En économie, il n’y a pas de mystère

En politique il n’y a que des ânes-alpahbètes

Posté par ATB le 1er mai 2012

Présidentielles

Nous voilà en pleine présidentielles françaises, les français ont le choix entre des collectivistes de gauche et des dirigistes de droite. Super et vive la liberté !

Malgré tout le mal que je pense de la politique de Sarkozy, je voterais au second tour pour lui, parce que Hollande est pire, cent fois pire.

La droite est diabolisée depuis toujours, je n’ai jamais connu une autre situation. Je sais que 80 % (à 100%) des journalistes sont à gauche toute, mais je ne crois pas que les choses soient éternellement immuables, c’est à la population de réagir, le veut-elle, le peut-elle…nous verrons. Je ne crois pas non plus que les peuples soient si bêtes, il faudrait être prétentieux pour l’imaginer. Je suis, par contre, certain qu’ils sont ignorants des choses parce qu’ils sont simplement mal informés. Ils font donc de mauvais choix. Les arbres ne montent pas jusqu’au ciel, la gauche n’y montera pas non plus !

Même autour de moi, des universitaires, des patrons d’entreprises, des cadres supérieurs ne sont pas correctement informés. Ils n’ont pas le temps, ils prennent l’information qui est à leur disposition, celle qu’on leur donne, alors que dire des masses populaires laissées à elles-mêmes, comment font-elles pour se faire une idée si ce n’est par le bourrage de crâne des socialo-opportunistes, anti-capital, anti-patrons, anti-financiers, anti-américains, anti-efforts, anti-récompense du travail, bref, anti-tout et surtout anti-libertés !

Le travail de sape de la gauche a été catastrophique pour nos libertés. Il faut tout reconstruire, la difficulté est bien là. La gauche veut le pouvoir, elle ne veut rien d’autre, la droite aussi, mais la gauche ment (ou elle est très bête, à vous de choisir) et elle est nuisible, très nuisible !

Sans entrer dans le détail, il y a trente-cinq ans j’ai construit le plus gros dossier en révision (la Une de la presse) d’une condamnation pénale, en Belgique. Je ne suis pas avocat, je défendais mon père injustement condamné. Cela m’a pris dix ans. Personne n’y croyait, je me suis battu contre tout le monde (même contre certains avocats qui n’y croyaient pas), j’avais toute la puissance de « l’appareil » et du Parquet contre moi. Pourtant contre tous, nous avons réussi. Je vous assure que j’étais au milieu de la tempête, elle a été terrible, mais j’ai tenu bon. C’était une aventure extraordinaire, regrettable sans doute, mais extraordinaire. Cela m’a donné la foi dans les causes perdues d’avance parce que rien n’est jamais perdu d’avance. Il n’y a qu’une seule chose qui aura raison de nous, la mort, pour le reste, il faudra se battre et nous le ferons. C’est certainement une autre histoire, mais c’était une histoire de foi, de force, d’intelligence, d’organisation, de charisme personnel, de persuasion et de persévérance. Tout est là !

Le destin de la France, de la Belgique et de l’Europe est aussi une histoire de foi, de force, d’intelligence, d’organisation, de charisme personnel, de persuasion et de persévérance.

Nous sommes une déferlante immense derrière cette nécessité de liberté et de justice, nous partageons l’essentiel et nous serons la tempête de demain, peut-être même celle d’aujourd’hui qui, dans le silence, accumule des forces avant de frapper. 

Je crois qu’Internet a un rôle important à jouer, jadis (encore récemment) l’information était cadenassée par les principaux médias, ce que nous faisons aujourd’hui était impossible. Il faut rester optimiste, même si c’est difficile, parce que je suis convaincu que toute l’Europe file un très mauvais coton. 

Mais Internet doit absolument rester libre, totalement libre, en France, le CSA voudrait fermer la porte Dreuz.info . Qui est à la tête du CSA, un technocrate, un de plus, un cabinettard, un énarque (promotion Robespierre…ça ne s’invente pas, c’est pourquoi il n’aime pas la liberté) qui comme tous les autres ne jure que par l’initiative publique. La liberté, la soif et le besoin d’entreprendre, de s’informer librement, il ne connait pas, ce n’est pas son monde, il pense que ça se fait tout seul, en dépit des obstacles construits volontairement par l’Etat. Il veut contrôler Internet, parce qu’il imagine que c’est une menace pour l’équilibre économique des chaînes de TV. Que fait-il de la libre concurrence et du droit de choisir des citoyens, il s’en fout manifestement. Il veut aussi protéger l’enfance (comment ?) et les consommateurs (on n’a pas besoin de toi, on est majeur et vacciné ; tête de pioche !), ahurissant et c’est un homme de droite, c’est ce que je disais, en France on a le choix entre le collectivisme de gauche et le dirigisme de droite, la sauce rouge, pas de sauce bleue, rien que du rouge, pauvre France !

Pour en revenir aux élections, j’ai aimé la phrase d’Avraham Azoulay Dreuz.info: « Hollande est le partenaire de Mélenchon, Arthaud, Hessel, Cohn-Bendit, Joly, Aubry et les autres … Ils attendent d’accéder au pouvoir afin de transformer la France en un havre de paix pour l’Islam, un terrain de chasse aux richesses et aux rêves

Cette phrase met en exergue deux choses, la première, essentielle et terrible, l’islamisation de nos pays et la deuxième, la fin du « rêve » implicitement contenu dans le socialisme. C’est très grave.

Si Marine se rapprochait de l’UMP ou si, à tout le moins, elle ouvrait la porte pour que d’une façon ou d’une autre ses électeurs se sentent portés à  voter Sarkozy, elle pourrait soit renforcer son parti, soit l’affaiblir. Cela dépendra des circonstances, qui peut dire les conséquences ?
La vie est un risque, il faut choisir !

Je crois qu’elle est à un tournant de l’histoire, pour toutes sortes de raisons dues à son charisme et à la situation de la France. Comme aux échecs, il faudra faire le bon déplacement. Moi je sais ce que je ferais.

Je crois qu’elle sait ce qu’elle doit faire. Si elle se trompait, c’est qu’elle n’était pas la Femme de son destin.

Une question qui me taraude depuis longtemps ; pourquoi la droite dite extrême est-elle systématiquement diabolisée  alors que l’extrême gauche ne l’est jamais ?

Osons une réponse risquée, allez, hop, j’aime le risque et je me lance sur la pente savonnée !
Nous sommes mal sortis de la seconde guerre mondiale. Hitler était un monstre absolu, un génocidaire, une crapule infâme et son régime, un régime de merde et une dictature. La chose est dite pour qu’on n’aille me dire que je suis un facho ou un nazi. 

L’Allemagne a perdu la guerre et les alliés l’ont gagné. Parmi les alliés, il y avait les russes, donc les communistes ou les bolchéviques. Les communistes étaient de notre côté et tous les idiots utiles les ont déifiés, tous ont été aveugles à leurs crimes et ont préféré regarder le communisme comme une doctrine fréquentable voire démocratique. Ils se sont très lourdement trompés, mais ils en sont toujours plus au moins restés là !

Alors que la gauche extrême était glorifiée, la droite (même non extrême) a été diabolisée.

Rien de changé aujourd’hui…et c’est patent actuellement dans le débat politique des élections françaises. Mélenchon passe pour un parfait démocrate, il est un ancien trotskyste (chef de l’armée rouge, responsable du massacre de Kronstadt etc etc…) et regarde vers Robespierre et Saint Just. Bref la « Terreur » est sa référence, inquiétant non !

Moi je ne confierais pas mon destin à un type qui trouve ses références chez des brutes sanguinaires, quant à vous, faites ce que vous voulez !

Pourtant, tous (les médias surtout) ont l’air de trouver ça bien et personne ne se bouche le nez, c’est normal, la plupart des médias sont à gauche.

Marine est une démocrate qui ne se réfère à aucun tyran sanguinaire, mais on lui taille un costard de la droite extrême et tous (médias et monde politique) lui crachent dessus. C’était encore le cas récemment de la part des deux candidats Hollande et Sarkozy sur France-2 (des Paroles et des Actes).
J’avais posté ce commentaire sur le Net et quelqu’un m’a répondu ceci : « Si les communistes ont eu du prestige après la guerre, c’était, en particulier, parce que c’est l’Armée rouge qui a dévoré la Wehrmacht. Ce n’est pas en Normandie, en effet, ni en Provence, ni en Sicile ni à Anzio que la Wehrmacht a été défaite, c’est en Russie – et avec des armes soviétiques, bien avant que n’arrivent les armes fournies par les Etats-Unis. [De même qu’en Orient, ce sont les Chinois – et pas les Américains – qui ont laminé l’armée japonaise).

- Pour le reste, je n’ai pas connaissance que Mélenchon ait, de sa vie, jamais commis le moindre crime. Quant à la Terreur, elle n’aurait jamais existé si la Révolution française n’avait pas été attaquée, avec l’aide de traîtres qui n’ont eu de cesse de l’abattre. La preuve, c’est que les révolutions qui ont suivi (celles de 1830 et 1848) n’ont duré que trois jours et que celle de 1870 n’a même pas donné lieu à un seul coup de feu »

Comme quoi, on trouve toujours un bâton pour battre son chien, d’ailleurs, je ne voulais pas refaire l’histoire, mon analyse se bornait à dire qu’au sortir de la guerre on n’avait pas compris le danger communiste, nous nous sommes alliés avec le diable. Je ne voulais signaler rien d’autre, certainement pas relancer le débat…c’est pourtant ce qui arriva.

Du coup je lui ai répondu cela : Ce que vous dites ne dément pas ce que je dis. Quant à l’armée rouge elle a du sang sur les mains jusqu’aux épaules (c’est encore peu dire) et l’Ouest a longtemps été aveugle sur le sujet. Les massacres de Katyn (reconnu en 1990 par Gorbatchev, 50 ans après…), de Nemmersdorf, de Treuenbriezten et de Demmin sont le fait de cette armée rouge « libératrice », pour ne citer que cela !

Je ne dis pas que Mélenchon est un criminel, je dis qu’il se réfère aux pires personnages de l’histoire sans que cela ne choque personne. Marine n’a pas commis le moindre crime non plus, elle ne se réfère PAS aux pires criminels et on la diabolise. Je ne dis rien d’autre !
D’une façon générale je ne trouve aucune excuse aux tueries révolutionnaires, c’est au nom des révolutions que les pires crimes ont été commis (URSS, Cambodge, Chine, Corée du Nord, Cuba…on continue ?)

C’est pourquoi je disais plus haut ; osons une réponse risquée, parce qu’elle ouvrait la polémique chez les gens de mauvaises foi. Evidemment mon interlocuteur ne s’en est pas tenu à ma réponse, il est revenu à la charge :

Vous ne pouvez, de façon logique, invoquer les crimes de l’Armée rouge pour être contre Mélenchon (ou contre la gauche en général). En effet, l’armée américaine a aussi du sang sur les mains (par exemple celui de tous les Amérindiens massacrés, ou des 200 000 Philippins – au très bas mot – exterminés lors de la guerre de 1898-1914. Ou des brûlés de la ville de Dresde lors des bombardements de janvier 1945. En effet Dresde n’était pas un objectif stratégique. Sans parler des bombardements d’Hiroshima et de Nagasaki).

- En effet, comme un mort en vaut un autre, si l’on privilégie un massacre à un autre, c’est nécessairement que la cause de son choix doit être cherchée dans une raison précisément extérieure au massacre.

- Or, cette raison, comme l’avait répliqué Français Mauriac à Thierry Maulnier, ce n’est pas l’amour de la liberté, c’est la haine de l’égalité. Mais, comme il est impossible de s’en prendre à l’égalité (moralement, mais, plus encore intellectuellement), ses adversaires, depuis la Révolution française, attaquent les massacres qui ont accompagné les révolutions sociales pour dire, en bons apôtres : voyez ce qui arrive quand on veut l’égalité, on aboutit à des massacres ! [D'où la conclusion implicite : ne bousculez pas les hiérarchies, contentez-vous de manger dans la main des riches, comme ça c'est toujours passé depuis les débuts de l'humanité...].

- Mais comment jugez-vous lorsqu’une société égalitaire n’est pas établie par la violence ? Par exemple dans les sociétés sociale-démocrates du 20e siècle (à Vienne dans les années 1920-1930) ? Est-ce que vous êtes pour ou est-ce que vous êtes contre ? 
- Je ne vois pas ce qu’il peut y avoir de répréhensible de se référer, comme le fait Mélenchon, à Robespierre et à Saint-Just : s’ils n’avaient pas été là, la République aurait été renversée dès 1793, et les révolutions du 19e siècle n’auraient jamais eu lieu. [L'Ancien Régime, en 1789, était entièrement illégitime et ses partisans, en le défendant - par exemple en s'opposant à la vente des biens nationaux ou des Emigrés - ont commis une injustice, car il était aussi normal que moral que le peuple se les réapproprie].

- Vous accusez les Cubains, par exemple, d’avoir commis des crimes ? Mais ces crimes auraient-ils eu lieu si, depuis 1959, les Américains n’avaient cessé de chercher à renverser le régime cubain ? De quel droit les Américains se sont-ils permis d’en vouloir à un régime (le régime castriste) qui a mis fin, précisément, à 60 ans de domination, d’exploitation et d’humiliation… infligés par les Américains eux-mêmes ? Les Américains se comportent comme un voyou qui, sorti de prison, viendrait se venger de sa victime [notez d'ailleurs que c'est la même chose qu'ils font avec l'Iran depuis 1979].

Comme j’aime avoir le dernier mot, j’ai répondu, en toute franchise :
Manifestement vous êtes un dur à cuire. Je suis anti-communiste parce que les communistes ont massacré, affamé, déporté des populations entières au nom d’une idéologie. C’est un fait. Au-delà de cela, la guerre est épouvantable et des erreurs ont été commises partout. Je ne prétends pas être historien et connais peu de chose de la guerre de 1898-1914 et d’ailleurs, on ne peut pas tout comparer. Vous avez raison avec Dresde !

Vous ne répondez qu’à ce qui vous arrange, pas un mot sur Marine lorsque je dis qu’elle aussi n’a commis aucun crime et que le FN est diabolisé.  C’est parce que je constate qu’il y a deux poids deux mesures que je m’en prends à Mélenchon. Tout ce que la gauche fait ou dit, c’est bien, la droite est toujours présumée extrême et systématiquement diabolisée.  Qu’on foute la paix à Marine et qu’on arrête de lui tailler un short pour des prunes. Je suis juste logique, vous êtes de parti-pris. Vous me faites bien rire avec votre égalité qui n’est, elle aussi, que présumée. Nos démocraties modernes ont mis en place des apparatchiks surpayés (toujours les mêmes) qui pensent à eux et pas à nous. Le socialisme est une doctrine imbécile qui confisque les libertés et limite l’oligarchie au pouvoir en concentrant tous les pouvoirs (économiques et politiques) dans les mains d’une clique restreinte de politiciens. Il existe même partout en Europe des dynasties de politiciens qui prouvent que le pouvoir est resté, pour partie (bonne partie), largement héréditaire. Alors, vos révolutions…

Le socialisme est l’opposé de la démocratie et il est précisément l’opposé de l’égalité entre tous. Egalité entre les hommes ne veut pas dire « égalitarisme forcené » qui est, de nouveau, partie intégrante du dogme socialo- communiste. Vous poursuivez des chimères, mais ce qui est grave, c’est que ceux qui arrivent au pouvoir au nom de ces principes ont partout engendré la misère et la mort, ça c’est factuel.

Je crois dans la liberté en ce compris celle d’entreprendre et de bénéficier du fruit de son travail ou de ses efforts. Je crois aussi dans des valeurs qui ne sont pas celles déstructurantes du socialo-communisme qui détruit notre civilisation pour imposer un modèle « neuf » dont il a été démontré, à suffisance, son inhumanité.

Vous refusez de voir en Castro un horrible individu (il a massacré à tour de bras au nom de sa révolution, c’est aussi un fait) et vous vous en prenez aux américains. Le refrain est connu, archi connu. L’Amérique c’est Satan, ben tiens !

Je suis pro américains, pro israéliens (pour info, je ne suis pas juif) et pour la liberté, je crois aussi dans la vertu, le travail, l’effort, le dépassement de soi, toutes des valeurs qui n’empêchent pas la solidarité, la vraie solidarité entre les hommes, pas celle proclamée par tous les appareils communistes mais qui n’est que proclamée et jamais appliquée. Encore un détail, je suis un aristo (le seul que je fréquente, je précise), vos amis m’auraient coupé le cou jadis, comprenez que je les aime peu. »

Le débat est clos…pour le moment.

Une précision tout de même, si je suis pro-US et pro-Israël, ce n’est pas au nom d’un dogme étriqué (ils le sont tous), ceux qui me connaissent le savent, je me fiche des dogmes, je suis réaliste. Ma réflexion m’a conduit à cela parce que ces pays sont avant tout des démocraties de qualité également attachées au libre-échange (Obama fait tout ce qu’il peut pour réduire les libertés), clé de la liberté et du succès individuel et collectif.

Encore une question, pourquoi ce qui nous semble évident ne l’est pas aux autres, nous ne voulons pas autre chose que la liberté et nous sommes incompris et rejetés par les médias et les bien-pensants. Dans le temps je regardais la politique de loin et n’en pensais déjà que du mal. La démagogie à cinq sous était omni présente, la gauche était déjà triomphante et la droite libérale était déjà timide et auto-muselée. Cela me dégoutait hier, cela me dégoute aujourd’hui mais ça ne m’étonne pas. Internet nous ouvre une voie d’expression qui n’existait pas jadis, nous nous sommes engouffrés dedans, c’est la seule chose que nous pouvions faire, avant que les politiciens n’en verrouillent l’utilisation. C’est en cours, ils cherchent !

En sciences, la méthode scientifique commande aux chercheurs de toujours valider leurs expériences par des batteries de tests pour essayer de défaire ou de contredire ce qu’ils ont difficilement élaboré. Cela nous semble normal. En économie, nous savons ce qui marche et ce qui ne marche pas, nous connaissons aussi les pays performants et ceux qui ne le sont pas, les différentes méthodologies économiques ont été testées, validées, retestées et revalidées. Pourquoi s’accrocher encore au communisme (ou au socialisme) qui est un échec partout (humain, économique…). La crise n’est pas une fatalité, ce n’est pas un virus qui nous est tombé sur le dos comme la grippe, la crise est la conséquence des politiques économiques absurdes et dirigistes menées dans nos pays.

Ne pas appliquer les recettes qui fonctionnent confirme que la gauche (et la gauche extrême) se moque de la réalité, des faits et des hommes, elle suit son dogme, uniquement son dogme faux, fou et stupide !

Hollande est une nullité, je crains le pire, il est, nous dit-on, sorti d’ HEC, il devait avoir un double pour passer ses examens.

La liberté c’est l’espoir, le socialisme le désespoir !
Le libéralisme n’est pas non plus une idéologie opposée au socialisme, le libéralisme découle de l’étude de faits et de résultats obtenus. Le socialisme est une idéologie préconstruite, il se moque de la réalité, c’est en cela qu’il est une utopie.

Revenons-en à la Belgique…pour le moment. Je suis flamand, ouest-flandrien d’origine. Je suis unitariste par principe, mais comme disait un ami quand il était enfant ; « je ne défendrais pas la Belgique si elle devenait communiste »…moi non plus. 

Je suis un rebelle mais je me tempère (ça ne se voit pas toujours). Je défends d’abord et avant tout la liberté (économique surtout parce qu’elle n’existe pas en Europe), le bon-sens et la sécurité (je combats l’islamisme et le communautarisme).

Je m’adapterai pour le reste. En clair je suis seulement anti-cons, royaliste par confort, par tradition et…par respect des belges qui semblent attachés à la monarchie. Je suis aussi contre la culture des antagonismes de tous les antagonismes. Ils nous ont menés là où nous en sommes. Je préfèrerais une liberté républicaine et séparatiste plutôt qu’une unité royaliste socialo-communiste. Je ne serais jamais un politicien dans le sens commun, je rassemblerai ou je ne rassemblerai pas mais je ne me compromettrai jamais. Mon attachement au système n’est pas proche de zéro il EST zéro. Ce que je veux, avant tout; renvoyer TOUS ces politicards de tous les bords chez eux et je modère tout de même mes mots sinon mes textes ne seraient qu’insultes à leur propos et avec ça on ne va très loin (même si ça fait plaisir), reconnaissons-le !

Récemment je regardais la télévision belge ou luxembourgeoise, je ne me souviens plus. Il s’agissait d’une émission de politique belge, le truc à s’endormir tout de suite ou à partir en courant. J’ai choisi la seconde formule, la course loin de ces idioties réductrices et anti-démocratiques. Une élue du CDH (je crois) nous disait sans rire et avec gravité que si, à l’image de la France, nous avions un scrutin majoritaire, Bart De Wever serait premier ministre. Consternant non, pourquoi, ça la gêne, le respect des urnes ne lui convient pas !

Il est vrai que ces particrates ont reformé le « presque » même gouvernement après les élections, il leur aura fallu près de deux ans. Des pitres oligarques, des combinards politicards qui s’arrangent entre eux pour défaire le choix des urnes. Bravissimo !!!

Les petits copains et autres commentateurs sur le plateau n’ont rien dit, il s’agissait de démocrates pourtant (la télé n’invite que des démocrates pas des « fachos » comme moi, c’est connu), ils devaient être distraits et regarder les mouches au plafond et lire le petit livre rouge de Mao ou Marx et Lénine sous la table. Le choix du peuple, ils s’en foutent comme de l’an quarante (rien à voir avec la guerre 40/45, j’ai contrôlé sur le Net avant de me lancer)!

Moi je dirais à cette graine de dictateur écervelée que ce qu’elle condamne c’est la démocratie, les flamands ont voté et c’est le choix du peuple dont cette élue doit se réclamer uniquement quand ça l’arrange. On verra aux prochaines élections celui qui sera dans les cordes. Les communales approchent à grands pas et qui vivra verra !

En attendant le gouvernement belge taxe les citoyens et cherche des pistes, en langage décodé, humain ou terrien, « piste » veut dire « taxe ». Il ne fait pas d’économies sérieuses, il tient à ses privilèges, il étrangle le Peuple avec le sourire parce que ça lui donne bonne conscience.

Les dernières taxations sur les avantages en nature sont une belle imbécilité, les concessionnaires automobiles ont vu leur carnet de commande fondre comme neige au soleil. Certains clients ont même préféré payer un dédit et jeter leur bon de commande aux orties, c’est, sans doute, ce qu’on appelle soutenir l’économie. Ma compagne déjà écrasée de taxes, c’est vrai qu’elle ne bosse que 10h à 12h par jour, se voit infliger un paiement supplémentaire de 2500 euros/an pour sa bagnole. Elle fulmine, en tant que cadre, elle ne peut, hélas, pas se débarrasser de sa voiture comme ça. Elle le regrette, mais ce qu’elle regrette surtout ce sont les co..ards (remplissez les points vous-même, je ne veux pas être grossier, allez, je vous aide, il n’y a pas de voyelles, justes des consonnes, une seule pour être précis) au pouvoir. Voter Bart, la solution peut être, la raison sans doute !

Si vous voulez vous amuser, voici le site du Moniteur de l’Automobile qui vous permet de calculer « on line » le montant de la taxe  ici  vous verrez que lorsqu’on introduit les données de voitures de très haut de gamme on arrive à des montants astronomiques, quelquefois 30.000 ou 50.000 euros/an. C’est absolument grotesque. Il faut être particulièrement idiot pour penser que le belge va se laisser plumer comme ça !

Pour conclure, la crise n’est pas une fatalité, je l’ai souvent dit et écrit, elle est uniquement l’œuvre des hommes qui nous dirigent et veulent rester en place en cherchant les responsabilités chez les autres ou ailleurs…comme toujours. On s’émerveille d’un air étonné sur la croissance ou le succès des pays dits émergents, sur le Chili, l’Australie, le Brésil, sur des pays issus de l’ancienne URSS et pourtant personne ne voit l’essentiel, ce qui devrait sauter aux yeux de tous les analystes. Tous ces pays ont une seule chose essentielle en commun, le respect des libertés économiques qui comporte nécessairement le souci d’un impôt faible ou modéré, le choix de la mobilité salariale (également le moins de charge sur le travail possible) et la condamnation d’un Etat omniprésent qui entraîne le dérapage des dépenses publiques et des déficits. Le contraire de la belge-attitude ou de l’Europe-attitude !!!

Ce dernier chapitre sera plus développé dans un livre que je projette d’écrire, il est à l’étude, j’y travaille et je cherche surtout le moyen…de le faire connaître avant de me lancer. Mes idées ne sont pas celles de la caste en place soutenue par les médias et les maisons d’édition, ma route se tracera en dehors des sentiers battus, il faudra innover, étonner, surprendre, bondir comme un fauve sorti de la nuit pour assaillir l’adversaire et le terrasser. Gageons que je trouverai mon chemin !

La Liberté c’est le succès, le dirigisme c’est l’esclavagisme au profit des ânes-alphabètes qui nous gouvernent. Mais nous gouvernent-ils ?

J’en doute, ils sont simplement en place et se gavent comme des porcs !

Tiens, je constate que nous sommes le 1er mai, c’est la fête du travail, du vrai travail comme dirait Sarkozy, on le lui a reproché, on a eu tort, il a raison, c’est une évidence. Que les vrais glandeurs aillent au diable et le(s) gouvernement(s) (on en a toujours six en Belgique ?!) avec eux.

Vive le travail et à bas la glandouille organisée au frais de ceux qui bossent !