aux « socialistes » qui ont fondé l’Etat de Singapour et à ceux qui ont redressé la Nouvelle-Zélande (j’en parlais ici et ici). Une chose est certaine, c’est un homme fort qui sait ce qu’il veut et qui souhaite en terminer avec le système politique actuel qui a conduit tant de gens médiocres, opportunistes, corrompus au pouvoir et qui ont totalement pourri l’Amérique.

Trump veut tout nettoyer, remettre le Peuple américain au travail et lui rendre également sa dignité, ses droits élémentaires garantis par la Constitution américaine qui était gravement menacée par le clan Obama/Clinton qui voulait faire d’une œuvre majeure, un vulgaire chiffon de papier. Grâce au Ciel, Trump est arrivé, Jefferson, Georges Washington, Benjamin Franklin et leurs pairs peuvent dormir tranquillement, la menace est écartée, leur Amérique est sauvée, nous reculions, dès demain nous avancerons dans la bonne direction cette fois.

Quand on annoncera plus tard son élection définitive, j’étais très ému, j’ai immédiatement pensé à toutes ces années perdues à cause de cette doxa gauchiste malfaisante qui nous a cloué le bec partout avec injustice et parfois même violence. La gauche peut tout faire, elle utilise le terrorisme intellectuel par le biais de l’injure, du mensonge, de l’amalgame ou du procès d’intention à l’encontre de tous ceux qui ne pensent pas comme elle, je l’ai subi cent fois, mille fois sans doute et je ne suis pas le seul.

Rappelez-vous, j’en parlais ici, lors d’un dîner privé, un sinistre abruti, de gauche bien sûr, m’a insulté, traité de con, de fasciste et d’ignorant parce que je mettais en doute « l’islam des Lumières », une espèce «d’islam magique » qui est supposé avoir régné sur la péninsule ibérique pendant la période de l’occupation musulmane. Le mec ne voulait pas en démordre, je ne lui avais pourtant rien demandé, nous revenions d’Andalousie où je compte des amis, c’est lui qui a lancé le débat que j’ai  évidemment refusé pour ne pas casser l’ambiance. J’ai vu venir à cent lieues « mon bonhomme » aux pieds de plomb, à l’esprit lourd, fermé et partisan, j’ai compris tout de suite qu’il voulait en découdre, évidemment, comme tous les irréductibles crétins doctrinaires il n’a rien voulu entendre, il s’est emballé, il s’est agité dans tous les sens bruyamment et, soudain, comme une marionnette folle, il s’est barré sans prévenir en plantant tout bonnement sa nana sur place. Nous étions suffoqués, sa compagne surtout, ces évènements datent de deux ans, on ne les a plus revus…  

Cette andouille violente et vociférante est pourtant le petit copain de l’une des meilleures amies de ma femme, beau résultat, quel imbécile, je suis certain, qu’en plus, il est content et très fier de lui !

Mais, le principe est connu, quand vous n’êtes pas à gauche, les gauchistes vous réduisent immédiatement à un disciple d’Hitler, même si vous êtes un modeste libéral, un simple conservateur, un mélange des deux ou un type réaliste !

Tous les partis européens de gauche assistés de la plupart des partis de droite traditionnels et des médias mainstream ont dit que Trump, Romney, Bush, Thatcher, Reagan, pour ne parler que d’eux, étaient des fascistes ou des extrémistes de droite, Libération a même titré un jour,

« Romney, l’horreur américaine ». Pourquoi pas, tant qu’on y est !

A part ça, la gauche est tolérante, évidemment non, c’est tout le contraire !



Pour en revenir brièvement à « l’islam des Lumières »,  « ce sont de six à huit millions d'esclaves qui ont été vendus pour le plus grand nombre au califat de Damas, et, du septième au dix-neuvième siècle, ce sont de l'ordre de vingt millions d'esclaves noirs et blancs qui ont été castrés, prostitués et exploités par les califats musulmans », mais pas seulement, c’est aussi une suite invraisemblable de persécutions, de massacres, de décapitations  et d’horreurs en tous genres…Mais la vérité historique ne peut être dite, le dogme doit subsister au prix de tous les mensonges, de toutes les trahisons, de toutes les contraintes, de toutes les insultes et de toutes les censures.  

Plus tard, c’est le Sieur Mettout, qui n’est (n’était ?) rien de moins que le responsable du site internet de L’Express qui me censurait sauvagement en invoquant des prétextes mensongers, ensuite ce sera au tour de Nicolas Jacobs, le médiateur de l’information de France Télévision, il me fermera scandaleusement la porte sur le nez en prétendant qu’il ne répondait pas aux invectives, je ne lui avais écrit qu’un seul petit mot, le voici : « On a dû m'oublier depuis le 2 avril , alors voilà mon dernier texte… ».

Où sont les invectives, il n’y en a aucune, mon texte n’a pas dû lui plaire, je prône une économie libre, je ne suis pas à gauche et je ne mâche pas mes mots, il n’a pas dû aimer, encore la censure politique !

Je pourrais encore parler à l’infini de toutes les brimades, les insultes que j’ai subies et reçues systématiquement depuis des années de la part de parfaits anonymes, c’est lassant et à la fin ça use.

Alors après toutes ces années de dérapages idéologiques à gauche, en Europe et aux USA, le vent de pragmatisme qui vient de souffler sur les USA me regonfle, j’en avais besoin, j’en aurais pleuré, jusqu’à ce 8 novembre 2016 historique, j’avais l'impression de ne participer à rien, le monde tournait sans nous, le « clan du Bien autoproclamé » remplissait la barque de ses mensonges et de ses saloperies, la barque coulait lentement, nous transpirions et nous écopions avec l’obligation supplémentaire de la boucler, les commissaires politiques modernes au service de la propagande islamo-gauchiste guettaient et dès qu’ils le pouvaient ils nous faisaient taire ou condamner avec l’approbation des médias !

Game over !

Le langage de Trump était clair (il faut écouter ça !), le voici, qui l’a entendu, apparemment le peuple américain, les médias s’en foutaient, ils étaient trop occupés à nous mentir, à manipuler l’histoire et à salir le candidat républicain pour favoriser l’élection d’Hillary Clinton, ils y croyaient, ils le voulaient, les politiciens européens aussi, ils ont perdu mais ils ont gardé leurs certitudes et leur haine à notre égard, pitoyables personnages, traitres au monde libre !



« Let them cry, it’s done »
 !

Le peuple américain vient de siffler la fin de la récréation, Trump représente la victoire de tous ceux qui comme moi se font cracher dessus et traiter de fachos aux USA ou en Europe parce qu'ils ne sont pas dans la ligne de la pensée unique imposée par les médias et les gouvernants. Chez nous un politicien peut être médiocre (c’est même préférable), corrompu, inefficace ou menteur, mais il doit absolument être de gauche ou d’une droite qui se situera à gauche de l’échiquier politique…La liberté de pensée n’existe plus, elle est diabolisée, détestée, pourchassée, c’est très grave, la Grande Bretagne vient de se révolter contre l’Union européenne, ce maître froid et castrateur dont elle ne veut plus, les américains viennent d’envoyer valdinguer tous les parasites publics ou privés, c’est une grande révolution, un choc majeur dans notre histoire, le peuple s’est réveillé, on en parlera encore pendant longtemps, en 1980, l’élection de Reagan a représenté un chambardement majeur, celle de Trump sera mille fois plus puissante, l’Amérique n’est pas seulement affaiblie, elle est moribonde, notre civilisation des Lumières s’éteint par la volonté de nos dirigeants lâches, incultes et partisans pendant que la barbarie prend le dessus partout et que les alliances internationales se font dans notre dos, maintenant c’est fini, grâce à Trump et au Peuple américain qui a suivi, l’a voulu et l’a commandé !

Je reprends espoir, l’Amérique est debout !

Ne nous trompons pas, l’élection de Trump  est une très grande victoire pour le monde libre, il ne sera la marionnette de personne, il n’a qu’un seul vœu, restaurer la Grande Amérique, celle qui a fait rêver des générations entières d’hommes libres qui ont bâti le pays avec intelligence, courage et détermination, si Trump est détesté par « l’élite politique, financière et intellectuelle », il a été choisi par le peuple pour combattre une oligarchie parasite, prétentieuse, prébendière, ruineuse pour le pays et parfois même criminelle.

L’homme a du pain sur la planche, mais il réussira, j’en suis certain, il en a la carrure,  l’intelligence et l’audace, ça commence déjà, retenez votre souffle !

Aujourd’hui, avec lui, je vois enfin se dessiner à l’horizon l’efficacité et la paix, avec Hillary nous aurions eu l’inefficacité et la guerre, belles perspectives, l’UE préférait Hillary, c’est normal l’UE aime les tyrans qui sont en accord avec elle, elle les qualifiera de parfaits démocrates tandis qu’elle traitera de fascistes tous ses opposants. Je n’aime pas l’UE, je déteste les tyrans, même les tyrans élus !  



Hillary était prête à tout, à la guerre avec la Russie ou la Chine
, elle était dangereuse, partisane et stupide (faut être idiot et parfaitement salaud pour conduire sa jeunesse à la mort sans réel motif, uniquement celui de se défendre), vous ne me croyez pas, alors voici ce qu’elle disait, c’est récent et c’est ici.

Voilà ses mots :

« Il faut que l’on monte notre jeu d’un cran, nous assurer que nous sommes bien défendus et capables de combattre ceux qui nous cherchent des problèmes. En tant que Présidente, je veux que ce soit clair, que les USA vont traiter les cyber-attaques de la même façon que toute autre attaque, nous serons prêts à donner des réponses politiques, économiques et militaires ».

De qui parlait la candidate des bobos, des gauchistes et des idiots utiles ou inutiles ? De la Chine et de la Russie tout simplement, il faut avouer que l’on a franchement échappé au désastre avec cette bonne femme complètement folle vraisemblablement animée par Lucifer en personne ou par les fantômes du « petit moustachu de l’Allemagne de 1933 » et de Staline réunis, pourtant nos « démocrates éclairés » voyaient en elle l’ultime recours salutaire contre ce Monsieur Trump qu’ils exècrent parce qu’il est anti système et qu’il veut balayer les profiteurs, les menteurs et défaire tous les engagements foireux, stupides et anti-démocratiques que son prédécesseur a pris, sans se gêner, par décrets (executive order) dans le dos de son peuple et du Congrès.

Pour eux Trump était l’homme à salir sinon à abattre alors ils l’ont fait passer, avec l’aide de la presse quasi unanime, pour un dangereux psychopathe raciste, misogyne, machiste, primaire, rustre, va-t-en-guerre et ivre de pouvoir. Ils mentaient tous !

Pas de chance, ils ont raté leur coup, Trump est élu, il va falloir faire avec et manger dare-dare ses belles certitudes et ses beaux mensonges.

Messieurs les politicards, la soupe à la grimace est servie, elle est pour vous, rien que pour vous, ne vous en privez pas, même si vous n’en voulez pas, vous devrez bien finir par l’avaler, que cela vous plaise ou non, alors bon appétit et tant pis pour ceux qui s’étrangleront dans l’exercice, au contraire, bon débarras !



Quant à la population qui chiale, elle ferait mieux de retenir ses larmes, Trump nous a déjà sorti de la guerre qui s’annonçait avec une ou plusieurs superpuissances, il a suffi d’un vote pour sauver la planète, quant au redressement économique il suivra, ceux qui ne voulaient pas du candidat républicain en seront les acteurs involontaires, voici venu le moment de retrousser ses manches, y aura du boulot pour tout le monde, la paix est assurée, les affaires suivront, Amen !

Ah oui….J’oubliais, Hillary voulait aussi attaquer l’Iran (pourquoi pas ! C’est dans la même vidéo), elle ajoutait même, en parlant des iraniens :

« Nous serions capables de les anéantir totalement »

Anéantir complètement l’Iran et son peuple au passage sans doute, parce que, c’est inévitable, les guerres ça tue et ça fait mal, au fou, ou plutôt à la folle !

Avec Hillary, cela en faisait des guerres en perspectives, la Chine, la Russie, l’Iran, qui d’autre ? Elle est complètement à la masse la mémère, heureusement que Trump lui a barré la route, maintenant on peut souffler et aller à la pêche tranquillement, merci Monsieur le Président !

Je ne sais pas si la place de cette dame est en prison, l’avenir nous le dira, mais l’asile me semble parfaitement indiqué, une chose est certaine sa capacité à nuire me semble infinie, la voilà réduite à l’inaction politique et au silence, tant mieux !

Pourtant on m’a répété tant de fois qu’elle était intelligente, ah bon, où ça, elle a loupé tout ce qu’elle a entrepris !



Pour en revenir à la Russie, « la Douma a applaudi l’élection de Trump et Poutine espère un «dialogue constructif basé sur des principes d’égalité» ». Vladimir Poutine sera l’un des premiers chefs d’Etats à le féliciter, il émettra aussi l’espoir d’un travail commun susceptible de sortir les relations russo-américaines de leur situation de crise.

Les deux hommes se sont mis d’accord sur la nécessité d’unir leurs efforts dans la lutte contre le terrorisme et l’extrémisme, ils sont décidés à améliorer les relations russo-américaines et ont souligné l’importance des liens économiques et commerciaux entre leurs pays respectifs….Le fantôme de « Madame catastrophe » s’éloigne à grands pas, c’est une très bonne chose, la paix est annoncée et le commerce va remplacer la guerre, qui dit mieux !

Pendant ce temps, les bobos pleurent et une poignée de gauchistes aux ordres d’agitateurs professionnels aux poches bien garnies foutent le bordel dans les rues américaines, c’est normal, les cons ça ose tout et ça ne comprends jamais rien. Les médias occidentaux adorent cette violence, on n’entend que ça, quelques milliers d’imbéciles gauchistes font du bruit pendant que 325 millions de personnes vivent normalement et les médias ne parlent que de cette poignée d’abrutis, ils en feraient presque des héros !

Une preuve supplémentaire que le monde vient de changer d’un seul coup, à peine élu, Trump a téléphoné au Premier Ministre israélien,  Obama avait préféré appeler Mahmoud Abbas le président de l’Autorité palestinienne qui est à la tête d’un gouvernement corrompu, un rapport de l’Union européenne très sévère sur la corruption de l’Autorité palestinienne indique que plus de 2 milliards de dollars transférés au titre de l’Aide à l’Autorité palestinienne en 2008-2012 ont disparu sans laisser de traces, par ailleurs Mahmoud Abbas reste en poste alors que son mandat est terminé depuis 2009, c’est aussi un révisionniste notoire, un homme qui a financé le terrorisme dans le passé et qui fera en 2014 un accord d’union nationale avec les terroristes du Hamas. Comme si cela ne suffisait pas, il est également le Secrétaire général du Fatah, un mouvement de libération de la Palestine fondé par Arafat en 1959. Le Fatah qualifiera de « martyr » et de « héros » l’officier de police de l’Autorité palestinienne qui a fait feu récemment sur des soldats israéliens en Judée-Samarie. Voilà les choix d’Obama, c’est magnifique, Hillary est dans sa ligne, faut-il le rappeler, heureusement pour le monde libre qu’elle vient de rater magistralement son coup !

Je me réjouis, les crétins pleurnichent, les gauchistes aussi.



A ce stade je ferais déjà les deux remarques suivantes, elles ne viennent pas de moi, elles sont pertinentes, écrites en termes simples, elles sont efficaces et ne laissent pas indifférent, les voici :

« Imaginez dans un pays apparemment démocratique, un ministre qui s'oppose à l'achat par une société russe d'une entité détenant 20% des réserves d'uranium de son pays. Puis ce ministre finit par donner son consentement au deal... et sa fondation reçoit 2,35M$ de la part du patron russe, son conjoint se voit invité à donner une conférence en Russie contre la modique somme de 500.000$. Vous en penseriez quoi ? Comme tout le monde probablement, que ce ministre mérite la taule... eh bien Obama ne pense pas comme vous. Ni son Ministre de la Justice. Ni les medias. Ni la moitié des électeurs qui s'apprêtent à voter pour Hillary Clinton, malgré toutes les casseroles qu'elle se traîne et rendraient Chirac vertueux en comparaison ».

C’est très vrai et l’auteur de ce petit mot ne visait pas Trump, mais une certaine candidate à la Maison Blanche que l’Europe pleure maintenant à chaudes larmes, ah les cons !

Encore un peu de bon sens :

« On se pose plein de questions sur le passé de Trump qui a pignon sur rue depuis plus de 50 ans, sur ses amitiés, sur son entourage mais on ne s’est posé aucune question sur Obama qui était un illustre inconnu deux ans avant sa candidature. On ne connaissait rien de lui et il y a des pans entiers de sa vie qu'on ne connaît toujours pas. Pas la moindre inquiétude... Etrange. On a fait l’impasse sur le passé d’Obama, opaque au mieux, mais on en veut terriblement à Trump d’avoir prononcé des paroles graveleuses dans un vestiaire en privé 15 ans auparavant. Paroles que 90% d’hommes ont prononcées dans leur vie. Personne ne s'est posé des questions sur l'expérience d'Obama avant de devenir président ! Qu'avait-il accompli, combien d'emplois avait-il créé, combien de projets de lois dans sa courte carrière de Sénateur? Rien! Aucune question, non plus, sur les amitié sulfureuses d’Obama avec Jeremiah Wright pasteur d'une "église" raciste et subversive, Bill Ayers condamné à la prison ferme pour terrorisme, Tony Rezko qui purge en ce moment une peine de 10 ans de prison ou Louis Farrakhan, raciste et suprématiste, anti blancs, antisémite et qui ne s’en cache pas. On "oublie" aussi qu'Obama a frayé avec les islamistes pendant de longues années et qu'il a continué à les soutenir bien après être arrivé au pouvoir. Ils sont reçus discrètement mais avec tous les honneurs à la Maison Blanche, encore à ce jour, et on les accommode dans toutes leurs revendications. Il n'y a qu'à voir l'état du Moyen-Orient après huit ans d'administration Obama. Et c’est Trump dont il faut se méfier ! Quelle hypocrisie! La dissonance cognitive dans toute sa splendeur ».

No comment !



Nous savons tous les reproches que l’on peut adresser à Hillary Clinton, en gros :

  • Elle a embauché des casseurs pour qu’ils provoquent des bagarres lors des réunions politiques dans le but de faire porter le chapeau aux électeurs de Trump.
  • La Fondation Clinton est corrompue, elle semble n’avoir servi qu’à deux choses principales, l’enrichissement personnel des Clinton et les services aux « copains » (ceux qui casquent), ce que confirme Bob Woodward, le célèbre journaliste qui a fait tomber Nixon.
  • Elle a triché pendant les primaires démocrates,
  • Son attitude contestable dans l’affaire Benghazi, elle n’a pas fait le nécessaire et elle a menti, Obama aussi !
  • L’utilisation de son serveur internet personnel à des fins professionnelles en tant que Secrétaire d’Etat est un crime fédéral qui tombe sous le coup de l’Espionnage Act de 1917, elle risque la prison à vie pour ça…
  • Elle a détruit 30.000 emails et fait disparaitre des disques durs alors qu’elle était convoquée devant une commission d’enquête, ce qui est grave c’est la raison pour laquelle elle a détruit ces mails, que cachaient-ils, quelles saloperies, quelles fuites allait-on découvrir derrière tout ça ? Une telle attitude est blâmable pour le commun des mortels, elle est inacceptable pour un élu ou pour un membre d’un gouvernement.
  • Elle a menti devant la commission d’enquête, ce qui est un parjure en droit américain et conduit normalement en prison.


Autre chose : Summer Zervos qui a accusé Trump de harcèlement sexuel aurait été payée 500.000 USD par Gloria Allred, une avocate féministe démocrate, pour mentir et salir le candidat républicain. Info vraie ou fausse, je ne sais pas, où sont le démenti, l’enquête en cours ou son résultat ?

Après l’élection de Trump, la jeune femme et son avocate prennent peur des réactions d’un homme qui est soudain passé du rang de « personnage connu » ou de « star » à celui de Président des Etats-Unis d’Amérique, elles n’avaient pas prévu ça, comme toute la presse d’ailleurs…Du coup craignant des poursuites à leur encontre de la part de « l’homme le plus puissant du monde » elles ont tenu une conférence de presse dans laquelle elles demandent tout simplement au président élu qu’il ne poursuive pas ses accusatrices (dont Zervos fait partie), elles ne reviennent pour autant pas sur les accusations, elles insistent seulement sur les menaces de Trump à l’égard des accusatrices dont il dit que ce sont des menteuses, c’est son droit…. Donc le méchant c’est l’accusé, son procès est déjà fait, il en peut pas se défendre, il ne peut pas nier, ni s’expliquer et tant pis si les nanas, ou certaines d’entre elles, ont été payées pour mentir, voilà ce que veulent ces dames, cela leur semble naturel, alors que pour quelqu’un d’avisé, cette attitude ressemble plutôt à un joli tour de passe-passe qui consiste à enfermer définitivement Trump dans ces accusations sans qu’il ne puisse jamais en sortir ou se défendre. Cela convainc qui ? Certainement pas moi !

Dans la réalité ces « braves dames lâches, perdantes et pétochardes » nous prennent pour des billes, elles font dans leur froc alors elles demandent à Trump un « geste présidentiel »….Celui de ne pas poursuivre ses accusatrices, comme ça on leur foutra la paix, Allred n’est pas stupide, elle est gauchiste, féministe (dans le mauvais sens du mot), partisane mais elle sait très bien qu’en cas de procès les langues se délieront, la vérité sortira, cette vérité ne les servira pas et elles risquent d’en prendre plein la tronche avec une lourde condamnation à la clé.  On voit d’ailleurs  Zervos tremblante de peur et en larmes maintenir ses accusations mais supplier Trump de ne pas intenter de poursuites contre elle, sa peur en dit long sur ses craintes, si j’étais sûr de moi, je poursuivais mon agresseur sans sourciller, sa mauvaise foi saute aux yeux !!!

Après avoir été faire un tour par les poubelles démocrates, j’en viens à l’entourage direct d’Hillary Clinton, il faut savoir que sa principale conseillère, Huma Abedin, est un personnage sulfureux proche du terrorisme islamique et des Frères Musulmans, dans un documentaire accessible ici on parlera sans détour d’infiltration du gouvernement US. Dans ces conditions, voter pour Hillary Clinton, nous dira le commentateur, c’est voter pour Huma Abedin, les Frères Musulmans, l’Arabie Saoudite, Al Qaïda et finalement pour la destruction des Etats Unis d’Amérique. Beau projet, on comprend mal l’enthousiasme des foules « démocrates » à voter pour un pareil personnage !



Mais à part ça, l’homme à abattre c’était Donald Trump, c’est le monde à l’envers, encore une fois, sauf que cette fois-ci, le peuple a dit « non » et il a remis l’Amérique sur les pieds et c’est tant mieux !

Charles Gave pose une question que nous nous sommes tous mille fois posés, « qu’est qui amène ces gens soi-disant intelligents car éduqués (un non sequitur d’anthologie) à voter pour une crapule? »

La question est pertinente, voici sa réponse :

« À la fin des années soixante, une véritable révolution eut lieu dans tous les systèmes éducatifs en Occident : nous passons d’un système rigoureux qui cherchait à former des citoyens responsables à un autre système fondé non pas sur une morale absolue (les dix commandements) mais sur une morale ancrée dans la notion de morale relative (tout se vaut). Le bien ou le mal n’existent pas, seules comptent les intentions. La vérité n’existe pas et quiconque la recherche est automatiquement traité de fasciste ou de raciste…. »

En langage décodé, seuls comptent les mots, même s’ils ne correspondent pas à la réalité des faits, Clinton agit comme une mafieuse, mais ça n’a pas d’importance puisqu’elle dit agir pour la justice sociale, la fraternité humaine et le partage, comme nos bobos à nous en Europe. La politique politicienne nous a plongés dans le monde de la parole au détriment de celui des actes et du succès, c’est pitoyable et c’est très pratique pour la gauche qui n’a pas/plus besoin de se montrer efficace. Or le vent semble avoir tourné, après le Brexit, le peuple américain a voté pour Donald Trump, les nuages reculent, le temps s’éclaircit, nous disait Charles Gave, il a raison, j’applaudis sa conclusion !



S’il y a un sujet sur lequel j’aimerais bien revenir ici, c’est sur celui du mode d’élection à l’élection présidentielle américaine parce que l’on a tout entendu, principalement qu’Hillary Clinton aurait eu plus de voix que Trump et qu’elle aurait alors dû être élue à la place du candidat républicain…

Or, non, cela ne fonctionne pas comme ça et c’est très bien ainsi !

Tous les présidents américains, Trump ne fait pas exception, ont toujours été élus suivant un principe imaginé par les Pères Fondateurs de la Nation américaine. Ils voulaient respecter au mieux la « couleur politique » du pays et pas seulement celle de quelques Etats surpeuplés par rapport aux autres.

Le principe est simple, voici comment cela fonctionne dans les grandes lignes, on vote Etat par Etat (les USA forment une république fédérale) pour éviter que quelques Etats (Californie, New York, Texas, Floride) ou région et groupe d’Etats (Côte Est/pointe Nord-Est) à plus forte population n’entraînent à eux seuls l'élection du président des USA. Dans la pratique chaque Etat obtient une majorité (républicaine ou démocrate) et le parti qui obtient la majorité gagne l’État en entier, mais, pour pondérer le poids de chaque Etat dans le vote final pour la présidence du pays, le législateur a introduit un élément pondérateur, c’est le concept du « grand électeur » dont le nombre est lié cette fois au niveau de la population. Suivant cette optique et pour les élections présidentielles de 2012, 2016 et 2020,  la Floride obtient 29 grands électeurs, la Californie 55, etc, etc, voici le détail sur le plan national.



En conséquence, le Président élu sera celui qui aura conquis la majorité dans le plus grand nombre d'Etats pour autant qu'il ait également obtenu la majorité des grands électeurs, c'est parfaitement logique, parfaitement  démocratique aussi... C'est la « couleur nationale des USA » qui prime et pas celle de deux ou trois grands Etats d’ailleurs souvent gangrenés par les médias, l'oligarchie politique et tout ce qui tourne autour de ce joli monde.

Il n’y a pas une « Amérique profonde », située dans le centre du pays, celle des ploucs qui ne savent rien, sont idiots, rustres et ne méritent pas voix au chapitre, comme le sous-entendent parfois les médias ou les intellos bobos étasuniens ou européens, et une « Amérique qui sait » qui vit retirée dans les Etats les plus peuplés et qui disposerait d’un droit de dominer les autres, les Pères Fondateurs n’ont justement pas opté pour cette situation, ils ont voulu la meilleure équité pour tout le monde partout dans le pays.

Après les élections, on a rapidement dit qu’Hillary Clinton avait une avance de 200.000 voix en termes de votes purs sur son adversaire, ensuite on a entendu que Trump prenait le large avec 800. 000 voix supplémentaires et enfin on apprendra qu’Hillary reprenait la main avec 1.000.000 de voix de plus que son concurrent. Or tout cela ne rime à rien pour deux raisons, le système n’est pas fait de cette façon, je viens de l’expliquer, deuxièmement les gens votent en fonction du mode de scrutin et des circonstances du moment.

Dans les faits
, m’expliquait un homme qui avait analysé la situation, « l’avance en voix de Clinton vient principalement de la Californie, un état profondément démocrate qui se trouve aussi être le plus peuplé du pays. Le système électoral américain fait que le vainqueur en Californie, comme (presque partout) ailleurs emporte les 55 grands électeurs de l'Etat, que ce soit avec 1 voix d'avance ou 2 millions, cela nous le savons.

Mais il apparaît que nous sommes dans un cas de figure ou le système fait l'élection : un électeur conservateur dans un Etat profondément démocrate (l'inverse est vrai avec un électeur démocrate dans un Etat du sud profond) sait que son vote présidentiel ne servira pas à grand-chose, et est donc plus tenté de s'abstenir. Néanmoins, il peut se déplacer si une autre des élections tenues simultanément au plan local (et Dieu sait qu'il y en a) le motive particulièrement, les plus notables étant les élections sénatoriales (un sénateur est élu par l'Etat entier) ou du gouverneur.

Dans le cas de la Californie, le gouverneur n'était pas renouvelé cette année, mais un des deux sièges sénatoriaux était en jeu

Cependant, la Californie à récemment décidé d'instaurer un système d'élection sénatorial similaire à notre système français : scrutin uninominal à deux tours (appelé outre-Atlantique la "jungle primary", primaire-jungle). Le premier tour a eu lieu à la fin de l'été, le second tour avait lieu en même temps que l'élection présidentielle.

Qui participait à ce second tour? Une démocrate contre ....une démocrate, aucun républicain n'avait franchi la barre du premier tour.

Les électeurs conservateurs californiens étaient dépourvus d'intérêt majeur pour aller voter, de fait, Donald Trump récolte 33% des voix en Californie, alors qu'un candidat républicain se situe normalement aux alentours de 40% des voix. L'écart de vote entre Trump et Clinton se situe ici.

En conclusion : faire du "et si" est un art délicat, cependant, je pense pouvoir affirmer, que si cette élection présidentielle se décidait au suffrage populaire et non pas avec un système de grands électeurs, il est tout à fait possible que Trump aurait tout de même fini par l'emporter.

Précision supplémentaire vis à vis de la Californie : la candidate au Sénat en 2010 (l'autre siège sénatorial de la Californie était alors renouvelé), la candidate républicaine Carly Fiorina a remporté 1.2 millions de voix de plus que Trump en 2016. Des électeurs conservateurs se sont donc bel et bien abstenus.

Conclusion : Le mode de scrutin, les circonstances font le jeu de l’élection, faire abstraction de tout ça, pour discuter du sexe des anges ensuite n’a aucun sens. Bref, on se fout du nombre de voix des candidats, ce qui compte c’est la couleur politique du pays, la voici, c’est clair, elle est républicaine et, tant que j’y suis, je préciserais aussi que 42% des femmes ont donné leur voix à Trump, pour un homme dont les médias se sont donnés un mal fou à dépeindre comme un misogyne, c’est pas mal du tout, s’ils l’avaient soutenu il aurait fait beaucoup mieux, peut-être 60%...ou plus !



Trump
est élu, c’est un fait incontestable, mais quid de son programme économique, à ce sujet, on parle, on parle, mais on dit surtout n’importe quoi, avant tout il faut retenir, ce qui semble encore difficile pour la plupart, que Trump est un entrepreneur à succès et qu’à ce titre il appliquera un programme réaliste, pragmatique, à l’exemple de ce qu’il est lui-même dans la vie.

Qu’en disait le professeur Millière avant les élections, c’est intéressant et cela mérite d’être souligné.

Trump représente une coalition inédite qui n’est pas, contrairement à ce qu’on colporte partout,

  • protectionniste (ils veulent un libre-échange avec des règles claires, respectables et respectées)
  • isolationniste (pas de guerre inutile dont on sort mal, il faut des alliés dignes de ce nom)
  • nationaliste (seulement dans le sens du mot aux USA, cad que les USA doivent rester l’incarnation du monde libre)
  • populiste (chez nous ce terme est péjoratif, le mot est à prendre dans le sens où les gens du peuple animent cette coalition, ce mouvement)


En outre Trump  est hostile aux compromissions et aux demi-vérités, il parle franchement et il est aussi parfaitement conscient qu’il devra réussir son coup, remettre l’Amérique debout. Il le fera, ça c’est moi qui l’ajoute !

Mais, dans le fond, que dit Trump à ce sujet ?

D’abord il a écrit un bouquin, « Time to get tough », le voici en image :



Ce livre fait 129 pages, je n’ai pas tout lu, loin de là…Evoquons quelques points.

Il veut combattre les gaspillages et casser la fraude, je n’ai pas d’objections !

Les gaspillages :

  • D’après le GAO (US Government Accountability Office), le gouvernement fédéral gaspille des milliards d’USD chaque année, on pourrait récupérer 200 milliards sur les dix prochaines années si l’on consolidait simplement les différents programmes.
  • L’United States Office of Personnel Management (OPM) a balancé 601 millions USD sur les 5 dernières années en prestations de retraite à….des personnes décédées.
  • La liste des dépenses fédérales insensées est presque illimitée, précisera-t-il encore.


La fraude :

  • Des centaines de milliards sont perdus chaque année dans des programmes gouvernementaux,
  • Le FBI estime que la fraude MEDICARE coûte entre 70 et 234 milliards chaque année,
  • Une personne sur vingt revendique le droit à une indemnité d’invalidité, ce qui correspond à 170 milliards de plus par an, etc, etc…


Quant à son programme, il est disponible ici et il comporte 15 volets. Si Trump envisage ce qu’il est coutume d’appeler des « grands travaux », il faut tout de même noter qu’il veut principalement réorienter la dépense publique et créer également des partenariats entre le public et le privé, ce n’est pas « l’étatiste forcené » que certains libéraux voient trop rapidement en lui. D’ailleurs il voudrait essentiellement déréguler, parce que « trop de règles tuent l’emploi », il précise encore que cette sur-régulation coûte 2 milliards d’USD par an et qu’elle a réduit de 25% l’économie du pays, pour info le PIB américain s’établit à 18.698 milliards d’USD, 25% de plus, cela ferait près de 4.700 milliards en plus…Y a de la marge, autant essayer non ?

Du côté des taxes, il veut les réduire et établir 3 taux, les voici :



No comment…Je rappelle qu’en Belgique conduite par un gouvernement « ultra-libéral » (comprendre « socialiste ») on est littéralement flingué par les taxes, voici pour l’impôt fédéral sur les revenus auxquels il faudra encore ajouter les impôts communaux, cette taxe communale additionnelle est de 5.9% à Uccle (commune de Bruxelles pour les non belgicains)



Résultat : Les ricains sont des petits chanceux, avec Trump bien sûr !

Ah oui, j’oubliais Trump veut aussi ramener l’impôt des sociétés de 35% à 15%, re-chouette pour les ricains et tant pis pour nous !

Bref, rien qu’à voir ça on peut déjà en déduire que le nouveau président élu est très réaliste, je m’arrête ici, chacun pourra lire son programme dans le détail, qui lira verra, les autres pourront toujours raconter n’importe quoi…et rester dans la rumeur  colportée par les médias auto-satisfaits, les bobos, les socialos, la masse des faux libéraux et des « conservateurs-en-nom-seulement ».

 Mais alors, quid de l’immigration, on nous raconte tant de choses, on ne s’y retrouve plus !

Ok, juste les faits alors :

  • Les illégaux seront attrapés, détenus et reconduits à la frontière,
  • Protéger le bien-être économique des immigrants légaux qui vivent déjà aux USA en freinant les admissions incontrôlées de travailleurs étrangers.


Vous voyez, rien de fasciste là-dedans, au contraire que du bon-sens, d’ailleurs que disait déjà Bill Clinton en 1995 devant le Congrès, il voulait sécuriser la frontière, engager plus de gardes-frontière, déporter deux fois plus d’étrangers criminels, accélérer la déportation des clandestins et il ajoutera : « Nous sommes une Nation d’immigrants mais nous sommes aussi un Etat de droits »



Encore une fois, ce qu’un démocrate peut faire, un républicain ne peut pas le faire, on se fout de qui ? Mais de nous, comme d’habitude !

Bon, bon, bon, tout ça c’est très joli, mais le mur alors, celui que Trump veut ériger entre le Mexique et les USA, ça c’est fasciste, non ?

Ben non, le mur existe déjà et la partie existante a été construite sous la présidence de Clinton en 1994, quant aux déportations, entre 2005 et 2015, les USA ont remballé plus de 2.5 millions de clandestins et qui est au pouvoir depuis 2009 ? Obama ! Vous avez pigé ou je vous fais un dessin ?

Encore une fois Obama peut quand Trump ne peut pas, lui, c’est un sale raciste-fasciste, une crapule immonde, quant à « Obama-le-gentil-gauchiste » on lui décernera même le prix Nobel de la paix en 2009 (sans doute pour d’autres motifs…), elle est pas belle la vie du gauchiste-mondialisé !

A propos de mur, j’en connais un autre, celui que la Dame Merkel veut ériger autour d’un camp de réfugiés à Munich, bon ça gueule bien un petit peu, mais pas autant que pour l’éternel Trump, le chouchou des médias européens marxisants, l’homme à abattre (on l’a dit), le diable absolu…

Alors restons sérieux, objectifs et cessons de gueuler sans raison, sinon pour des motifs partisans, sur Trump que le monde entier devra bien finir par accepter, il est devenu le Président élu des Etats-Unis d’Amérique, faudra s’y faire….Je vois déjà les vestes se retourner à la vitesse de l’éclair, alors autant le faire en musique, c’est ici



Oui, d’accord, si son programme économique est bon, si sa politique d’immigration est réaliste et s’appuie finalement sur des principes pas très différents de ceux qui préexistaient, il reste un salaud !

Ah bon, pourquoi ? Parce qu’il s’oppose à la COP21 !

Décidément ses détracteurs ne lui passent rien, absolument rien du tout. En effet, le Président Donald Trump désire rapidement se retirer des accords sur le réchauffement climatique signés à Paris à l’initiative de François Hollande, mais comme le dira JPG avec réalisme et humour, les principaux défenseurs de la théorie sur le réchauffement se situent sur l’arc-en-ciel rouge brun vert de la gauche à l’extrême gauche, qui partagent le même dégoût du capitalisme. Ca ne sent pas bon l’authenticité. Toute cette histoire de réchauffement climatique empeste l’embrouille, Trump n’est pas dupe (moi non plus, mais je ne suis président…de rien, alors tout le monde s’en fout). Il s’agit encore une fois d’une histoire de gros sous, il faut faire casquer l’Occident rendu systématiquement coupable de toute la misère du monde, la grande idée de la COP21, c’est la hauteur des montants astronomiques que les pays du Nord devront raquer chaque année aux pays du Sud, 100 milliards USD, cette somme pourrait même être supérieure à cela en 2020…Les parasites tendent fébrilement leur sébile, pas question de leur retirer les milliards de la bouche, tant d’argent promis à la corruption mondiale, ça ne se refuse pas, je vois déjà les bons de commande pour les Rolls, les Ferrari, les accessoires, les bijoux et les propriétés de luxe s’entasser dans l’ombre, d’ailleurs la suite se jouait à la COP22, j’en ignore le bilan et je m’en fiche, c’est de l’arnaque cette histoire de réchauffement climatique à la sauce humaine, quiconque se renseigne correctement l’apprendra facilement, vous pourrez aussi lire l’article de « h16 » sur le sujet, c’est très juste et très marrant, alors autant en rire !

A  défaut de vous livrer un dossier complet sur le sujet, voici une vidéo qui explique le mensonge de cette indigne et couteuse plaisanterie, cela se passe ici.



Maintenant que l’on connait mieux Donald Trump, qu’en disaient les médias et les politiciens avant son élection ?

Ils tenaient souvent des propos ignobles ou imbéciles, mais eux, ils peuvent, ils sont à gauche !

Exemples :

« Slate » titrait : « Donald Trump ou le triomphe de l'inculture », le lamentable pisse-copie (que dire d’autre ?) embrayait ensuite avec ces mots « la démocratie n'a pas été conçue pour porter au pouvoir un jean-foutre comme Donald Trump qui se fout de l'idée même de démocratie », il parlera ensuite de sa totale incurie intellectuelle, de son aphasie cérébrale, de son inculture crasseuse, de sa vulgarité sidérante, de sa mauvaise foi triomphante, de sa haine bien trempée, de sa goujaterie sans limites, de sa capacité à enfiler mensonge sur mensonge, de sa propension à raconter absolument n'importe quoi sur des sujets d'une importance cruciale. Le reste est à l’avenant, c’est de la bouse étalée sur une très mauvaise copie. Pour qui se prend ce nullard propagandiste ? Il doit avoir une très belle estime de lui-même, c’est bien un homme de gauche certain d’appartenir au « camp du bien », ce qui l’autorise aux pires insultes, pauvre mec !

Jean-Luc Hees, l’ancien patron de Radio France et, parait-il, spécialiste des Etats-Unis, nous confiait avec horreur «Je ne peux pas croire que les Etats-Unis soient désespérés au point d’élire Trump», par contre, nous dira-t-il, « Hillary Clinton a toutes les qualités requises pour être la prochaine présidente des Etats-Unis ». On a vu ça ! Tout le reste, dans son article, est du pur délire, à croire que le bonhomme vit sur Mars. Il parait qu’Obama est un type formidable, très classe, qui a redressé l’Amérique (il a fait le contraire !!!), qu’Hillary est une femme d’expérience qui réussira à se faire entendre (elle a tout planté et s’engage vers la destruction de l’Amérique et dans la guerre avec une ou plusieurs superpuissances), et blablabla….

Sur France Inter, Pablo Mira lâchera sans se gêner et dans un flot d’humour à deux balles totalement partisan (minute 1 :24) que : « Trump c’est le candidat qui redonne aux Américains l’espoir, l’espoir qu'il soit assassiné avant son investiture »



On a bien entendu quelques remarques suite à ce dérapage inadmissible, mais finalement très peu en comparaison de la violence des termes employés, la gauche peut tout dire, tout faire, elle a toujours raison, les pires affirmations, les pires mensonges sont même souhaités, on les trouvera aussi très drôles, quant à la droite (celle qui n’existe pas, elle est à gauche) elle fermera sa gueule...as usual. Y a pas à dire le terrain est miné, largement pourri et ça ne date pas d’hier !

En mai dernier, Anne Hidalgo, Maire de Paris, disait de Trump, alors qu’elle était en visite à Londres, qu’il était stupide, voici ses mots :

« Mister Trump is so stupid. My God ! My God ! »

Voilà une manière très protocolaire de s’exprimer à propos d’un candidat à la présidentielle US pour un élu français, Maire de Paris de surcroit, ça vole haut et c’est très subtil, son anglais misérable était déjà une raison suffisante pour qu’elle se fasse discrète, c’est doublement loupé, enfin, elle est socialiste, les socialos s’arrogent tous les droits et se permettent tous les excès, c’est d’ailleurs une de leurs nombreuses marques de fabrique!

Guy Sorman qui est pourtant un auteur libéral (en principe) écrira que la même « haine de l’autre » anime Tayyip Erdogan, le Polonais Andrzej Duda et l’Américain Donald Trump. Pour lui Trump est un homme qui voit des complots partout et qui en appelle à « l’homme blanc inéduqué  et satisfait de l’être », le reste de son article est de la même veine, à vomir et je mesure pourtant mes mots. Quelle audace et quel manque de respect de la part de ce Monsieur, il y a maintenant près de 60 millions d’américains, ceux qui ont voté pour Trump, qui sont classés de minables par cet auteur méprisant, c’est honteux, évidemment il voyait Trump perdant, ça galvanise son homme ça, pas de bol, Trump est élu, les gens « sans éducation », les « sans-dents » ont emporté la bataille, Sorman va devoir ravaler son mépris et bouffer sa plume perfide !

Il y a ceux qui écrivaient des saloperies et puis il y a les célébrités, celles qui menaçaient de quitter les USA si Trump gagnait les élections :

« Amber Rose et Whoopi Goldberg déménageront, la chanteuse Cher s'est, elle, dit prête à migrer sur Jupiter. Un voyage qu'elle pourra réaliser en compagnie de l'humoriste Jon Stewart, qui se verrait bien obtenir une fusée spatiale si Donald Trump passait. Si cela arrive, Barbra Streisand cherchera, quant à elle, un refuge aux pays des kangourous, et Samuel L. Jackson s'envolera pour l'Afrique du Sud. Miley Cyrus ? Elle déversera son flot de haine sur son compte Instagram ».

Question : Maintenant qu’il est élu, qu’ont fait ces génies ? Ils ont sans doute agité du vent pour influencer les élections et puis….rien ! Dommage, je verrais bien l’un sur Jupiter, l’autre en Australie et le troisième en Afrique du Sud, gageons qu’ils resteront aux USA peinards, comme quoi ils valent bien les politicards qu’ils défendent, une grande gueule, rien derrière !

Je ne voudrais pas clore ce paragraphe sans citer François Hollande, l’homme-au-nez-fin qui n’en rate jamais une. Lors d’une conférence en octobre dernier, il dira ceci avec son flair légendaire !

« Il y a des élections qui vont se produire aux Etats-Unis, une présidente va être élue ».

Flanby
était tellement certain de l’issue de cette élection que l'Elysée n'avait d’ailleurs préparé qu'un seul communiqué, pour Hillary Clinton, ils n’avaient pas imaginé un seul instant la victoire de Trump, ah les couillons !

Le fan-club qui l’écoutait l’a chaudement applaudi, ils y croyaient aussi dur comme fer, « asinus asinum fricat », je connais l’expression depuis 50 ans, wiktionary en donne cette traduction : « les imbéciles se congratulent »….Va pour les imbéciles, adopté !

A écouter en boucle, je ne m’en lasse pas, ça se passe ici



Là aussi on pourra dire que cet homme aux certitudes partisanes (comme tous les socialos) l’aura pris profondément dans le baba, une question s’impose : ça fait mal ?

Je pourrais continuer à l’infini…Je ne vais pas le faire, tous les médias se sont plantés, tous donnaient Hillary Clinton gagnante, certains aussi manipulaient carrément l’information, c’est moche, mais pas seulement, c’est très bête également !

Les journalistes mentaient, voici quelques aveux, ils sont rares.

Après les élections le New York Times s’excuse et reconnaît avoir été malhonnête avec Trump. « Les Observateurs » prendront l’info chez Dreuz.info, voici le lien originel.

Michael Goodwin, précisera :

«Parce que le New York Times a diabolisé Trump du début jusqu’à la fin, il n’a pas été capable de se rendre compte que Trump avait mis la main sur quelque chose de réel. Et parce que le quotidien avait décidé que ceux qui soutiennent Trump étaient des tas de beaufs racistes et homophobes, il n’avait pas la moindre idée de ce qui se passait dans la vie des Américains qui l’ont élu

L’éditeur du New York Times Arthur Sulzberger Jr. écrira :

« Jusque-là, les directeurs de rédactions pensaient qu’ils «pouvaient décider de renoncer aux standards d’honnêteté et de neutralité sans en subir la moindre conséquence» »

On apprendra avec stupéfaction que le journal avait inventé les premières histoires de femmes qui se plaignaient de Donald Trump, ils ont raté leur coup parce qu’apparemment les dames, dont question, ont, dès le lendemain de cette annonce, téléphoné aux radios du pays pour dire qu’elles n’avaient jamais dit ça au journaliste, en outre, elles ont couvert Trump de compliments !

Pas de chance pour les menteurs, tel est pris qui croyait prendre, de vrais gamins, problème, ce ne sont pas des enfants, mais journalistes professionnels, c’est  très grave !



En France Henri Charpentier un journaliste qui ne supportait plus la prétention et le parti-pris de Radio-France a écrit une lettre ouverte à Patrick Cohen. Il se plaignait de ceci :

  • Vous avez tapé sur Trump comme tous les confrères bien-pensants de gauche,
  • Vous avez fait en permanence la campagne d’Hillary Clinton,
  • Comment voulez-vous être crédibles et même audibles aujourd’hui,
  • Vous accusez les sondages de votre échec,
  • Vous aviez déjà installé Hillary Clinton, une personne admirable selon vous, à la Maison Blanche,
  • Vous n’avez rien vu venir parce que vous faites du « journalisme de salon » entourés uniquement de partisans de Clinton,  
  • Vous faites de l’information à sens unique,
  • Les plus grands journaux US s’excusent aujourd’hui de leur parti-pris, qu’allez-vous faire à France Inter ?
  • Je vous avais écrit pour vous dire que vous ne respectiez pas la plus élémentaire éthique professionnelle, vous ne m’avez pas répondu,
  • Notre métier compte une seule priorité : « les faits, rien que les faits et toujours les faits » (ça c’est ma devise, on m’en veut pour cela, on me répond alors invariablement, à chacun ses idées, OK, mais pas à chacun son histoire !).
  • Mais la vérité, c’est VOTRE vérité, vous créez les faits à votre image, c’est scandaleux,
  • Vous êtes tous formatés de la même manière, la pensée unique domine votre univers,
  • Vous ne respectez pas l’essence même du devoir d’information, le pluralisme ou même vos auditeurs.


Voilà, il y a des années que j’écris la même chose, je ne suis pas le seul dans ce cas, je vous ai également encore rappelé ici que j’ai été jeté sans raison, sinon pour des motifs à caractère politique ou partisan, de l’Express et de France Télévision, il aura fallu l’élection de Donald Trump à la présidence des USA pour que s’amorce un changement, ce n’est pas rien et cela démontre surtout l’ampleur énorme du désastre auquel nous étions parvenu.

Preuve en est apportée ici que la victoire de Trump est une immense victoire, pour l’Amérique et le peuple américain d’abord, pour le monde libre et pour tous les hommes et les femmes qui avaient soif de liberté et de vérité ensuite.

Merci Monsieur le Président, nous vous attendions, nous comptons maintenant sur vous, l’avenir s’annonce radieux !



L’après OBAMA !

Le trump-bashing continue !

Juste pour le « fun », voici quelques réactions à l’élection de Trump….

Juppé
qui se voit déjà Président met en garde les Français contre « les risques que la démagogie et l'extrémisme font courir à la démocratie », après l'élection de Donald Trump aux Etats-Unis ».  Quel rapport, Trump est un extrémiste, est-ce cela qu’il veut dire ?

D’après « La libre » Melania Trump, est la First Lady la plus embarrassante de l’histoire…parait qu’elle a un mari ouvertement misogyne (rappel : 42% des femmes ont voté pour lui) et puis, fichtre, elle a fait des photos dénudées dans sa jeunesse, pour une First Lady, c’est pas bien ! Eh les gars, on s’en fout, nettoyez d’abord devant votre porte avant de montrer du doigt les autres.

Toujours d’après « La Libre », la victoire de Trump est « une victoire du populisme inimaginable et honteuse » pourtant « La Libre » est censée être un journal de droite, comprenne qui pourra !

Le journaliste écrira :

« Pour toute personne raisonnablement confiante dans le bon sens de ses semblables, il paraissait impensable, en effet, qu’un homme puisse s’élever jusqu’à la fonction politique la plus prestigieuse et la plus exigeante du monde par la seule force de l’ignorance et de la vulgarité. C’est pourtant le choix stupéfiant qu’a fait une majorité d’Américains.

Hillary Clinton, qui avait gagné haut la main les trois débats télévisés de la campagne présidentielle
(c’est faux, note personnelle), a perdu le combat qui aurait fait d’elle la première femme à entrer à la Maison-Blanche. Cette nouvelle page d’Histoire, après l’élection, huit ans plus tôt, d’un président noir, l’Amérique n’est donc toujours pas prête à l’écrire, préférant plutôt couronner un candidat raciste et sexiste, qui ne prit jamais la peine d’exposer en détail les politiques qu’il comptait mener (c’est faux, il n’est rien de tout cela et  il a écrit un livre, un programme et toi tu n’en sais rien), qui ne fit campagne qu’à coups de slogans simplistes et de promesses énormes, qui s’exprima avec un vocabulaire riche seulement en gros mots ».

La suite est à l’avenant j’imagine, je ne lis pas ça, j’ai compris, c’est scandaleux !

Aux « politiques » de parler…



A quelques heures du verdict,  Louis Michel n’a pas caché sa crainte de voir le milliardaire américain remporter l’élection présidentielle.

Le danger avec Trump, nous dira-t-il, c’est qu’il risque de diriger la première puissance de la planète comme il le fait avec ses affaires personnelles. «Avec toutes les outrances, avec une religiosité aveugle dans l’économie de marché et selon une politique de clivage.»

Michel
ajoutera : « Trump ce serait la victoire du racisme, du rejet de l’autre et de la division ».

Et encore :

«Donald Trump c’est l’extrême droite la plus sordide, la plus veule. Même s’il est aussi outrancier je n’ai même pas l’impression que le Vlaams Belang va aussi loin.»

Que répondre à cela sans être grossier, alors pour ne pas être outrancier comme l’est ce personnage inutile, prétentieux et ridicule qui se prend pour Dieu sur terre en donnant des leçons à tout le monde, je dirais seulement : Taisez-vous Monsieur, votre grossièreté n’a d’égale que votre prétention, votre ignorance et votre incommensurable bêtise, il est triste que des personnages de votre acabit dirigent l’Europe et parlent tant, vous feriez mieux de la boucler et de courir vous cacher au fond d’un grand placard pour réfléchir un peu à votre cas personnel désespéré, un minimum d’introspection vous fera le plus grand bien, je le pense sincèrement, un peu de modestie aussi.

Quand on entend ça on ne voudrait qu’une seule chose, se débarrasser en vitesse de tous ces pitres politiques, le BREXIT était une solution pour la Grande Bretagne, l’éclatement de l’UE sera l’ultime solution pour tous les autres pays, je l’attends avec un plaisir non dissimulé.

Reynders, l’éternel ministre belge, actuel ministre des Affaires étrangères, compare l'élection de Trump au non "wallon" au CETA: "Du simplisme", selon lui, quant à Magnette, l’élu socialiste, il dira que tout est dit sur Trump quand son élection est saluée par Marine Le Pen, Rudy Demotte (PS) est écœuré et Di Rupo (PS) trouve cette élection inquiétante, évidemment ils chérissaient tous Hillary Clinton malgré les innombrables casseroles quelle traine derrière elle et malgré le fait aussi qu’elle représentait un véritable danger pour l’humanité, rappelez-vous, elle voulait faire la guerre à tout le monde aux grandes puissance surtout ! Oui, l’Europe est malade…De ses politiciens idiots, vaniteux et partisans qui la gouvernent, principalement.



L’ambassadeur de France aux USA qui qualifiait Trump de « vautour » effacera ensuite ses tweets en urgence avec le courage qui lui manque apparemment pour affronter ses propres turpitudes.

Dominique de Villepin qui n’est pas un homme de gauche et qui fut Premier ministre (tout de même) dira sur Trump :

« Tous les empires déclinants ont leurs empereurs fous ».

Décidemment Trump doit prendre les politiciens et les journalistes français pour des gens lamentables, la « coopération » commence bien !

Les journaleux…

Jean-Michel Apathie, un journaleux parmi d’autre dira que Trump est « le pire, du pire, du pire que peut inventer la politique », et quand sa collègue lui fera remarquer qu’il a été élu malgré un barrage médiatique (ce qui en dit long aussi sur la situation), il ajoutera en « bon démocrate de gauche » (comprendre « tyran ») : « ça veut dire qu’il faut aussi s’interroger quelquefois sur le suffrage universel ». Donc le suffrage universel c’est uniquement bon quand la gauche gagne, sinon ça ne vaut plus, voilà encore une preuve de plus que la gauche, c’est la dictature, l’histoire l’a démonté cent fois, Apathie le confirme en direct, merci Monsieur, quel sale type vous faites !



Slate
persévèrera dans l’outrance, il titrera cette fois :

« La fin d'un monde, la fin du monde »

Selon le journaliste, avec l’élection de Trump nous venons de sombrer dans l’obscurantisme le plus féroce, nous touchons les bas-fonds…. Il écrira encore :

« Hier c'était à Nuremberg ou à Berlin que des millions d'Allemands glorifiaient l'avènement d'un Fürher qui annonçait leur chute, aujourd'hui, de l'autre côté de l'Atlantique, un peuple animé de la même folie suicidaire, se choisit le plus insignifiant, le plus médiocre, le plus inconséquent des tyrans pour les conduire à l'échafaud ».

Trump est donc, selon lui, pire ou égal à Hitler, mais puisqu’il parle de tyrans, il aurait pu évoquer Staline, Lénine, Castro et tant d’autres, mais, non, ceux-là sont d’extrême-gauche, ce sont donc des Saints, pas des tyrans, on connait la chanson que nous resservent tous les gauchistes, elle sonne partout de la même manière, faux surtout, et elle utilise les mêmes mots basés sur le mensonge et la manipulation. Stop, ça suffit comme ça !

Je vous laisse lire la suite, je m’arrête là…

Le célèbre BHL se fera encore remarquer, pour lui cette élection c’est :

« La victoire du racisme, du sexisme, de l’homophobie, de l’isolationnisme ». Rien que ça !

Il ajoutera :

« Suicide du peuple américain. La démocratie vote contre la démocratie. Un coup terrible contre l’Europe ».

Bref, il est égal à lui-même, il est ridicule de parti-pris et de connerie, j’en conclus que les tartes à la crème lui vont bien, photo !



Après de tels excès, Juncker apparaitra presque rigolo, il dira :

« Trump devra apprendre le fonctionnement de l'Europe ».

Il pense aussi que Trump ne connait pas le monde dans lequel il évolue, l’homme a 70 ans, il a fait des milliards, il a roulé sa bosse partout, il est pétri par de multiples expériences, il a côtoyé les célébrités du monde du spectacle, des affaires, de la politique mais il ne connaitrait pas le monde qui l’entoure, quelle belle idiotie, heureusement que le ridicule ne tue pas, Juncker serait tombé mort foudroyé sur le coup. Mais Juncker-qui-sait-tout imagine sans doute que ce privilège n’appartient qu’au monde politique, ils savent, nous ne savons pas et Trump pas davantage, franchement ces politiciens sont fous, pour qui se prennent-ils, eux qui n’ont jamais réellement bossés, rien produits et qui parasitent la société toute leur foutue existence, mais mon bon Monsieur Juncker, vous ne savez rien, absolument rien, la seule chose à laquelle vous excellez, c’est à transformer l’UE en une tyrannie molle, inefficace et déficitaire, c’est Trump qui devra tout vous apprendre et puis l’UE, votre UE, elle n’est pas l’Europe et l’Europe, celle des nations et des citoyens, n’a pas besoin de vous, c’est vous qui n’avez rien compris, du balai, ouste !

Schulz, le président du parlement européen (encore un oligarque irremplaçable qui trouve d’ailleurs l’islam parfaitement compatible avec les principes de l’UE) dira d’un air triste à propos de Trump :

« Ce sera difficile de travailler avec lui » et avec toi bonhomme, c’est désastreux pour nous et de ça tu n’en as cure !

Vite, sortez vos mouchoirs, on va verser une larme pour ce gros naze !

Le nouveau Maire de Londres, Sadiq Khan, le socialiste musulman bon teint (je précise musulman pour le contexte précis et « bon teint » par rapport à sa couleur politique, le rouge donc…Il ne faut pas y voir autre chose, une forme de racisme par exemple) préviendra Trump, il dira :

« YOUR POLICIES WILL CAUSE A MUSLIM ATTACK »

Nous voilà prévenu…

Ben oui, les islamistes, c’est de notre faute (on nous l’a déjà faite celle-là) et de celle de Trump maintenant, c’est nous qui avons inventé l’islam et écrit le coran quand on avait 5 minutes à perdre de temps en temps, les appels aux meurtres, les versets sanguinaires ou violents, c’est encore nous, eh Dugenoux, tu nous prends vraiment pour des billes, tais-toi, passe à autre chose, tu veux bien !

Ce qui est sidérant, c’est qu’encore une fois et malgré tous ces abus, ces manipulations, ces mensonges, ces parti-pris constatés et prouvés chez nos dirigeants et dans les médias classiques, selon eux, nous sommes les menteurs et les manipulateurs, alors ils mettent en cause Internet, les réseaux sociaux et « monsieur tout le monde » dans la propagation de la « désinformation numérique » qui contribue à l’essor du populisme en Europe (aux USA, idem, l’élection de Trump, c’est la manifestation du populisme selon eux) voilà les mots de la Dame Merkel qui voudrait bien agir les mains libres et sans la moindre sanction populaire, elle n’est pas la seule, pour le moment, tous les dirigeants européens critiquent Internet, même Obama est de la partie, vous savez, c’est l’homme qui a planté l’Amérique et voulait en faire une république bannière, il avait l’intention de refiler le job à son amie Hillary, heureusement pour nous, le plan a tourné court le 8 novembre dernier, on est sauvé !

Merkel dira aussi :

  • « Nous devons affronter ce phénomène et, si nécessaire, le réglementer »
  • « Quelque chose a changé – avec l’essor de la globalisation, les débats ont lieu dans un environnement médiatique complètement nouveau. Les opinions ne se forgent plus comme il y a 25 ans. Aujourd’hui, nous devons apprendre à gérer les faux sites, les bots, les trolls, toutes ces choses qui se renouvellent  »


Pour qui se prennent-ils, c’est eux qui mentent et manipulent tout le monde, « les faux sites, les bots, les trolls », c’est encore eux ! Internet doit rester un espace de liberté, à nous de choisir ce que nous voulons lire, écouter et croire, et tant mieux si l’on trouve aussi des blagues, des hoax et quelques conneries mêlés à l’info plus sérieuse, à nous de trier le tout et de trouver notre bonheur dans ce supposé foutoir, les mensonges se régleront tout seul par l’exercice naturel de la liberté d’expression, c’est au contraire la censure qui installera le mensonge et la propagande, il suffit de regarder comment fonctionnent ou fonctionnaient toutes les dictatures du monde pour comprendre.

C’est ahurissant, ces politiciens agissent, pensent, s’expriment sur cet aspect particulier, comme l’auraient fait Staline ou Hitler, mais ce sont des « démocrates », la bonne blague, je n’y crois plus depuis longtemps, l’UE est devenue une tyrannie qui veut censurer la population, honte à eux !


Epilogue…

Voilà, nous l’avons vu, Trump est un homme sérieux, crédible qui a un plan efficace pour remettre son pays debout, ses détracteurs sont nombreux, mais, dans le fond, ils ne sont pas plus nombreux que ses admirateurs, le seul vrai problème est celui de l’information, celle-ci est totalement tendancieuse, on n’entend que ses opposants parce que les journalistes sont à gauche et cela ne date pas d’hier non plus, « Valeurs Actuelles » l’expliquait ici, ce qui vaut pour la France, vaut pour l’Europe et pour les USA, avec un outsider comme Trump, l’actualité prendra un autre tournant et les réflexes devront changer, comme on l’a vu, certains journaux ont déjà fait leur mea-culpa, je deviens optimiste, c’est la première fois en 30 ans.

Je disais de Trump qu’il était un homme réaliste qui me faisait penser aux fondateurs de Singapour et aux politiciens néozélandais pragmatiques des années 80, cela se vérifie chaque jour…Il vient de nommer Betsy DeVos à l’éducation et il parait que les enseignants (gauchistes sans doute) fulminent. « Le Soir » dira d’elle que c’est une richissime philanthrope conservatrice et farouche partisane du droit à choisir entre école publique, privée ou enseignement à la maison. Je ne la connaissais pas, mais je sais une chose, libérer l’économie ou l’enseignement, ce sont les seules solutions qui fonctionnent à merveille.

En Nouvelle Zélande, l’enseignement était en complète déconfiture, le système a été totalement libéralisé, conséquences, il est devenu efficace et le secteur public s’est même renforcé en jouant la concurrence, c’était un « win-win deal », avant la réforme, 85 % des élèves fréquentaient l’école publique, un an après, ce pourcentage est tombé à 84 % et trois ans plus tard, il passait à 87 %.

La liberté, ça fonctionne toujours, Trump le sait et il applique les bonnes recettes.

Pourtant « le cœur a les raisons que la raison ignore » on juge trop souvent les candidats à leur aspect, leur attitude ou leur charme, c’est humain, féminin sans doute.

Une amie, instruite, la cinquantaine élégante qui n'est pas gauchiste du tout pense, sans rire, que si le bilan d'Obama est désastreux (l'est-il vraiment me dit-elle encore ?), c'est de la faute de Bush, il aurait hérité d'une mauvaise situation...

Ah bon, faudrait-il en conclure qu'en HUIT ANS de mandat, Obama n'a rien pu faire... Evidemment non, Obama a détruit l’Amérique parce qu’il a opté pour les mauvaises recettes partout, il n’y a pas de mystères.

Enfin, une autre amie détenait l’explication à cette attitude peu objective sur le fond : « L'effet Nespresso sur la ménagère de plus 50 ans ».

En effet les dames que je croise préfèrent en général à près de 100%, l’élégance, le charme, l’expression, la nonchalance, le look et le sourire carnassier d’Obama, mais c’est du parti-pris, du sympathique parti-pris, mais du parti-pris quand même. On n’élit pas un président de la République sur son aspect….Il y a les concours de beauté pour ça. Mieux vaut en sourire, par politesse et gentillesse pour ces Dames.

De toute façon Trump est élu, j’ai dit et j’ai déjà écrit qu’il fera un excellent président, sans doute l’un des meilleurs de l’histoire américaine, je le confirme maintenant et j’en suis très heureux.

Longue vie à Donald Trump, vive l’Amérique, vive la liberté !