Nous connaître


Notre savoir, nos valeurs

L'Autre Voie veut :

  • Un vrai changement
  • Le rétablissement des valeurs fondamentales, essentielles
  • Une Belgique unie
  • Plus de liberté
  • Plus de sécurité
  • Une allocation universelle pour tous les citoyens belges
  • Rendre le pouvoir à la population, référendum et initiative populaire
  • Renforcer l’emploi
  • Renforcer les entreprises
  • Moins d'impôts
  • Le respect de l’environnement
  • Remodeler et simplifier la structure de l’Etat
  • Une Belgique ouverte sur l’extérieur sans ingérence dans les politiques des autres pays

Rien ne change véritablement depuis tant d’années, ce sont les mêmes qui occupent le pouvoir.

Ils n’ont rien mis de réellement neuf en œuvre. S’ils le faisaient enfin, ce serait à l’écoute des idées des autres. Comment leur faire confiance puisqu’ils ne seraient guidés que par leur opportunisme habituel ?

Il faut changer nos gouvernants, tous nos gouvernants de tous bords, si nous voulons de vraies innovations.

Quant à BHV ? C'est encore une histoire politicienne créée de toute pièce. La population, dans sa grande majorité, ne se sent pas du tout concernée par ce faux problème. L' administration est au service de la population, celle-ci doit suivre logiquement les demandes des administrés dans la langue nationale de leur choix.

Utopie, velléités, échec assuré… Une chose est certaine si rien n’est tenté, rien ne changera. Alors il faut réagir, sortir de sa torpeur, se réveiller, se rassembler, se lever tous ensemble et former une marée humaine gigantesque pour gagner le combat et reconstruire la Nation belge.
La Belgique appartient au Peuple, il faut s’en souvenir !

Nous avons la conviction absolue de représenter cette majorité silencieuse tenue à l’écart de tout, voici une occasion de nous exprimer pour enfin remettre notre pays "dans le bon sens"

Nos principes

L'Autre Voie est un parti citoyen qui veut réconcilier le Peuple et la Nation, le Peuple et l’Etat. Les belges voient nos politiciens comme des carriéristes, des profiteurs qui pensent à eux avant de penser au peuple. Cette image lamentable est la conséquence de l’effondrement de nos valeurs morales essentielles qui a conduit nos dirigeants à faire n’importe quoi pour autant qu’ils y trouvent leur avantage. La Belgique est devenue ingouvernable par le nombre de ses structures, par le morcellement désastreux du pouvoir, par les conflits d’intérêts mesquins, par un régionalisme coûteux et grotesque, par des combats de petits chefs stériles et ridicules, toutes choses auxquelles il faut mettre fin d’urgence. La philosophie spéculative voulait « dresser l’homme sur la tête », c’est sans doute encore ce que font nos hommes politiques en Belgique aujourd’hui, il est temps de remettre la Belgique sur les pieds, ils sont faits pour cela, et appliquer une politique saine et de bon sens.

Il faut réconcilier les classes, il n’y a pas des patrons d’un côté et des travailleurs de l’autre, des exploiteurs et des exploités, cette scission voulue de la société ne profite qu’à nos dirigeants de tous poils, politiques et syndicaux qui se nourrissent de cette idée fausse qu’ils entretiennent pour régner sur le Peuple Belge en le divisant. L'Autre Voie veut une véritable égalité entre les hommes qui ne peut pas exister dans un Etat spoliateur qui s’accapare de toutes les richesses par une politique fiscale spoliatrice et décourageante. Le renouvellement des richesses souhaitable doit être encouragé par un Etat responsable. Or ceci est impossible lorsque le produit du travail est taxé à outrance. L’Etat Social Démocrate moderne arrive exactement au contraire de son but proclamé, il appauvrit la population, il stoppe dans l’œuf l’amélioration des conditions sociales des moins nantis par le travail, il capte les richesses dont il ne redistribue qu’une faible partie pour en dilapider le reste.

La Belgique est aussi le Royaume « des petits copains politiques» qui occupent le terrain depuis des décennies, les mêmes, leurs fils ou leurs petits-fils ayant bénéficié de passe droit pour figurer en bonne place sur les listes électorales. En Belgique, on fait carrière dans la politique, sans diplôme, sans expérience, sans compétence réelle, on entre au parti par la grâce des amis, du papa ou de l’oncle et puis avec un peu de chance on devient ministre un jour. Une fois ministre on est encensé par les collègues, les médias, par tout le monde parce que personne n’ose plus rien dire. Le nouveau ministre est rapidement atteint du syndrome du fauteuil mais il est tout puissant et il le sait. Nos démocraties ont été détournées de leur fin. A l’origine, l’idée, parfaitement louable, était de donner au plus grand nombre le droit d’accéder au pouvoir par le jeu du suffrage universel en écartant tous les avantages que pouvaient apporter la naissance, la fortune ou les relations. Le principe était grand, il était beau, il était noble mais aujourd’hui on est loin de ces principes, on est en pleine cacophonie politique. Les grands partis politiques ont véritablement accaparé le pouvoir sans partage, ils font ce qu’ils veulent, ils accordent tous les privilèges alors que le Peuple n’a rien à dire. La population pourrait par le vote changer les choses mais elle ne le peut pas, en fait, car quoiqu’elle fasse, ce sont les mêmes qui reviennent, encore et encore…

Nos démocraties se sont usées par le rejet ou par l’oubli des valeurs fondamentales. En pratique les nouvelles valeurs sont l’avidité, la cupidité, l’arrivisme, l’égoïsme, l’individualisme, la vulgarité, la paresse, le mensonge ou l’égocentrisme. Que reste-t-il, du don de soi, du culte du travail bien fait et de l’effort, de la recherche de la perfection, de l’envie de toujours s’améliorer par les études ou par le travail, de la solidarité, la vraie solidarité naturelle entre les hommes pas celle de pacotille imposée par nos Etats, du sens de l’honneur, de la parole donnée, du respect que l’on doit à nos parents, à nos aînés, à nos professeurs, à quiconque nous assiste sur le chemin de la vie. Les valeurs fichent le camp car plus aucun idéal ne guide nos dirigeants, ils voient uniquement à court terme, ils pensent aux prochaines élections, ils n’incarnent rien du tout sinon eux-mêmes. Pourtant l’exemple doit venir par le haut !

On dit aussi que le peuple a les élus qu’il mérite et bien c’est faux parce que le peuple n’a pas le choix, il prend ce qu’on lui propose, ce qu’on lui impose.

Tout cela fait penser au film « La Folie des Grandeurs » où Louis De Funès incarnait un ministre de la Reine d’Espagne. Alors qu’il avait été répudié par la Reine, il était conduit devant elle et demandait sa clémence en prétextant que « ministre il ne savait rien faire ». Il voulait être maintenu dans son poste puisqu’incapable de faire quoi que ce soit d’autre.

Les temps changent, les politiciens ne changent pas, il suffit d’observer à quel point, de nos jours, ils tournent d’une place à l’autre en passant des parlements nationaux au parlement européen lorsqu’ils ne sont pas tout simplement sortis de l’ombre pour être propulsés Président de banque….c’est un aimable carrousel que le public voit tourner en éternel spectateur. Tout ceci coûte fort cher au Peuple qui est largement tondu, mis à contribution forcée et qui doit se débrouiller seul pour vivre ou simplement survivre. Cela doit impérativement changer.

La Belgique est aussi censée être un Etat de droit où il fait bon vivre, partout, sans zones de non-droit comme c’est le cas actuellement où les voyous font la loi et où la police n’ose plus entrer. La démocratie doit se donner les moyens de lutter contre la barbarie, la sauvagerie de certains groupes sans se voiler la face. Ces voyous profitent de la faiblesse de nos lois, ils se moquent de nous et souvent ils sont laissés impunis et libres de recommencer leurs forfaits. Maintenant cela suffit, il est temps de remédier à cet état de chose lamentable.

L’Institutionnel :

La structure de l’Etat belge est une hydre gigantesque créée par les politiciens pour les politiciens qui pratiquent très efficacement le principe du « on est jamais aussi bien servi que par soi-même »
Au niveau législatif les parlements (6 parlements ???) et le Sénat totalisent 631 députés et sénateurs.

Au niveau du gouvernement : le gouvernement fédéral se compose de 23 ministres et secrétaires d’Etat, le gouvernement flamand de 11 ministres, le gouvernement de la communauté française de 7 ministres, le gouvernement de la communauté germanophone de 4 ministres, le gouvernement Wallon de 8 ministres et d’un président et enfin le gouvernement de la région de Bruxelles capitale d’un Ministre-Président, de 4 ministres et de 3 secrétaires d’Etat….ouf, on y est, soit : 62 ministres et secrétaires d’Etat (6 gouvernements ???)

A titre de comparaison le dernier gouvernement français (il n’y en a qu’un seul) se compose de 38 ministres et secrétaires d’Etat, il n’y a aussi qu’un seul parlement qui se compose de 577 députés au niveau national et un Sénat de 342 sénateurs.
Ces chiffres démontrent d’eux-mêmes le ridicule de notre situation belge qui se passe de tout commentaire.

Il est évident qu’il faut nettoyer tout cela et imaginer un système différent pour notre pays. La structure d’un pays est au service des citoyens, elle est un moyen, pas une fin en soi. Il faut défaire ce qui a été fait inutilement, croire que les choses sont irréversibles est un non sens parce que seule la mort est irréversible. Les constructions humaines peuvent se faire et se défaire.

Notre pays est proprement ingouvernable et la population est pratiquement tenue à l’écart des décisions. Il faut instaurer le referendum et monter une structure qui part de la base et remonte vers le haut. Les communes doivent être le réceptacle des volontés du peuple et ces volontés doivent remonter le canal jusqu’au pouvoir législatif et au gouvernement. La décentralisation doit s’appliquer de manière simple et rapide et ne pas être un contre pouvoir ou un obstacle pour le pouvoir central. L’unité du pays doit être conservée, elle ne doit pas être sacrifiée à un régionalisme antagoniste.

Structure de l’État belge

Nom

Territoire de compétence

Législatif

Exécutif

État fédéral

Tout le pays

Parlement fédéral composé de :

Gouvernement fédéral

Communauté flamande etRégion flamande

Les cinq provinces de la Région flamande, ainsi que les 19 communes bilingues de laRégion de Bruxelles-Capitale où elle n’exerce de compétences que pour les matières communautaires

Parlement flamand(Vlaams Parlement)

Gouvernement flamand

Communauté française

Les cinq provinces de la Région wallonne (à l’exception des 9 communes germanophones), ainsi que les 19 communes bilingues de la Région de Bruxelles-Capitale où elle n’exerce de compétences que pour les matières communautaires

Parlement de la Communauté française

Gouvernement de la Communauté française

Communauté germanophone

Les 9 communes germanophones descantons de l’Est

Parlement de la Communauté germanophone(Parlament der Deutschsprachigen Gemeinschaft)

Gouvernement de la Communauté germanophone

Région wallonne

Les cinq provinces wallonnes

Parlement wallon

Gouvernement wallon

Région de Bruxelles-Capitale

Les 19 communes de Bruxelles

Parlement bruxellois

Gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale

Assemblées des Commissions communautaires(Cocom, Cocof et Vgc)

Collèges des Commissions communautaires(Cocom, Cocof et Vgc)

 Source Wikipedia

L’économie : 


Dans un monde moderne l’économique est au centre de tout, on peut le regretter, mais c’est comme ça, on ne peut rien y changer.

Si l’on regarde les années qui ont suivi la révolution russe jusqu’à nos jours on remarquera facilement qu’il n’y a que deux systèmes de gestion économique. Le collectivisme qualifié aussi à tort de capitalisme d’Etat et le libéralisme. Il ne faut pas se voiler la face, le collectivisme est un échec total, il a créé la misère, la famine, l’injustice, l’arbitraire et la tyrannie. Le communisme est aussi totalement anti démocratique parce qu’il concentre en quelques mains le pouvoir politique et le pouvoir économique. Le communisme est un échec retentissant, point final. Le socialisme est la petite sœur du communisme, il ne vaut pas mieux.

Le libéralisme a des défauts mais il est le seul système qui fonctionne, c’est un fait avéré et incontestable. La Belgique plutôt inspirée du libéralisme s’est doucement enfoncée dans une sociale démocratie molle et inefficace. L’Etat est omniprésent, omnipotent, il veut tout régler, tout régenter et rien ne change depuis des années sinon que la pression fiscale devient de plus en plus forte, de plus en plus confiscatoire.

Il faut savoir que l’impôt tel qu’il existe en Belgique est une pure invention politique basée sur le principe révélé de la sacro-sainte redistribution. Il faut prendre « aux riches » et redistribuer. L’Etat « socialo-démocrate » pense, à tort, que sa population est figée, fixée, divisée une fois pour toute entre pauvres et nantis et donc qu’il faut intervenir pour créer l’équité qui sans lui n’existerait pas. Seulement, ce n’est pas comme cela que ça marche, il existe des passerelles entre les classes et ces passerelles sont d’autant plus praticables que la liberté de jouir du produit de son travail est grande. Contrairement à ce que pensent les gens ce n’est donc pas sur base d’études économiques poussées que le principe de la progressivité de l’impôt a jadis été établi. Il est simplement l’œuvre d’un dogme, d’une philosophie égalitariste forcée. Mais, l’Etat, on le sait, ne redistribue que ce qu’il veut et il dilapide le reste. Il est comme un enfant déraisonnable, il dépense plus qu’il ne reçoit, si on lui donnait tout il arriverait encore à faire des dettes.

Une chose est pourtant certaine, la richesse économique va de pair avec la liberté économique ; plus il y a d’impôts, plus il y a de charges sociales, moins cela fonctionne correctement et plus il y a d’injustices. Prétendre le contraire serait mentir !

D’ailleurs, qui crée les richesses ? La population qui investit, qui prend des risques, tous les risques, qui innove, qui fait des paris sur l’avenir, qui travaille, qui crée les emplois, qui crée les entreprises et qui fait tout cela simplement pour vivre. Que fait l’Etat en cette matière, rien du tout, il parasite honteusement le système et fier de lui, il laisse une obole au peuple.

Le plus gros employeur belge est représenté par tous les indépendants, tous les artisans et toutes les PME, un monde écrasé arbitrairement de charges, d’impôts et montré du doigt comme un fraudeur alors qu’il est la force vive de la Nation, il est aussi le paysage de notre nation. Ce monde est aussi un monde vivant, il est différent d’une génération à l’autre, quand il ne change pas plus vite encore. Ce n’est pas un monde figé où les nantis sont en place pour toujours. Ce monde est à l’image de la vie et de la nature, il bouge, il change, il fluctue, il est le contraire des dogmes réducteurs du collectivisme rampant ou activiste.

Que seraient nos villes, nos villages et nos campagnes sans les commerces de toutes natures ? Ils seraient morts, mornes et tristes, à l’image des anciens pays de l’Est communistes qui aujourd’hui ont tous compris et nous donnent des leçons de libéralisme pendant qu’en Belgique les dinosaures socialistes chantent encore l’Internationale en levant le poing !

Il faut aussi savoir que ce poing levé est l’image de la lutte sociale, il est la main fermée avec force que l’on voudrait écraser sur la tête de son adversaire. C’est un symbole hérité d’une époque révolue qui devrait passer à la trappe parce que c’est le symbole de la haine de l’autre. L'Autre Voie veut réconcilier les classes parce que partout où il regarde il ne voit que des hommes et des femmes, francophones ou néerlandophones, soucieux de vivre ensemble et il ne voit pas les rangées d’adversaires sociaux imaginés par les socialistes qui, selon la vieille méthode, préfèrent diviser pour régner. La fraternité humaine est dans nos cœurs, elle est naturelle et ne doit pas nous être imposée artificiellement par une caste politicienne uniquement avide de pouvoir. Elle ne se crée pas par décret, par la force ou par la contrainte, elle vient du fond de nos tripes quand chacun a l’impression de vivre dans un monde juste, un monde équitable ou un monde respectable. Il faut affronter la vie en vainqueur, pas en vaincu, et, contrairement à ce que l’on dit souvent, l’important, en tous domaines, est de gagner, non de participer, parce que si l’on n’aborde pas les évènements en vainqueur, on a perdu d’avance. Alors seulement, avec cet état d’esprit,  on pourra se dire, quoiqu’il arrive, que l’on aura tout fait pour réussir, réussir ses études, réussir dans son boulot, réussir dans sa famille ou dans le sport que l’on pratique. On doit vivre debout et non assis en attendant les largesses de l’Autre.

Finalement, les réactionnaires sont ces socialistes rétrogrades qui s’accrochent au pouvoir de toute leur force et qui se fichent bien du peuple qu’ils devraient défendre. Leur devise : « demain on rase gratis, pourvu que l’on reste au pouvoir » !

Pour en revenir aux impôts, ici en Belgique l’Etat ratisse large, très large, quand nos voisins français paient 5 % d’impôts sur leurs revenus, nous en payons déjà 30 %, on passe très vite à 50 % et on n’a pas encore parlé des impôts communaux. Si on ajoute une TVA à 21 % on est bien obligé de constater que l’Etat engouffre jusqu’à 60 % de nos revenus sans sourciller et tout cela semble normal à notre monde politique de gauche ou de droite qui évidemment se nourrissant fort bien de la bête n’a pas envie de changer les règles. D’ailleurs pourquoi changerait-il, quand on voit les revenus de tous ces messieurs ou de ces dames, on comprend vite qu’ils préfèrent rester en place et laisser au peuple qu’ils prétendent défendre de maigres salaires largement imposés pour payer leurs frais et leurs dépenses.

Nos politiciens ne sont pas des entrepreneurs, ce ne sont pas des visionnaires non plus, mais, une chose est certaine, ce sont de piètres gestionnaires très contents d’eux-mêmes.
En matière d’impôts, nos politiciens ont tout compliqué. Non contents d’établir des barèmes confiscatoires, ils ont créé des tas de niches, d’exceptions à la règle, source d’inégalités.
Voici les taux actuels :


Tranches (montant annuel net imposable)

Taux d'imposition

de 0 à 7420 euros  

25 %

de 7 420 à 10 570 euros 

30 %

de 10 570 à 17 610 euros 

40 %

de 17 610 à 32 270 euros 

45 %

plus de 32 720 euros  

50 %

Que tout cela est décourageant, injuste, injustifié et grotesque. Pas étonnant que les élites fuient le pays et que les industries délocalisent. On voit bien que l’Etat ou plutôt nos hommes politiques qui n’ont jamais créé d’entreprises, pour la plupart, ne savent pas de quoi ils parlent. Ces gens là voudraient que l’on mette ses économies et que l’on travaille 12 heures par jour pour remplir les poches d’un Etat irresponsable et gourmand, pendant que soi-même on se contenterait d’une misère. C’est tellement idiot que cela en devient presque drôle !

Depuis des décennies déjà, on voit les « cerveaux » désireux de quitter la Belgique pour entreprendre sous d’autres horizons. Cela n’a jamais choqué personne et certainement pas nos éternels politiciens qui n’ont jamais rien fait pour changer les choses. Pourtant quelle honte pour eux, quelle disgrâce, quelle infamie. 

L' Autre Voie voudrait le contraire de cela. Il faut que non seulement nos élites restent chez nous mais encore que d’autres viennent de l’extérieur attirés par des conditions de travail et d’investissement favorables. La Belgique doit cesser d’être uniquement une terre d’accueil pour les fonctionnaires internationaux et tous les privilégiés du système étatique au sens large surpayés et gavés d’avantages de toutes natures. Le pays doit être favorable au citoyen de base, celui qui, en définitive, paie pour tout.

L' Autre Voie propose, en conséquence, un taux unique de 10 % à partir de 7420 euros et la suppression de toutes les niches et de toutes les exceptions à la règle qui ne sont souvent que des passe-droits plus ou moins justifiés. La Belgique deviendra attrayante aux yeux du monde, les capitaux afflueront, les investissements se bousculeront en toute transparence et surtout, mais alors surtout, la fraude fiscale si chère à nos amis collectivistes disparaîtra purement et simplement et nous retrouverons en Belgique les 30 milliards d’euros que représenterait cette fraude, éternel monstre du Loch Ness de nos pauvres sociales démocraties larmoyantes et pleurnichardes.

L’erreur commise par tous nos politiques est aussi de croire que l’on peut ou que l’on doit aider les entrepreneurs et d’imaginer alors toutes sortes de règles et de mesures aussi chères qu’inutiles. Il faut cesser avec cela et supprimer toutes les aides qui finalement créent des inégalités peu souhaitables. L’Etat, qui est incapable d’entreprendre, veut apprendre à entreprendre, quelle aberration et quelle duperie. Cela ne peut pas fonctionner !

Il faut libérer les forces entrepreneuriales de tous les carcans et de toutes les aides inutiles. Distribuer de l’argent aux uns et pas aux autres est un principe inégalitaire qui n’est pas acceptable et qui, en plus, est source d’abus divers. L’Etat doit apprendre à rester, le plus possible, dans son rôle régalien et à ne pas déborder sur tout et sur tout le monde. Il est à l’image d’un virus qui se propage et que personne ne peut arrêter ou ne veut arrêter. Il est maintenant temps de dire stop haut et fort pour mettre fin à la gabegie et rendre au Peuple ses droits élémentaires de liberté.

Il faut assainir l’Etat une fois pour toute avec force et détermination.

La justice et l’immigration :


Dans les années 60, nos pays ont abandonné leurs colonies avec raison. Le principe sous-jacent était le « droit des peuples à disposer d’eux-mêmes ».

Ce principe induisait aussi le droit pour ces populations de vivre selon leurs coutumes, leurs valeurs et leurs usages. Alors, ce qui est vrai pour les uns doit aussi être vrai pour les autres. Nous avons, nous aussi, le droit de disposer de nous-mêmes et de vivre selon nos coutumes, nos valeurs et nos usages. Celles et ceux que nos pères et grands-pères nous ont transmis et pour lesquels ils se battus à deux reprises. L’étranger qui vient chez nous doit obligatoirement se plier à nos coutumes, il doit apprendre notre langue, il doit partager toutes nos valeurs et ne pas nous imposer les siennes. Or nous sommes loin du compte, de véritables zones de non droit se sont créées à Bruxelles et ailleurs. Dans ces zones, le Belge n’est pas le bienvenu, il se fait insulter, cracher dessus, il se fait tabasser aussi quelquefois et la police est absente parce qu’elle se fait chasser de ces endroits par des meutes hurlantes. Notre Etat est lâche, il est faible, il a abandonné la lutte contre la barbarie parce que, jusqu’ici, on confond les valeurs démocratiques avec la couardise. Notre Etat doit pourtant être fort, il doit considérer les voyous pour ce qu’ils sont et les traiter comme tels. La démocratie donne des droits mais elle est aussi source de devoirs. La Belgique actuelle a tendance à donner trop de droits aux voyous et à oublier les victimes.


La police fait un métier difficile, très difficile parce qu’elle n’est pas soutenue par nos politiciens et par nos lois. On parlera facilement de bavure policière, on mettra de braves policiers en cause alors que les délinquants, les voleurs, les escrocs, les assassins trouveront toujours quelqu’un pour les défendre. On invoquera pour eux, les droits de l’homme, le droit à la défense, la présomption d’innocence et des tas de tartufferies pour justifier leurs méfaits, leurs crimes ou leurs délits.

Pour l' Autre Voie, la police est l’alliée de la population parce qu’elle est là simplement pour la défendre. Il y a les honnêtes gens d’un côté et les voyous de l’autre. C’est une équation simple. Notre démocratie doit reconnaître le droit à l’erreur, elle ne doit pas couvrir systématiquement tous les délits au nom de « je ne sais quel principe douteux». Nous pourrions donner de très nombreux exemples d’abus en tous genres, le lecteur en trouvera facilement en fouillant parmi les derniers faits divers qui sont légions.

Un coupe-gorge parmi d’autres, la gare du midi. Combien d’entre nous n’y ont-ils pas été agressés par des barbares armés de couteaux ou de barres de fer pour se faire frapper, casser la figure et délester de tout. Que font ces bandes armées à rôder dans la gare et les environs, et, que fait la police qui en est souvent absente ? C’est une honte qui doit prendre fin. La police doit être présente sur les lieux et les rôdeurs qui campent partout, à l’affut de victimes, doivent être délogés de là ; par la force s’il le faut.

Il n’y a pas assez de policiers, et bien, qu’on y mette l’armée, pas assez de militaires et bien que l’on rétablisse le service militaire. En le rétablissant, on fera d’une pierre deux coups ! On formera les jeunes à l’esprit civique et on les retirera de la rue.

Un policier doit être fier de ce qu’il fait et la société doit le respecter pour ce qu’il fait. A force de les mettre en cause, nos policiers n’ont plus le moral, plus la force, plus la volonté de faire leur boulot comme ils le devraient. La place de la police est sur le terrain, pas dans les bureaux, il faut une police de proximité qui connaît son quartier et qui œuvre pour le bien de tous. Elle doit être reconnue par les citoyens honnêtes et soutenue par la population et par la hiérarchie politique. Or, ce n’est pas le cas aujourd’hui. Une police, décriée à tort, manquant de moyens, ne peut pas être respectée et, cette situation profite aux délinquants.

Le policier doit être renforcé dans son image, il est, sur le terrain, le gardien de nos droits et de nos valeurs. Nous devons lui donner notre confiance et le remercier pour ses efforts. Il sert et protège la population ; la population doit donc, en échange, lui obéir, l’écouter et se plier aux contrôles qu’il jugera utile de mettre en œuvre. Le droit à notre tranquillité ne doit pas être une entrave au travail de la police.

Il faut renforcer les lois et punir les délinquants. Combien d’assassins, d’agresseurs à main armée sont-ils laissés en liberté. Il faut revoir les peines et condamner très lourdement ceux qui s’en prennent à l’intégrité physique de la population. Il faut expulser les étrangers délinquants, les sans papiers et tous ceux qui viennent pour profiter indûment des largesses et des faiblesses de notre pays. Nous n’avons pas les moyens d’accueillir toute la planète quand, en plus, déjà des nationaux manquent de tout. Cette charité mal orientée doit cesser.

L’appareil de la justice fonctionnera mieux quand l’échelle de nos valeurs sera retrouvée. Ce ne sont pas nos magistrats qui sont mauvais, c’est l’esprit derrière cet appareil qui est mauvais, qui est vicié. En droit commercial il existe un principe souverain, l’équilibre des contrats. Si ce principe n’est pas respecté, il y aura des conflits ou des mésententes. Ce principe s’applique en toutes choses. Un juge doit rendre une décision la plus équitable possible et ensuite, cette décision doit être appliquée et respectée. 

Qu’en est-il aujourd’hui ? Le désordre, la mésentente apparente et une impression de n’importe quoi. On relâche les assassins, les voleurs quand tout simplement on ne les poursuit pas. Vu de l’extérieur, la justice est une aimable plaisanterie parce que les sentences rendues sont déforcées par la faiblesse de nos lois. Ce n’est pas la faute des magistrats qui font leur travail du mieux qu’ils peuvent mais du législateur qui légifère en dépit du bon sens. C’est lui qu’il faut changer !

L’écologie et l’environnement :

Curieusement dans nos pays écologie rime avec «  gauche ou extrême gauche ». Les partis « écolos » sont les héritiers des partis verts nés en Allemagne notamment à l’initiative de Petra Kelly militante d’extrême gauche. On ne va pas refaire tout l’historique ici, l’idée est simplement de camper le décor. Mais grosso-modo, les révolutionnaires, les anarchistes, les ex soixante-huitards ont récupéré l’écologie à leur compte. On se demande bien pourquoi les autres partis leur ont, curieusement, laissé la place. De nos jours, il en va de même sans que cela ne choque personne. L’écologie politique est de gauche, ça ne se discute pas !

La gauche est donc pour la préservation de la nature et en conséquence, on imaginera que la droite ne l’est pas. Voilà une nouvelle vérité révélée et c’est évidemment une ânerie. La préservation de la nature est de l’intérêt de tous et chacun préfèrera les plaines fleuries aux autoroutes asphaltées.

L’écologie n’est ni de gauche, ni de droite, elle est la science qui consiste à comprendre les écosystèmes. Les politiciens s’en sont accaparés avec le seul résultat de nous inventer des écotaxes ou de s’allier avec le GIEC pour nous pondre à l’échelle mondiale une théorie contestable et contestée de la pollution par le CO2. Le peuple paie des taxes et les élus écolos siègent dans les parlements nationaux et européens, grassement payés aux frais de la princesse. Le schéma est toujours le même ; le politique s’engraisse et le peuple rame !
Plutôt qu’un long discours sur le CO2 ou sur le réchauffement climatique, nous vous renvoyons à l’excellent site d’un scientifique français de haut niveau qui vous parlera mieux que nous de toutes ces questions réellement passionnantes. http://www.pensee-unique.fr/ .

L' Autre Voie pense que les questions écologiques sont des questions scientifiques qui doivent se régler avec nos universités. En Belgique, nous avons d’excellentes universités. Le pouvoir politique doit établir un pont permanent avec elles afin de rechercher des solutions réelles à de vrais problèmes, plutôt que de nous taxer, comme d’habitude, pour des raisons partisanes et sans fondements.

Le peuple ne construit pas les voitures, il ne fabrique pas non plus l’électroménager et tous ces produits taxés arbitrairement par nos Etats voraces au nom d’une écologie dévoyée.
Nos politiciens n’ont pas de solutions, ils n’en ont d’ailleurs jamais. Ils ne savent que faire payer le peuple qui subit en silence… Il n’y a qu’un mot à ajouter : ASSEZ !
Mais évidemment il faut limiter l’usage des carburants fossiles, développer des énergies propres, pratiquer la politique du pollueur payeur, mais il faut faire cela en accord avec les intervenants économiques, les scientifiques et toutes les parties concernées. Il ne faut pas d’ukases définitifs et autoritaires émanant d’un pouvoir politique sûr de lui et peu respectueux d’autrui.

La politique extérieure :


En matière de politique commerciale, l' Autre Voie est pour l’ouverture vers les autres sans ingérence d’aucune sorte. Il ne nous appartient pas de juger les régimes «tiers » pour accepter les uns et rejeter les autres. Chaque peuple a le droit de vivre et le peuple n’est pas responsable des régimes au pouvoir. Tout système de ségrégation d’une autre Nation viserait à porter préjudice aux populations comme cela a été le cas pour le peuple irakien jadis. Nous, pas plus que quiconque, ne sommes les maîtres du monde et nous n’avons pas à imposer nos dogmes ou nos idées aux autres. Chacun doit balayer devant sa porte !

Les relations commerciales entre les pays les rapprochent plus qu’elles ne les divisent et le commerce vaut mieux que la guerre.

L’Europe est devenue un « machin » gigantesque, ingouvernable qui fait surtout plaisir à tous les députés, tous les fonctionnaires, véritables super-privilégiés d’un système lent, lourd, inefficace qui se mêle de tout et qui coûte très cher…au citoyen.

Chaque Nation doit rester maître chez elle, parce que si l’on coupe les pattes aux dirigeants nationaux, les gouvernements n’auront bientôt plus lieu d’être. Si l’on superpose des dirigeants partout et à tous les niveaux, ce qui est fait maintenant, non content de diluer le pouvoir on l’annule par les contradictions inhérentes aux différentes structures créées.

L’Europe devrait rester une zone de libre échange entre les hommes, les marchandises et les services. On a tort de comparer notre Europe aux Etats Unis d’Amérique parce que l’Europe est une juxtaposition artificielle de Nations totalement différentes par la langue, la culture et les coutumes. Certains y verraient même la Turquie – dont 90 % du territoire ou plus est en Asie ???-nous pas du tout !

L'allocation universelle

L’allocation universelle à vie pour chaque belge, 375 € par mois jusque dix huit ans et 750 € ensuite

La démocratie c’est avant tout des droits égaux pour tous. Or nous sommes loin du compte en matière des prestations sociales de toutes natures. Les uns touchent quelque chose et les autres, souvent les plus performants, rien du tout. Ces derniers sont ponctionnés, pressés comme des citrons au nom d’un égalitarisme forcené et si demain ceux-ci sont sur le carreau, ils n’auront souvent aucun droit après avoir alimenté une machinerie inhumaine, inéquitable et totalement irréaliste. En effet si l’on combine, allocations familiales avec la fiscalité écrasante de notre pays, un célibataire sans enfant qui crée une entreprise, des emplois et qui galope pour son boulot, son projet, sans avoir le temps de penser à autre chose, à fonder une famille, par exemple… s’il a un revenu raisonnable se verra écrasé par les impôts et n’aura droit à aucune allocation d’aucune sorte, pendant qu’un chômeur professionnel, la spécialité belge, marié avec deux enfants touchera des allocations diverses en se tournant les pouces. Est-ce justice, non évidemment.

Bref le système encourage la paresse et décourage ceux qui prennent des risques. On pourrait aussi parler des réfugiés dits politiques et de tous les profiteurs trop heureux de tirer sur la corde de  toutes les prestations sociales qui font vivre ceux qui en bénéficient et ceux qui les accordent, ceux qui vivent de privilèges et ceux qui les donnent. Si on devait en faire le bilan, les chiffres doivent exister, on pourrait apprécier la catastrophe économique qu’engendre l’application de pareils principes.

Au-delà de cela on devrait aussi réfléchir sur le sens du travail et sur les conséquences de la recherche éternelle de la maximisation du profit dans certaines entreprises et souvent dans les plus grandes d’ailleurs. Le poids des actionnaires institutionnels, froids et impersonnels est tel qu’aujourd’hui on trouve plus d’aliénation dans le travail que d’épanouissement. La compétition entre les cadres est aussi devenue malsaine parce que le système encourage de manière perverse une lutte sournoise entre des salariés qui se tirent souvent dans les pattes pour défendre des possibilités de promotion personnelle. Ceci crée un climat déplorable qui se retourne finalement et également contre l’entreprise elle-même, parce qu’une ambiance désagréable défavorise les contacts entre les salariés, l’échange, le dialogue sincère, la qualité du travail et donc la rentabilité. Curieusement, le travail est souvent vu comme quelque chose de négatif, d’ennuyeux, de contraignant parce que bêtement, dans nos pays, on assimile trop souvent plaisir avec loisir et boulot avec contrainte. Qui n’a pas entendu un chef de service ou un patron dire un jour sur un ton un peu martial ; « allez, on bosse ici… » parce qu’il avait constaté une ambiance bon enfant, des rires ou trop de bonne humeur. Comme si l’on devait nécessairement bosser avec une mine grave et l’air de s’ennuyer.

On voit bien que quelque chose ne tourne plus rond dans le monde du travail. Les allocations que touchent les uns sont perçues comme injustes par les autres, le rapport de force dans les entreprises devient tel que les gens se sentent exploités et n’ont souvent pas d’autre choix que de continuer à subir ces pressions. Bref, rien ne va plus et si l’on continue comme cela on va droit dans le mur. Une fois encore notre société a développé involontairement un monde dual, un monde conflictuel, un monde qui oppose les citoyens entre eux au lieu de les unir. Notre monde est absurde, tout divise, tout sépare et tous concourent consciemment ou inconsciemment à l’entretien de ces divisions alors que dans un même temps ils prônent la cohésion et l’entente. Il y a les syndicats qui s’opposent au patronat, les politiciens qui utilisent les faiblesses humaines, les différences entre les hommes pour les diviser davantage, les classer dans une caste particulière pour en tirer profit et se faire élire. Il y a les médias qui utilisent à leur tour ces divisions pour régner sur l’information et entretenir ces clivages parce que eux aussi vivent de ce qui sépare les hommes plutôt de ce qui les réunit. La presse n’est que conflits, guerres, mésententes parce que comme toujours nous exploitons le pire de la nature humaine, ses défauts, non pas ses qualités. Le gout du scandaleux, le plaisir de fouiller dans les poubelles prédominent. Le monde du travail semble uniquement défini entre ceux qui travaillent et ceux qui chôment, ceux qui méritent et ceux qui profitent. Tout cela n’est qu’un cercle vicieux dont on ne sortira jamais si on ne change pas complètement les solutions proposées. Il faut regarder au-delà et non en deçà en restant figé le nez planté sur sa copie. Il faut avoir la vue haute et la tête claire, il faut voir loin et comprendre à long terme.

Notre système est devenu absurde, selon L’Echo *et pour ne donner qu’un seul exemple, les montants à recouvrer par l’ONEM, notamment pour des allocations indues, ne cessent de grimper. Le pire c’est que ces allocations ont souvent été touchées par des gens en situation de précarité, ce qui rend la récupération de ces créances très compliquée. Les contrôles vont donc s’intensifier, tant chez les allocataires que chez les employeurs où l’on recherchera aussi les fraudes aux subventions à l’embauche (Win Win et Activa).

Alors soyons révolutionnaires et sortons de ce cercle infernal, comment, par une allocation universelle unique pour tous les citoyens belges qui remplacerait les allocations de chômage, les allocations familiales, les assurances retraite et toutes les aides existantes (seule l'assurance santé serait préservée). Ce système serait le seul véritablement égalitaire qui joindrait libéralisme et communisme, liberté d’entreprendre et solidarité entre tous. Voici enfin Marx et Friedrich Hayek couchant dans le même lit, le rêve improbable réalisé. Le grand avantage d’une telle allocation est que tout le monde y aurait droit, plus de jaloux, plus de profiteurs, plus de parasites, plus de craintes de se retrouver sans un sou, plus de précarité absolue, plus de sans droit, mais un monde où tous collaboreraient à une société équitable, solidaire qui ne laisserait personne crever sur le bord de la route. 

*http://www.lecho.be/actualite/economie_-_politique_economie/Fraude-_l-Onem_doit_recuperer_190-millions.9035886-3166.art?ckc=1

 Ce système est révolutionnaire mais il est aussi réaliste parce qu’avant tout, il tient compte de la nature humaine profonde. Grâce à cela nous aurions enfin l’exemple d’un Etat qui donne avant de prendre au lieu d’un Etat qui revendique pour lui-même et qui fait sienne la générosité qu’il impose aux autres. Tout est déjà dans le symbole !


Le communisme, en théorie, fraternel et égalitaire, a généré des sociétés épouvantables, des dictatures sanguinaires, parce que tous les pouvoirs étaient dans les mêmes mains, pouvoirs politiques et pouvoirs de l’argent. Le capitalisme, la seule réponse existante au communisme débouche, à son tour, sur une société inégalitaire, parce que le mondialisme a créé des géants économiques, des machines inhumaines, transfrontalières qui écrasent les hommes au nom du seul profit et au bénéfice d’une toute petite minorité. Les classes moyennes sont peu à peu lessivées et meurent également sous un impôt spoliateur. Pourquoi ces systèmes n’ont-ils pas fonctionné et ne fonctionnent-ils plus convenablement, simplement à cause de notre nature profonde et cachée. L’homme, malgré ses qualités, est souvent cupide, égoïste, egocentrique, avide de pouvoir ou jaloux de son voisin. Si nous n’intégrons pas ces données dans nos choix et dans nos solutions, c’est cette nature là qui ressortira et qui anéantira toutes les bonnes volontés à cause de plans inadaptés. Laissons un instant la parole à Jacques Marseille, un économiste français, hélas disparu récemment.

C’était  un homme de génie, d’esprit et de fraternité. L’exemple est français, mais la société belge fonctionne suivant les mêmes modèles et ce qui est vrai pour la France l’est aussi pour la Belgique. Utopie, me direz-vous, certainement pas. Il faut se rappeler que même Louis Pasteur passait chez certains pour un charlatan ou un imposteur. 
Les idées nouvelles, surtout lorsqu’elles touchent au génie sont difficiles à faire accepter. Pour une raison toute simple, les gens en place, les décisionnaires ne les ont pas eues et se sentent soudain idiots ou ridicules. Ils craignent aussi d’être évincés et s’accrochent de toutes leurs forces à leur haute charge ou à leurs privilèges. Cette bonne vieille nature humaine qui nous joue de si vilains tours !

Voici donc un extrait de « L’argent des français » par Jacques Marseille : 

« Tant pis pour les paresseux » est bien, en effet, la seule réponse des partisans de l’« allocation universelle » à ceux qui pensent que tout homme est obligé de travailler pour avoir le « droit de vivre ». Car s’il faut « contraindre » les salariés français à travailler pour qu’aujourd’hui 15 % d’entre eux gagnent le SMIC, soit 1 000 euros nets par mois, comment construire sur cette « contrainte » une société moins aliénante et moins soumise à la précarité que celle dans laquelle sont aujourd’hui plongés trop d’entre eux ? En fait, le pari de l’allocation universelle est que l’insertion sociale ne peut se construire sur la contrainte mais sur la confiance placée dans les bénéficiaires de ce nouveau droit.

Une utopie, sans doute, pour tous ceux qui n’accordent aucune confiance aux individus et pensent que seule la contrainte de « gagner son pain à la sueur de son front » est le meilleur garde-fou contre la paresse. Un pari sur l’intérêt et la nature humaine pour tous ceux qui pensent au contraire qu’un individu préférera toujours cumuler ce revenu à un autre salaire, surtout quand ce salaire correspondra à un travail qu’il aura plus librement choisi. Dans notre hypothèse, en effet, un couple de smicards toucherait désormais 3 500 euros par mois (deux SMIC à 1 000 euros nets plus deux allocations universelles à 750 euros), au lieu de 2 000 euros aujourd’hui.
Utopie sans doute aussi pour ceux qui pensent qu’une telle somme est incompatible avec l’état des finances de la France. Pari fondé pourtant sur les comptes, pour ceux qui connaissent le bilan de la protection sociale en France. En 2007, l’ensemble des prestations de protection sociale versées par l’État aux Français a représenté 578 milliards d’euros, soit 29 % du PIB, soit près de 60 % du total des dépenses publiques, soit un peu plus de 9 000 euros par Français. 44,9 % de cette somme sont constitués par les prestations vieillesse, 35,5 % par les remboursements des dépenses de santé, 9,2 % par les aides à la maternité et à la famille, 6,2 % par les aides à l’emploi, 2,6 % par les aides au logement et l,5 % par les aides destinées à combattre l’exclusion sociale. Neuf mille euros donc par Français — le même montant que celui ici envisagé — pour des résultats qui ne sont toutefois pas à la hauteur des sommes engagées.

Si l’on versait une allocation universelle de 750 euros par mois à tous les Français âgés de plus de 18 ans et 375 euros à chaque Français de la naissance à l’âge de 18 ans, cette prestation sociale « révolutionnaire » représenterait 510 milliards d’euros. En échange toutefois, l’instauration de ce revenu garanti de la naissance à la mort serait accompagnée de la suppression de nombreuses prestations aujourd’hui versées, un dispositif unique, simple à verser et totalement compréhensible, remplaçant le maquis des innombrables dispositifs de protection sociale existants. Seraient ainsi supprimé l’ensemble des sommes versées pour ne pas résoudre vraiment la question du chômage. Soit ce qu’on appelle les « dépenses passives », qui comprennent les prestations accordées aux chômeurs et les incitations au retrait d’activité, auxquelles il faut ajouter les « dépenses actives », qui sont l’ensemble des sommes consacrées à améliorer l’employabilité des salariés et à leur proposer un emploi : 76,5 milliards d’euros en 2006, soit 38 000 euros par chômeur recensé !

Seraient aussi supprimés les allocations familiales et l’ensemble des aides à la famille, qui représentent 58 milliards d’euros. Chaque ménage percevrait, en effet, la moitié de l’allocation universelle par enfant jusqu’à l’âge adulte, soit 375 euros par mois. C’est-à-dire bien plus que le montant des allocations familiales aujourd’hui versées (120 euros par mois au-delà de deux enfants). De la même manière seraient évidemment supprimées l’ensemble des bourses accordées aux lycéens et aux étudiants qui, à partir de l’âge de 18 ans, percevraient 750 euros par mois, soit bien plus que les bourses étudiantes les plus élevées, qui atteignent aujourd’hui 400 euros par mois. Seraient encore supprimées l’ensemble des aides au logement, dont le montant atteint aujourd’hui près de 15 milliards d’euros.

Seraient supprimés enfin les droits à la retraite, qui représentent à ce jour près de 180 milliards d’euros. Une véritable révolution dont il faut ici mesurer l’enjeu. Comme on l’a vu plus haut, notre système de retraite par répartition est condamné à la faillite dans la mesure où le ratio de dépendance démographique — qui désigne le nombre de personnes à l’âge de la retraite par rapport au nombre de personnes en âge de travailler — va quasiment atteindre 100 cotisants pour 80 retraités en 2050, alors qu’il était de 400 cotisants pour 100 retraités dans les années 1980 et de 1 500 cotisants pour 100 retraités au moment où il est entré dans la loi en 1945. En 2050, l’espérance de vie des hommes à 60 ans serait de 27,2 ans, contre 20,4 ans en 2000, et celle des femmes de 32,1 ans, contre 25,6 ans en 2000. A législation inchangée, chaque Français ayant travaillé toucherait quasiment autant en pension de retraite qu’en revenu d’activité. Un moindre mal s’il avait financé lui-même sa retraite. Un scandale s’il fallait faire peser cette charge sur les générations nées après 1970, qui seraient amenées à supporter la charge des retraites d’une génération qui a bénéficié de carrières longues et a laissé filer une dette dont les intérêts et le capital devront être remboursés par ceux qui « bénéficient » de contrats précaires et d’un avenir moins assuré.

En attribuant à chacun 750 euros par mois jusqu’à la mort, l’allocation universelle distribuée de la même manière à l’ouvrière qu’au cadre de la SNCF rétablirait totalement l’équité. Surtout lorsqu’on sait que cette ouvrière se voit aujourd’hui prélever près de 250 euros par mois sur sa rémunération totale pour payer la retraite de ceux qui vivront plus longtemps qu’elle et qui bénéficient de régimes spéciaux. Imaginons qu’elle place la même somme prélevée de son allocation universelle (250 euros) en placement sécurisé (à 4 %) pendant quarante ans. Au terme de ces quarante années, elle disposerait d’un capital d’un peu moins de 300 000 euros, dont le rendement à 4 % (soit 1 000 euros par mois) s’ajouterait à son allocation universelle de 750 euros. Un doublement de sa retraite actuelle ! Une arithmétique simple qui tend à démontrer — c’était le but de l’utopie ici proposée — que l’allocation universelle permet d’améliorer surtout le sort des pauvres tout en les incitant à travailler pour épargner une partie du « revenu garanti » qui leur serait distribué. Une arithmétique qui cherche surtout à prouver qu’un système de capitalisation couplé avec un revenu garanti est bien plus équitable que le régime actuel de répartition qui permet avant tout aux Français les plus protégés de faire financer leur retraite et leur santé par les plus défavorisés.

Dans ce nouveau système serait maintenu le remboursement des dépenses de santé, qui ont atteint 160 milliards d’euros en 2007, et qui resteraient à la charge de la solidarité nationale. Au total, à périmètre inchangé, les dépenses de protection sociale se monteraient ainsi à 670 milliards d’euros, 16 % de plus qu’aujourd’hui, sans même prendre en compte l’économie que représenteraient la suppression des bureaucraties tatillonnes fort budgétivores et les gaspillages des sommes qui sont distribuées à tous alors que certains n’en ont nul besoin. Sans même prendre en compte le surcroît de recettes que représenterait la TVA sur la consommation supplémentaire des ménages bénéficiaires, qu’on peut grossièrement chiffrer à un peu moins de 100 milliards d’euros.

En somme, distribuer à chaque Français un revenu garanti pendant toute la vie ne coûterait pas beaucoup plus au budget de l’État-providence que le système actuel qui a réussi l’exploit de dépenser autant pour faire de la France le pays où le sentiment d’insécurité est le plus élevé. Bien loin d’être une méthode grossière et utopique de lutte contre la pauvreté, l’allocation universelle, dont le coût de distribution est négligeable au regard des dispositifs actuels, apparaît donc comme un moyen d’atteindre toutes les personnes pauvres à moindre coût.

Aurait-on pour autant résolu le problème des relations troubles entre les Français et l’argent ? Rien n’est moins sûr, sauf qu’à dépense égale, le pari en vaut certainement la peine. En garantissant tout d’abord qu’un emploi, même faiblement rémunéré, ne supprimerait pas l’allocation de base, elle conforterait, bien mieux qu’aujourd’hui, l’idée que le travail « paie ». Versée automatiquement à chacun, sans égard pour sa situation familiale et ses ressources, l’allocation universelle revaloriserait en effet paradoxalement le travail. Certes, pour ses adversaires, elle pourrait encourager la multiplication d’emplois peu rémunérés. Reste que ces derniers ne trouveraient preneurs que s’ils sont suffisamment enrichissants, formateurs ou susceptibles d’ouvrir des perspectives de carrière. A l’inverse, il est vrai, les emplois repoussants et sans perspectives ne seraient pas favorisés. Faut-il s’en désoler ?

En offrant par ailleurs un revenu garanti sur lequel s’appuyer, l’allocation universelle faciliterait les va-et-vient, tout au long de l’existence, entre les plages de travail, les activités familiales et les moments de formation. En offrant une véritable bourse à tous les étudiants, en sécurisant un budget de consommation minimale, elle rendrait en effet plus facile pour tous le fait de ralentir ou d’interrompre des activités professionnelles afin de faire face à des obligations familiales, d’acquérir une formation complémentaire ou de se réorienter. Avec bien plus d’efficacité que la formation professionnelle qui engloutit aujourd’hui 24 milliards d’euros pour satisfaire la demande de ceux qui n’en ont pas réellement besoin. Loin de décourager l’envie de travailler qui est surtout liée, aujourd’hui, aux faibles perspectives d’ascension sociale qu’offre une société fort peu solidaire, l’allocation universelle serait au contraire susceptible de marier ce qui paraît pour l’instant incompatible : une sécurité indispensable et une flexibilité accrue du travail. Un bénéfice dont les femmes, qui subissent aujourd’hui plus que les autres salariés le temps partiel et les interruptions de carrière, sortiraient massivement gagnantes.

Enfin, en nourrissant une forme de patriotisme renouvelé autour d’un tel projet national de solidarité, cette allocation faciliterait l’intégration plus efficace de populations immigrées qui ne pourraient en jouir qu’en devenant citoyens français et qu’en adhérant aux valeurs d’une nation aussi exemplaire. Une véritable rupture par rapport aux allocations et subventions multiples distribuées sans conditionnalité et qui ne font qu’entretenir de vastes poches de personnes difficilement intégrables dans le système productif et souvent radicalement hostiles aux valeurs de la patrie qui les héberge et les nourrit.

A tous ceux qui pensent que cette allocation universelle est un fantasme d’excentrique, rappelons que peu de monde, à l’époque de Guizot, acceptait l’utopie du suffrage universel, les uns parce qu’ils le croyaient révolutionnaire, les autres parce qu’ils considéraient, comme les Constituants de 1789, que seul un homme riche pouvait avoir une opinion indépendante et que seule la richesse assurait un vote sincère et libre. N’oublions pas toutefois que la Déclaration d’indépendance américaine s’ouvrait en 1776 par ces mots : « Nous tenons pour évidentes les vérités suivantes : tous les hommes sont créés égaux, ils sont dotés par leur créateur de certains droits inaliénables au nombre desquels figurent la liberté, la vie et la poursuite du bonheur ; les gouvernements sont institués parmi les hommes pour garantir ces droits et ils tirent leurs justes pouvoirs du consentement des gouvernés. »

Mettre en place demain ce droit inaliénable à la vie pour tous les jeunes Français qui naissent et pour tous les jeunes Français qui atteignent l’âge de 18 ans coûterait aux finances publiques 11 milliards d’euros la première année, desquels il faudrait défalquer les allocations familiales et les bourses étudiantes. Une telle somme, qui représente moins de 1 % des dépenses publiques, n’est-elle pas un pari sur l’avenir moins risqué que le financement d’un Revenu de solidarité active qui peine à répondre aux situations de pauvreté ?

C’est bien le paradoxe de cette allocation qui renvoie à la question d’un droit au revenu, c’est-à-dire d’un droit à la vie. Prestation destinée à libérer l’individu de la pression marchande, elle se présente aussi comme l’incontournable auxiliaire du marché en permettant aux plus pauvres d’accéder aux « choses » livrées sur le marché. Prestation accordée sans condition, elle implique le démantèlement de tous les secours et contrôles étatiques. Prestation accordée à tous, elle satisfait en partie l’idéal communiste qui est de permettre à chacun de vivre en partie « selon ses besoins ». A condition toutefois que chacun reconnaisse en même temps que c’est le progrès historiquement réalisé par les logiques du marché qui permettrait son instauration. Une voie libérale vers le communisme, en somme ! »

La route est tracée, il n’y a plus qu’à l’emprunter et laisser derrière nous nos chimères passées…Travaillons sur ce qui nous rassemble et oublions ce qui nous sépare, tirons la barque dans la même direction, associons nos forces, nos volontés et nos cœurs, regardons loin, tous ensemble, tendons la main aux plus faibles, instruisons nous et partageons nos connaissances. Il n’y aura pas d’avenir digne sans respecter tout le monde les faibles et les forts, tous ont besoin d’être reconnus, il n’y a pas de demi-hommes, il n’y a qu’une seule fraternité humaine qui ne demande qu’à travailler ensemble si on lui donne un modèle juste, un modèle équitable, un modèle accepté par tous. L’avenir nous appartient, il faut seulement se donner les moyens de le construire ensemble.

Il faut un monde qui intègre les besoins de l’humanité tant en termes d’écologie, de justice sociale, de liberté d’entreprendre et de respect du travail de chacun. Tout cela n’est pas antinomique, loin de là, seuls les partis politiques existants s’accrochent encore au principe de diviser pour régner uniquement parce qu’ils se chamaillent pour le pouvoir, leur pouvoir qu’ils veulent absolument conserver. Ils sont obsolètes comme trop de structures humaines. Il est temps de changer de voie et d’opter pour une « Autre Voie », celle du bon sens et de la fraternité réelle entre tous les hommes. Cette voie devra obligatoirement être une voie d’union, de paix, de sérénité, de collaboration et de respect pour tous.

Conclusion :

Les principes évoqués plus haut ressemblent un peu à un coup de gueule, c’est voulu, parce que c’en est un.

Il n’en est pas moins vrai que les propos tenus découlent du bon sens et de l’observation de l’évolution de notre société. Nous voulons et devons revenir à des « fondamentaux » parce que notre pays s’égare et nos dirigeants sont dépassés. Ils sont la source de nos malheurs, ne cherchons pas plus loin. Ils dirigent mal car ils ont le nez sur leur copie et sont incapables de « sortir du cercle » comme on doit le faire lors de tous les tests psychotechniques. Ils nous préparent la même soupe depuis toujours et ils tournent dedans avec de plus en plus de mal parce que cette bonne vieille soupe s’épaissit et devient parfaitement indigeste.

Les solutions sont autres ou sont ailleurs, ils ne le savent pas !
Après des décennies Il est temps de changer de soupe et de cuisiniers.
Nous aurions pu, comme d’autres, énoncer un tas de règles ou de décisions à prendre, nous avons préféré donner quelques principes directeurs d’une action à venir.
Les principes sont les bases de l’action politique, ils en sont l’âme ou les fondements. Il faut rassembler sur des principes et bâtir ensuite ensemble selon une foi commune. La foi est le ciment de la Nation ; l’Etat, l’outil qui la dirige.

Nous aurions pu vous dire, par exemple, qu’il fallait séparer la banque d’affaire de la banque de dépôt, pourquoi pas…sinon que c’est un sujet à la mode et totalement démagogique. Toutes les mesures doivent être prises sur le terrain avec les organisations professionnelles ou les professionnels concernés. Ensuite pourquoi cette mesure plutôt qu’une autre ou que cent autres ? Tout cela doit être débattu au cas par cas dans le cadre de l’exercice de son mandat. Agir différemment c’est un peu comme monter un plan quinquennal à l’époque de du communisme à l’Est. Ca ne marche pas !

En outre, ce ne sont pas les plans qui comptent mais les hommes. Faites appliquer un bon plan par un cornichon, cela ne fonctionnera pas, mais par contre si vous voulez faire appliquer un mauvais plan à un homme de décision à la vue claire, cela marchera parce qu’il sera assez malin pour changer le plan !

Pour terminer, l' Autre Voie n’est ni de gauche, ni de droite, il est pour le bon sens.

A titre de symbole, l' Autre Voie adoptera la devise du Prince de Galles « Je Sers » parce que cette devise est l’idée que nous nous faisons du pouvoir, l’honneur de servir….les autres évidemment, pas soi-même.