Le G 20 des Gnômes et des Gugusses

Les cimetières sont remplis de gens irremplaçables

Posté par ATB le 30 juin 2012

Tout le monde sait que le G20 n’est qu’un groupe composé de 19 pays et de l’Union européenne. Son but ; Favoriser la concertation internationale (du bla-bla qui coûte cher, on est habitué, ce sont des politiciens qui se font mousser). Les pays membres du G20 sont des pays aussi différents que l’Afrique du Sud, le Canada, le Mexique, les USA, l’Argentine, le Brésil, la Chine, le Japon, la Corée du Sud, l’Inde, l’Indonésie, l’Arabie Saoudite, la Russie, la Turquie, la France, l’Allemagne, l’Italie, l’Angleterre, l’Australie et….l’Union Européenne ; Bingo !

D’abord, une première remarque, les gnômes et les gugusses sont les dirigeants politiques de l’Europe et de l’Amérique d’Obama qui, lui seul déjà, mérite un oscar spécial, celui de la tentative de bolchévisation de la plus grande, la plus valeureuse et la plus emblématique démocratie du monde. Obama est un véritable « président catastrophe » dont même Bill Clinton reconnaitra qu’il est un amateur incompétent risquant de conduire le parti démocrate au désastre (tant mieux). Au-delà de ça, c’est surtout un gauchiste, un type qui n’a jamais réellement travaillé et c’est aussi un homme qui essaie de détruire les valeurs profondes de notre bonne vieille Amérique. Vous pouvez me relire à ce sujet et lire ou relire le professeur Guy Millière, ici et ici 

Quant aux autres dirigeants, ce n’est pas mon affaire, je m’en soucie beaucoup moins (on ne va pas juger le monde entier tout de même, qui serions-nous pour ça ?), je vous laisse juge de les apprécier par vous-mêmes. Certes, ils ne correspondent pas toujours au modèle idéal, mais, certains de ces pays ont quelquefois des qualités que nous n’avons pas ou plus dans notre Europe vieillissante, décadente à l’automne ou au soir de son existence. Nous examinerons ce point plus loin. 

Oui, je sais, je sais, l’Arabie Saoudite sabre, non pas le champagne (elle ne pourrait même pas en boire, islam oblige !) mais les têtes des mécréants et ça, ce n’est pas très démocratique, mais dans le fond, qui s’en soucie, personne, parce que je rappelais encore récemment la « mésaventure » du malheureux jeune saoudien Hamza Kashgari qui encourt la mort pour un petit tweet de rien du tout et pas bien méchant sur Mahomet. Nous étions en février, nous voici presque en juillet, j’ai beau chercher, chercher sur Internet, je ne vois plus rien, c’est le black-out, pourtant il reste en prison avec la même menace sur la tête (le sabre du bourreau). On en conclura donc que tout le monde s’en fout dans nos médias-bien-pensants. Bon, ce qui me rassure c’est que l’Arabie Saoudite est, nous dit-on, notre alliée et l’ennemie d’Al-Qaïda. Ouf, me voilà rassuré, ce sont nos amis alors, pourquoi se gêneraient-ils, qu’ils coupent les têtes et qu’ils fouettent les braves gens en toute tranquillité. Ne leur en voulons pas pour si peu, les amis sont les amis, ne nous querellons pas non plus pour des peccadilles, c’est si peu une tête qui roule, surtout quand c’est celle d’un autre. N’allons pas les juger !

Pour en revenir au G20, le Figaro nous enseigne Article Figaro que la place prise par la zone euro est désormais centrale, tandis que les pays membres de l’Euro s’engagent à prendre toutes les mesures pour sauvegarder l'intégrité et la stabilité de la zone. Ah, j’oubliais, ils saluent aussi le plan de l'Espagne pour recapitaliser son système bancaire. Bref, le G20 constate et salue…moi aussi, fallait pas de G20 pour si peu. Ils saluent aussi, au passage, la Chine pour l’évolution plus libérale sa politique de change, mais, pas de chance, on attendait une hausse du yuan après cette belle prise de position, c’est exactement l’inverse qui s’est produit. L’économiste Antoine Brunet dira : « Le G20 a encore avalé une couleuvre en accordant un satisfecit à la Chine pour sa politique de change alors que les Chinois n'ont rien fait et continuent même à manipuler leur devise ».

Bravo les gnomes, vous comprenez mieux mon titre maintenant !

Mais au G20 ils sont aussi inquiets au sujet de l’envolée du protectionnisme (au risque de me répéter, moi aussi !). Dernier point de cette synthèse, ils sont conscients de l’importance du tourisme et du transport dans l’économie et la croissance. Ils vont essayer (essayer, vous avez bien lu !) de multiplier les initiatives pour faciliter le transport à travers le monde. Chouette, on s’en réjouit, voilà qui est courageux et ambitieux surtout !

En résumé, le top 20 de l’économie de la planète s’est réuni et quelles mesures prend-il, rien du tout (là, je suis un peu hypocrite parce qu’il ne pourrait pas prendre la moindre mesure, nous le savons tous, c’est seulement la réunion du grand blabla, ils n’ont aucun pouvoir, à part celui de dépenser notre argent). A défaut de prendre des mesures, il constate, il salue, il s’inquiète, il re-constate et enfin, il est « conscient » et il promet d’essayer. Si c’est pas beau ça, j’en suis sur le cul, une question : ça a couté combien cette douce et inutile fantaisie, ne se fouterait-on pas un tantinet de nous du même coup, mais oui, évidemment, les voyages sous le soleil du Mexique ne forment pas que la jeunesse (qui est moins bien logée quand elle y va !), ils forment aussi les politiciens ivres de dépenses, de luxe et de farniente. Et en plus, on les paie grassement pour ça, pourquoi se gêneraient-ils les gugusses ?

Z’auraient pu m’inviter, moi aussi j’aime les plages de Los Cabos , la bonne bouffe, j’aime aussi être reçu comme un Roi fainéant, qu’on s’intéresse à moi, qu’on me serve du Monsieur, du Monseigneur ou du Excellence à longueur de journée, surtout quand ça me coute pas un radis, mais, bon, soyons réalistes, je ne suis pas un politicard, tout ça, c’est chasse gardée, circulez y a rien à voir et rien à manger pour le plouc que je suis, j’ai dû me tromper de planète. Le monde des politiciens est un véritable monde de science-fiction, il semble proche de nous mais il est hors d’atteinte, totalement hors d’atteinte, il existe bien des passages difficiles entre ces univers, des passages secrets, confidentiels mais ils sont strictement gardés, ils sont réservés aux seuls initiés, malheur à celui qui oserait les emprunter au hasard d’une découverte opportune, il le paierait de sa carrière, de sa vie peut être, qui peut savoir, personne n’a encore osé !

Quittons la terre des cloportes (c’est nous les cloportes) et revenons sur la Lune du G20 et des politiciens. Le plus amusant de cette belle réunion inutile a été la réaction de Cameron, le premier ministre britannique, qui a déclaré : « Quand la France instituera ses 75% (d’impôts), on déroulera le tapis rouge pour accueillir les entreprises françaises ». 

Michel sapin, ministre français du travail, ironisera sur ces propos, il dira : « je pense que c'est un propos qui lui a échappé ! »

Je lui répondrai, mais non Michel, mais non, il ne plaisantait pas du tout. Cameron est un homme sérieux et responsable, il pensait ce qu’il disait, par contre votre bien-aimé président Hollande, lui, devait ironiser quand il a imaginé cette nouvelle taxe de 75% et ça, vous avez oublié de nous le dire, parce qu’aux dernières nouvelles le beau François (non, il n’est pas beau, c’est une expression !) a laissé tomber cette mesure qui était sans doute uniquement destinée à plaire à sa gauche lors des élections présidentielles. Cette mesure était donc bien une « mesure à dire », elle n’était pas une « mesure à faire », il fallait s’y attendre. On est un sale petit politicard opportuniste de dernière zone ou on est un seigneur. On aura compris que Hollande n’est pas un seigneur mais un très petit monsieur. Question de carrure et aussi de déontologie. Quand on n’a rien à vendre, on ne vend que du mensonge. Les gnômes et les gugusses, je vous l’avais dit, je vous le répète au nom d’un réalisme élémentaire tout simplement !

Rions un peu maintenant. Hollande me rappelle cette ancienne blague. Un vieux monsieur pas très prospère, un peu sale, un peu triste aussi vend des crayons à la sortie de l’église. Ses crayons ne sont pas très chers alors les gens en achètent plus par pitié que par besoin, ils en achètent tellement qu’en une petite vingtaine de minutes le vieux monsieur a tout vendu alors, content, il rentre chez lui. Il revient le lendemain pour rééditer son coup lorsqu’apparaît soudain un client mécontent. Celui-ci l’apostrophe vertement en lui disant que ses crayons n’écrivent absolument pas. Sans se décontenancer le vieil homme lui lance : « Mes crayons sont uniquement faits pour être vendus, ils ne sont pas faits pour écrire ! ». J’étais là aussi, j’ai vu ce vieux monsieur et aujourd’hui, je sais qui c’était, c’était Hollande, il était grimé, j’aurais dû le dire aux français, mais c’est trop tard, je m’en veux un peu d’avoir gardé ce secret pour moi, je le confesse !

Mais Soike (François en bruxellois), de retour du G20 est tout content et il le clame haut et fort. Article Figaro 

Il s’est présenté en grand vainqueur (de quoi ?) à Los Cabos, il dira : « À bien des égards, ce G20 aura été utile pour le monde, qui doit retrouver de la confiance, utile pour l'Europe et aussi utile pour la France, qui aura fait prévaloir sur beaucoup de sujets ses priorités. »

« Les objectifs les plus importants à mes yeux ont été atteints ». Lesquels, on a vu plus haut qu’à part constater, saluer, s’inquièter, re-constater, être « conscient » et promettre d’essayer, le G20 n’a rien fait, mais alors strictement rien fait du tout de concret. Les chinois leur ont même fait bouffer des couleuvres et voilà que François nous repasse le plat. Nous n’étions pas là, mais nous sommes plus malins que lui, alors ses couleuvres qu’il se les garde pour les manger en solo ou avec ses potes politiciens  aussi niaiseux que lui, non mais !

En un mot, les journalistes du Figaro nous diront, avec humour, que François Hollande a fait plier la planète, à en juger par ses propos triomphalistes. 

« Très en confiance, le président de la République s'est même risqué à utiliser l'arme qu'il maîtrise le mieux, l'humour. À une journaliste suédoise qui l'interrogeait sur l'Espagne, il termine sa réponse en remerciant la Suède «d'avoir posé une question, surtout aujourd'hui», jour de la défaite de la France face à la Suède à l'Euro 2012. À un Britannique qui lui pose une question en anglais sur l'attaque de Cameron, il signale: «Je comprends l'anglais.» À une Espagnole, il assure ensuite «qu'il comprend aussi l'espagnol». Alors, quand un Brésilien se présente et commence à l'interroger en français en s'excusant de «massacrer la langue», François Hollande lui suggère: «Je ne sais pas, essayez le portugais.» Il ne s'arrêtait plus de répondre… «Allez, deux autres questions et puis c'est fini, parce qu'il faut aller se coucher.» Avant de réaliser qu'il était à peine 18 heures. »

Si ça, ce n’est pas pédaler dans la choucroute, qu’est-ce que c’est ?

De l’incompétence, mon cher, uniquement de l’incompétence. A mon tour alors de vous dire que vous avez raison, parfaitement raison. Les français sont fous ils ont envoyé Simplet à l’Elysée, nous, on aurait préféré Blanche Neige, au moins elle est jolie !

Puisque je parle des nains, en voici un autre, Van Rompuy, président du Conseil européen (ça jette un titre comme ça !). Il relativisera l’impact de la crise sur la croissance dans une conférence de presse donnée aux côtés de Barroso, l’autre président (il en faut bien deux !), celui de la commission européenne. Article Trends 

Il déclara donc : « L'impact sur la croissance économique doit être relativisé. Cette année, la zone euro ne connaîtra qu'une croissance négative de 0,3%. L'an prochain, la croissance sera d'1%", ». Fin du débat, en tous les cas Trends n’en dira pas plus, c’est qu’il n’y avait pas plus à en dire. Trends est une revue sérieuse, alors faisons leur confiance. Ce que Van Rompuy ne dit pas c’est que la crise…c’est eux, avec leurs politiques complétement ineptes. Comme vous le savez, pour ceux qui me lisent habituellement, la crise est essentiellement en Europe et aux USA. La cause en sont les politiques économiques archaïques, socialistes (ou apparentées) et complètement imbéciles qui sont conduites sur ces territoires. D’ailleurs et comme à l’accoutumé, ces politiciens incapables, se contentent d’une affirmation péremptoire sans autres explications. Ils enfoncent les portes ouvertes d’un air grave et solennel. Je vous disais que c’était des gnômes et des gugusses, j’ajoute que ce sont aussi des bouffons, ils nous feraient presque rire !

L’inénarrable Barroso se joindra à lui et ajoutera à ce concert de bêtises : « Ces étapes démontrent que le projet européen et l'euro sont irréversibles »

Je lui répondrai : évidement, tu vis du système, uniquement du système mis en place par tes pairs, tu ne vas pas le saborder. Tu nous prends pour des billes. La réponse est oui, ils nous prennent pour des billes et ils se fichent de notre pomme pendant que les « médias-serviles-et-exclusivement-à-leur-service » leur cirent les pompes !

Barroso nous parle d’étapes, mais de quelles étapes parle-t-il, mystère et boule de gomme, quid des invraisemblances de cet euro artificiel et quid encore de ce projet européen qui n’est pas un projet pour les peuples mais un projet pour les oligarques en place. Les deux présidents s’en moquent éperdument, ils bossent pour leur pla-place scandaleusement payées à la tête d’une Europe administrative dont l’homme libre que je suis ne veut pas.  Qu’ils aillent au diable et qu’ils y restent ces odieux parasites !

Zut, les médias-bien-pensants viennent encore de me fermer une nouvelle porte sur le nez, pas de chance, mais de toutes façons, je vous le répète, j’avais déjà contacté certains médias, par égard pour eux, je ne vais pas les nommer, mais je vais quand même préciser qu’ils n’étaient pas tous à gauche. Ils n’ont jamais, mais alors jamais au grand jamais donné suite !

Je m’y attendais, mais vivre les choses, c’est encore mieux, comme ça, il n’y a plus de doute.

Comme quoi, droite et gauche classiques, c’est blanc bonnet et bonnet blanc. On le savait aussi !
Soit, revenons-en au début de mon texte. Je vous annonçais : « certains pays membres du G20 ont quelquefois des qualités que nous n’avons pas ou plus dans notre Europe décadente à l’automne ou au soir de son existence ».

Nous voici, maintenant arrivés au cœur du débat, celui de la Liberté, cette Liberté si chère à mon cœur, cette liberté foulée aux pieds par nos dirigeants occidentaux ces « cancres de la classe du G20 », ces gnômes et ces honteux gugusses.
Démonstration !

Comme je le dis souvent, le succès est dans la Liberté, il n’est pas ailleurs. La politique sera ou ne sera pas une entrave à la réussite économique d’une nation, mais la politique ne sera jamais autre chose qu’une entrave, importante ou seulement très légère. Or les politiciens européens s’imaginent tous qu’ils incarnent le succès par un « modèle économique étatique» qu’ils pourraient construire pour nous l’imposer. On les entend pérorer dans tous les médias, ils caquettent comme de vulgaires poulets, ils se donnent de l’importance qu’ils n’ont pas, ils se gonflent comme la grenouille de la fable, ils sont vains, ils sont prétentieux, ils sont vaniteux et tous, à l’exception de quelques rebelles, leur lèchent les bottes avec délice et complaisance. Pour ma part, je ne serai jamais complaisant, je préfère la vérité au mensonge, le risque à la lâcheté et le travail à la fainéantise. Je suis à l’opposé du modèle de l’échec de ces nabots sans têtes, sans courage et sans vergogne.

Bien sûr, il faut un cadre légal à toutes entreprises humaines, mais le cadre n’est jamais que le cadre, il ne fera jamais l’œuvre, il la met uniquement en valeur, c’est tout et ce n’est pas davantage. Nous sommes cette œuvre, ils sont ce cadre, ils ne sont rien d’autre, ne leur en déplaise !

La richesse économique et l’emploi, nécessaires à toutes sociétés humaines évoluées, sont liés à la liberté économique (ma tasse de thé). Il faut donc impérativement une pression fiscale faible et une bonne gestion de l’Etat qui impliquera la maîtrise des dépenses publiques et souvent implicitement une faible mainmise de l’Etat sur l’économie.

Allez, Hop, venons-en aux faits, regardons le classement au titre de la liberté fiscale des membres du G20 et tirons aussi à boulets rouges sur les cancres de la classe, pourquoi nous priverait-on de ce petit plaisir. Vous allez être étonné ! Article 

1) Arabie Saoudite : indice de liberté fiscale ; 99.6
2) Indonésie : 83.5 
3) Russie : 82.5
4) Mexique : 80.7
5) Canada : 79.2
6) Turquie : 77.7
7) Inde : 76.1
8) Corée du Sud : 72.8
9) Afrique du Sud : 70.7
10) Japon : 70.4
11) USA : 69.8
12) Chine : 70.4
13) Corée du Sud : 67.1
14) Argentine : 65.5
15) Australie : 63.4
16) Allemagne : 61.3
17) Angleterre : 56.4
18) Italie : 61.3
19) France : 53.8  (Hollande est le dernier, avec sa suffisance naturelle, ça fait mal !)

Le dernier « pays » du G20 est l’Union Européenne, mais, ce n’est pas un pays, c’est une fiction, on ne classe pas les fictions surtout lorsqu’elles sont politiques. L’Union Européenne permettra à trois parasites politiques professionnels supplémentaires ; messieurs Van Rompuy, Barroso et Oli Rehn, le commissaire européen aux affaires économiques et monétaires, d’aller parader à Los Cabos avec  leurs petits camarades privilégiés. Plus on est de fou, plus on se marre !

Comme je suis belge, je glisse perfidement l’indice de la Belgique dans ce groupe, il est de 44. 8, loin derrière celui de la France. Nous constaterons donc sans difficulté que l’Europe est un véritable enfer fiscal géré par des cancres économiques. Les quatre pays de l’Union européenne sont alignés ridiculement en queue de peloton, quant à la Belgique…elle vient encore s’ajouter tout en dessous. Pas de quoi pavoiser (ce qu’ils font !).

Il ne faut dès lors pas s’étonner que cette Europe mal gérée et jalouse du succès d’autrui veuille systématiquement et de manière récurrente  partir en guerre contre les paradis fiscaux. Les derniers de la classe veulent couper les têtes aux premiers, c’est normal,  c’est le schéma classique, on connait ça, c’est même l’un des principes de base du bolchevisme ou du syndrome du « cuirassier Potemkine » qui conduit à massacrer les élites réelles (pas artificielles comme le sont nos gnomes politiques).  Vu le score des européens, Il faudra que ces sacrés imbéciles (et je mesure mes mots) déclarent la guerre fiscale au monde entier, comme ils sont très bêtes et très imbus d’eux-mêmes, on ne sait jamais, prenons garde, ils sont capables de tout, on ne se méfie jamais assez des imbéciles !

J’aurais encore pu vous dire des tas de choses sur les pays du G20, comme par exemple que l’indice des dépenses de l’Etat est légèrement corrélé avec celui de la liberté fiscale. Donc pression fiscale et dépenses de l’Etat sont +/- liées.  L’Arabie Saoudite est une exception sur ce plan, mais elle contrôle plus de 20 % des réserves de pétrole et elle en est le premier producteur/exportateur. Cela permet des libertés budgétaires. Là, où l’Australie fait 67.1 en « dépenses de l’Etat », l’Afrique du Sud fait 71.9, le Canada 41.7, le Mexique 78.3 et les USA 46.7. Quant à la France et la Belgique, leurs indices sont respectivement de 5.3 et 12.1. Ce sont, là aussi, des lanternes rouges de l’équipe, leur score est grotesque et ridicule. Plus simplement énoncé, ce sont des nuls, des nigauds, des ignares ou des klets comme on dit en bruxellois.
Et les « klets » voudraient nous donner des leçons. Seulement, à part nous expliquer « comment être le dernier de la classe », je ne vois pas très bien ce qu’ils pourraient nous dire. Alors je leur dis ; « Non merci, je me passerais volontiers de vos conseils, gardez les pour vous et pour tous les idiots qui seraient tenter de les écouter ! »

J’aurais pu aussi vous parler de la situation de l’emploi qui n’est pas meilleure chez nous, en Europe, que chez tous les autres, c’est d’ailleurs souvent le contraire (hé hé hé). Donc, les dettes publiques, les déficits budgétaires ne font pas les emplois, il suffit de lire les chiffres ; CQFD et bravo à nos dirigeants incultes (une fois encore !). Le cas de l’Afrique du Sud est une exception, le taux de chômage y est de 23.3 %, la cause en étant largement due à une population sous éduquée et manquant d’une formation souvent élémentaire. Il n’empêche tout de même que dans ce score, l’Afrique du Sud se hisse au 5em rang (sur 46) de l’Afrique subsaharienne, ce qui n’est déjà pas si mal.

J’aurais encore pu vous dire qu’à la tête du classement de « Heritage » et dans le « top 5 », tout va très bien Madame la Marquise.  Ces pays ne sont pourtant pas membres du G20, à l’exception d’un seul, l’Australie. Je cite et dans l’ordre du classement, Hong Kong, Singapour, l’Australie, la Nouvelle Zélande et la Suisse. On remarquera également et à titre indicatif, que le taux moyen de chômage de ces cinq pays est de 4.5% (la moitié de chez nous, bien vu !!!), on ajoutera que la liberté fiscale y est excellente, comme sont excellents la maitrise des dépenses publiques, la liberté d’entreprendre ou la liberté sur le marché du travail. On augmentera encore et pour terminer, le palmarès de ces cinq pays d’un taux de corruption faible ou inexistant. Voilà, Je viens de citer les clés du succès économiques. Cela ne tombe pas de la lune, d’un cerveau débile, d’un dogme, d’une utopie ou d’une lubie politico-économique mais de l’étude précise et concordante des faits, car seuls les faits m’importent, le reste ne sera que mauvaise littérature.

J’aurais pu encore, sur la liste des réussites, citer le Chili, le Luxembourg, Taïwan et bien d’autres, mais je ne voudrais pas vous donner le vertige ou vous faire pleurer. Je m’arrête ici. Oui je sais, le Luxembourg est dans notre belle communauté européenne, mais il fait un peu exception, il a un indice de liberté fiscale de 63.6 et un indice de dépenses publiques de 46.6…ce n’est, en effet, ni la France ridicule, ni la pauvre Belgique. L’exception fait la règle…du bon-sens sans doute.

Enfin, pour autant que nos gouvernants français et belges soient fiers d’eux, c’est le principal. Je vais arrêter le feu ici, mais, je vous avoue que je ne manque pas de munitions, j’en ai un plein entrepôt qui ne demande qu’à partir en fumée ou en apothéose. Bon c’est une image, je vous rassure, je ne vais faire sauter personne, on m’a déjà foutu sur écoute (la Sûreté d’Etat sans doute ?), je ne voudrais pas qu’on me mette l’armée ou les services spéciaux sur le dos. 

Pour savoir ce que je pense, il suffit de me lire ou de me le demander…poliment. Le problème, les gugusses et les imposteurs sont au pouvoir et moi je suis ne suis qu’un plouc assis au fond de la classe. Tant pis, alea jacta est, j’ai pris ce risque, risque mesuré tout de même parce qu’il faut reconnaître une chose essentielle à nos démocraties imbéciles intellectuellement, elles ne sont pas la Birmanie. Ici, on peut manifester son courroux. Les médias, aux ordres des oligarques, ne vous font pas écho, mais, au moins, on ne vous fiche pas au trou. C’est déjà ça (si on les laisse faire ça arrivera !).

Quant à moi, je m’en fiche. Je finirai par me glisser sous la porte.

Tout le monde sait que je déteste le socialisme, je m’emploie d’ailleurs à prouver, avec un certain succès, sa totale inefficacité. Les socialistes m’agacent par leur idéologie pourrie et par leur manie de voir le fascisme chez les autres, notamment dans une extrême droite inventée de toute pièce. Pourtant le fascisme est une excroissance nauséabonde du socialisme. Hitler était socialiste, Mussolini l’était aussi.  Le parti hitlérien s’appelait le parti « National socialiste » et non le parti « National Libéral » que je sache.

Evidemment les socialistes hurlent quand je dis ça mais ils sont plus fachos que moi parce qu’ils sont la source du fascisme. Ces ignorants voient le fascisme chez des gens comme nous, nous qui ne sommes que de vrais libéraux inspirés par le bon sens, par l’expérience et par l’école autrichienne en économie. Comme vous le savez, vous qui me lisez, je mets souvent des commentaires sur Dreuz.info, il s’ensuit des dialogues intéressants entre lecteurs assidus. Je vais vous livrer le commentaire d’un de mes contacts dont le pseudo est « Mandrake », il est belge, c’est tout ce que je sais de lui, mais j’aime sa plume, son énergie et la justesse de son propos. Voici ce qu’il écrivait récemment (extraits légèrement adaptés):  

« Le socialisme est une idéologie fasciste. Ce que Thomas Sowell dit est ceci: « On parle de socialisme (ou de socialo-communisme) lorsque l’Etat détient les moyens de production » et « On parle de fascisme lorsque les politiciens s’évertuent à donner des ordres aux entrepreneurs quant à la gestion de leurs entreprises ». Nous ne parlons pas ici de normes de sécurité alimentaire, ni de normes de propreté environnementale, ni de normes de production conduisant à la certification au regard de l’assurance-qualité. Le socialisme a une forte tendance à pratiquer les deux travers décrits ci-dessus et ce via l’étatisme: il établit, au nom d’un soi-disant bien commun, que seul le socialisme est en droit de déterminer les contours de notre monde économique. Il s’approprie les moyens de production, notamment par des politiques confiscatoires et d’expropriation (ex. nationalisations) totalement arbitraires et il s’immisce constamment dans la gestion et les choix stratégiques des entreprises privées sous peine de représailles fiscales, sociales, etc. totalement arbitraires. En Belgique comme en France, la dernière démagogie à la mode est celle qui conduit à vouloir limiter les salaires des chefs d’entreprises privées Article RTL à un plafond qui serait évidemment déterminé par les fonctionnaires et les élus de l’état-PS, un PS qui possède de nombreuses casseroles financières, le vrai socialisme étant évidemment pour les autres. Le socialisme, à défaut d’être totalement un fascisme, est fascisant ou fascistoïde »

Voilà qui me plait et qui est superbement écrit !

Pourtant l’étatisme nous colle à la peau partout en Europe, c’est consternant, même la « pseudo »droite n’a rien compris. J’écoutais, il y a quelques jours, Jean Louis Debré (UMP) qui fut président de l’assemblée nationale française de 2002 à 2007 (France ou Belgique, on s’en fiche, c’est le même combat de nuls). Il était sur Télé-Matin et il répondait, par ces mots, au journaliste qui lui disait que l’appareil du parlement (+/- 5.000 personnes je crois) coutait peut être un peu cher : « la démocratie coute très cher… la démocratie coute très cher mais la démocratie n’a pas de prix. On peut tout remettre en cause, la démocratie, le parlement…. »

En fait, comme toujours, un politicien ne répond pas à la question, mais il protège ses intérêts. On lui parle des coûts de la démocratie, il élude la question et imagine la démocratie menacée. Or le journaliste ne remettait pas en cause le principe de la démocratie, mais la gabegie de la démocratie. On attend toujours sa réponse…elle n’arrivera pas, soyez en assurés. Les imposteurs politiques sont partout, ils touchent leur gros salaire immérité mais c’est tout ce qu’ils font.

On remarquera aussi au passage que Jean Louis Debré défend avec emphase les fastes couteux de la république parce qu’ils en sont, nous dit-il, les symboles (il n’a pas nécessairement tort, même si on pourrait éventuellement les limiter). On est heureux qu’il les apprécie sans doute particulièrement pour en profiter largement lui-même. On le comprendra, mais, en droit, on se contentera de dire qu’il est « juge et partie » !

Exemple : Essayez un peu d’ôter l’usage gratuit d’une belle bagnole, une Porsche ou une Ferrari, à l’heureux bénéficiaire de ce privilège. Si c’est à lui de décider et à nous de payer, il roulera encore carrosse et à l’œil pendant des décennies. Nous on crachera au bassinet, on est là pour ça, lui, il est là pour profiter, c’est une simple question de distribution des rôles !

Le lendemain, le 27/06/12, c’était au tour de Jean-François Copé (patron de l’UMP) de s’expliquer pendant les 4 vérités sur Télé-Matin.

Le journaliste le mettait en face de la réalité, la hausse du chômage et la baisse du pouvoir d’achat : «  Mais l’Europe est en crise », nous a-t-il dit… « C’est la faute à la situation globale, vous avez un ralentissement global de la croissance en Europe….il faut être vigilant sur les décisions qu’on va prendre ». Est-ce que les plans de rigueur n’ont pas aggravé la situationpoursuit le journaliste « non je ne crois pas c’est la crise qui a aggravé la situation… Les autre pays renforcent la compétitivité des entreprises »

Encore un type aveugle et incompétent, c’est la crise, c’est la crise, c’est tout ce qu’il sait dire la larme à l’œil. Nous avons vu plus haut que la crise n’est pas partout et qu’elle est surtout chez nous. Il n’y a pas de hasard, nous sommes en crise parce que les politiques économiques conduites en Europe sont toutes des politiques de l’échec menées par des apparatchiks incapables, même Angela Merkel qui est de loin la meilleure de la classe européenne ne fait que l’élémentaire, refuser la mutualisation de la dette et serrer les boulons. L’Allemagne, comme les autres européens, est la lanterne rouge du G20. Il ne faudrait pas l’oublier.

Nous devrions en revenir à la liberté, au bon-sens et à la rigueur (qui n’empêche pas la croissance). Nous avons plus de 60 ministres en Belgique, 38 ministres en France (ils étaient 15 ou 20 à l’époque Sarko) avec des postes tous plus idiots ou plus exotiques les uns que les autres. Pourquoi pas un ministre de l’emploi couplé à un ministre du désemploi ou un ministre de la croissance économique couplé à un ministre de la décroissance économique pour que les mesures imbéciles prises par le premier sois annulées par le second. Soyons sérieux et limitons nous aux fonctions régaliennes de l'Etat qui sont au nombre de quatre :

  • Assurer la sécurité extérieure par la diplomatie et la défense du territoire ;
  • Assurer la sécurité intérieure et le maintien de l'ordre public, avec, notamment, des forces de police ;
  • Définir le droit et rendre la justice ;
  • Détenir la souveraineté économique et financière en émettant de la monnaie, notamment par le biais d'une banque centrale.

En clair il faut un premier ministre, un ministre de l’intérieur et de la police, un ministre de la justice, un  ministre de l’économie et des finances, un ministre des affaires étrangères et Basta !
Vous avez bien lu, cela fait cinq ministres à l’échelle nationale, quant aux régions on supprime ces postes ministériels inutiles, couteux et redondants qui ne servent qu’à placer les petits copains. Qui est dupe, pas moi en tous cas !
Si on récapitule, on a vu que :

  • Le G20 ne servait à rien puisqu’il n’avait pris aucune mesure et qu’il s’est fait rouler dans la farine par les chinois.
  • L’Europe est la lanterne rouge du G20 en termes de liberté économique et fiscale.
  • Le surendettement de l’Etat et les dépassements budgétaires ne favorisaient pas l’emploi, mais le détruisaient plutôt.
  • Les clés du succès sont la liberté fiscale, la maitrise des dépenses publiques, la liberté d’entreprendre, la liberté du marché du travail et l’absence de corruption (et l’ouverture des marchés).
  • Les politiciens sont des ânes-alphabètes économiques, ils pratiquent la langue de bois, disent n’importe quoi et s’accrochent à leur poste. Mais ça, ce n’est pas neuf, nous le savions déjà.
  • Tout ce que j’énonce plus haut ne sont que des faits ou des constatations. Rien ne découle d’un dogme, d’une idéologie ou d’une utopie.

Conclusion

Voici un joli bilan basé sur une analyse sans détour. C’était aussi un gros boulot (attendez, je m’essuie le front !), n’en sait-on pas un peu plus, après cette lecture. Je l’espère et je le crois.
Alors si vous voulez une Belgique ou une Europe efficace et bien gérée, vous savez ce qu’il vous reste à faire, virer tous ces parasites le plus rapidement possible !
Encore une dernière chose. Le socialisme anéantit l’exceptionnalisme humain nécessaire à l’édification d’une société forte, efficace et solidaire (sans création de richesses, pas de solidarité possible). Je vous donnerai deux exemples :

  • La société Apple ne serait jamais devenue ce qu’elle était sans Steve Jobs, il était le gourou de cette compagnie, il en était l’âme, le patron absolu et charismatique. Sans lui Apple n’aurait pas existé et s’il n’était pas revenu après avoir été éjecté, Apple aurait été en faillite, tout simplement. Il est irremplaçable.
  • L’équipe de football française qui a gagné le Mondial de 1998 était une équipe d’exception. Je ne suis pas un « footeux » comme on dit, mais, cette équipe m’a fait rêver. Elle a tout gagné, c’était une équipe sensationnelle et bien au-delà du foot, ces hommes-là étaient de grands bonhommes. Ils sont irremplaçables, la preuve, les français n’ont plus jamais gagné comme ils gagnèrent à l’époque.

Tout le monde connait l’adage ; « les cimetières sont remplis de gens irremplaçables » (sous-entendu, personne n’est indispensable). Et alors, ils sont aussi remplis de cons, qu’est-ce que ça change et surtout qu’est-ce que ça prouve ? Nada !

Le socialisme nous ronge, il nous tue à petit feu, il est la négation de l’aventure humaine, il est la négation de la vie. Le socialisme est ennuyeux, dictatorial, sectaire, nauséabond et mortifère. Qu’il crève et qu’on l’enterre à jamais.

Vive la Liberté et vive l’exceptionnalisme humain sources d’épanouissement, de richesses, de croissance économique et d’emplois liés à ce développement.