L’UE, c’est bientôt l’URSS,

On y arrive…

Posté par ATB le 7 octobre 2018

Où j’en étais resté ? Ah oui, je me souviens, à la réussite éclatante et très prédictible de Donald Trump à la présidence des USA. Si, à l’époque de son élection, ce succès à venir m’avait immédiatement paru évident, ce n’était pourtant pas le cas pour tout le monde, toutes les forces de gauche et de l’ultragauche se sont d’abord opposées à lui par principe en proclamant l’apocalypse générale s’il était élu. Très rapidement tous les « partis de pouvoir »  de la droite (relative !) ont embrayé parce qu’ils voyaient simplement en lui un homme qui allait attaquer et mettre en pièce les privilèges d’une oligarchie politique restreinte (américaine ou européenne d’ailleurs) fermée sur elle-même qui avait parfaitement réussi à cadenasser un système exclusivement tourné à son avantage. Quant aux principaux médias, ancrés à gauche pour l’immense majorité, ils avaient choisi leur camp dès le début, Trump était la crapule fasciste et misogyne qu’il fallait absolument abattre sans discussion, peu importe la vérité ou la réalité observée, tous les moyens, même les plus infâmes, étaient bons pour parvenir à ce noir dessein, alors les mensonges, les affabulations, les délires en tous genres et les diffamations se sont accumulés les uns et les unes aux autres depuis le début, tous les jours, toutes les semaines, tous les mois et année après année. Quel cirque imbécile et quel désastre pour le monde libre !

Evidemment, aucun hasard dans le procédé, la calomnie porte toujours ses fruits, la recette est déjà ancienne et elle connue, Françis Bacon (1561-1626) écrira un jour :

« Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose ».

Et ça marche
…Les gogos et les idiots de tous bords ne retiennent d’ailleurs que ces allégations mensongères qu’ils tiendront alors étrangement pour vérité absolue. Notons utilement que le dialogue est rigoureusement impossible avec eux, il n’y a rien à faire, même avec des gens prétendument intelligents (le sont-ils ?), je l’ai vécu cent fois, c’est quasi systématique tellement la propagande est forte et la rumeur enracinée profondément dans la tête d’un public naïf, ils ont le nombre pour eux, alors ils pensent avoir forcément raison, le schéma est tristement classique. Un jour, pour me préserver sans doute, un ami m’a dit avec une légère compassion « qu’il fallait assumer », merde alors, je n’ai pas saisi tout de suite, en principe on devrait assumer une charge, un échec, un mensonge, une maladie, une tare ou un défaut. Ici il s’agit d’autre chose, expliquer une règle économique c’est comme expliquer des mathématiques, celui qui écoute comprend ou ne comprend pas et s’il ne comprend pas c’est à lui d’assumer, ce n’est pas le contraire.
C’est quoi ce foutu monde actuel dans lequel les valeurs et les principes sont complétement inversés. Pour un mec sain, il y a réellement de quoi devenir fou surtout quand on constate cette nouvelle tendance à vouloir interner ou à redresser ceux qui pensent en dehors des références imposées.
La dictature ne se cache même plus, elle loge au cœur de nos institutions. Dans certains milieux ou au boulot on a peur de parler ; fichtre, on pourrait se faire foutre à la porte au nom des « valeurs de la boîte », mais que sont ces valeurs, sinon des non-valeurs. La vie devient difficile pour un Homme libre, ça finit par user et on commence à se bouffer la carcasse de l’intérieur.



Quel délice d’être pris pour un con par un idiot, on le dit souvent, merci, très peu pour moi, les cons m’agacent prodigieusement, alors aujourd’hui j’évite les débats inutiles, on ne convainc jamais personne, surtout pas ceux qui restent obstinément têtus devant les faits, ils sont irrécupérables. N’ayons pas peur des mots, à un certain niveau, l’obstination devient une forme d’inintelligence.

Non, on ne convainc jamais personne et l’espèce humaine, depuis la cité grecque, s’enferme dans d’inépuisables Dialogues de sourds. Depuis la cité grecque ? Eh les gars, comment voulez-vous changer ça en étant modestement assis sur votre chaise avec un clavier d’ordinateur entre les mains pour seule arme, autant essayer de buter un tyrannosaure avec un pistolet à eau.
Zut, je ne suis ni Napoléon Bonaparte, ni Alexandre Le Grand, l’un et l’autre détenaient la solution, ils ne s’embarrassaient pas de vains détails ou de paroles futiles, ils passaient directement à l’action, et boum, boum, boum,  des coups de canons et des balles de fusils par ici ou le fil de l’épée, la baïonnette, la catapulte ou le javelot par-là, c’est plus efficace, plus radical et tant pis pour les morts et les estropiés, finalement c’est peut être ça la bonne formule, après tout, combien de français ne vénèrent-ils pas Napoléon et combien d’autres n’admirent-ils pas Alexandre Le Grand ? Trouvez-moi vite un fier destrier, je vais régler l’affaire en vitesse !

Combien de fois n’ai-je pas dit ou écrit aussi que la plupart des gens ne comprenaient que deux choses, la force du pognon et les coups de pieds au cul, les grands conquérants n’ont rien fait d’autre, ils ont principalement distribué des taloches au public et du fric et des privilèges à leurs proches, faut croire que les gens aiment ça, alors oublions les beaux raisonnements, la fine dialectique et l’analyse subtile et admettons définitivement que cet aimable blabla ne servira jamais à rien, « aux armes citoyens », crotte la formule est déjà prise, je vais penser à autre chose et je reviens vers vous, c’est promis !

Ah oui et Trump donc...

Une image d’abord, quand vous prenez un bain, s’il y a de l’eau dans la baignoire, c’est parce que vous avez ouvert le robinet, en voiture quand vous poussez sur le champignon, vous accélérez, si vous écrasez le frein, vous freinez, les actes comme les mesures prises produisent leurs effets parfois immédiats, toujours et partout, dans la vie d’une entreprise et en économie, c’est pareil. Il faut seulement du bon sens pour le comprendre, la politique pourrit tout, elle se moque du bon sens, elle interdit le débat et jette un voile épais sur la réalité qui la dessert. Ça marche fort pour la politique politicienne parce que la connerie, toujours abondante, est le complice naturel et involontaire de la propagande.

Trump, qui n’est pas idiot, comprend l’économie et il connait la relation de cause à effet, alors il met simplement en œuvre un contexte favorable à la croissance et à l’emploi et...ça marche. On prétendra encore partout qu’il n’y est pour rien, mais curieusement aucun argument ne viendra jamais défendre cette hypothèse farfelue, on affirmera, on décrètera, on le moquera et on l’insultera, à gauche comme à droite et la loi du nombre l’emportera toujours sur la raison ou l’analyse, on ne changera pas la nature des hommes, finalement, il y a des siècles que c’est comme ça et c’est tant pis, on ne peut rien y faire.

Dans ce monde merveilleux de l’ignorance savamment entretenue, un ami me fera parvenir avec humour (il sait que l’info est bidon) « l’image parlante » qui suit, il l’avait reçue d’une âme charitable qui voulait vraisemblablement démontrer qu’Obama était un as. A la lecture de ces quelques lignes, j’avoue avoir hésité, soit je fondais en larmes illico, soit je m’esclaffais lourdement, j’ai immanquablement choisi l’option « B », ce truc est bidon, vrai ou faux, l’info n’infirme en rien les prouesses de Trump, ensuite, les succès, que l’on veut nous montrer-là, n’en sont pas, on essaye encore de nous enfumer, c’est hélas classique et récurrent.





Rappelons-nous d’abord qu’Obama a été élu en pleine crise économique, la crise de 2008 dite des subprimes, cette véritable allégorie en sa faveur le cache volontairement, c’est une manipulation enfantine, alors regardons plutôt uniquement la réalité et arrêtons de glorifier misérablement celui qui ne le mérite pas.

Andy Puzder est un homme d’affaires qui écrit aussi fréquemment sur des questions économiques dans des médias connus tels que le Wall Street Journal , le Forbes , Real Clear Politics , CNBC en ligne, National Review , The Hill , Politico et le registre du comté d’Orange, il évoquait, il y a quelques mois, le succès extraordinaire de Trump qu’il comparait au total insuccès qui a accompagné Obama pendant tous ses mandats. En effet, nous dit-il, sous sa présidence, la croissance du PIB (GDP en anglais) n’a jamais été très haute, elle était de 2.1% après la crise alors qu’elle aurait dû toucher les 3 – 4 %, il poursuit, l’expérience  nous a déjà montré que les 10 dernières récessions ont été suivies d’une croissance à 4.3%, Obama en était loin et, avec lui, l’économie n’a jamais vraiment décollé, c’est plutôt un échec, pas une réussite !
Le Bureau of Labor Statistics en ajoutera encore une bonne couche, selon lui, il n’y a jamais eu autant de créations de jobs que sous Trump et c’est une première historique. Avec Trump, l’Amérique a totalement changé de modèle économique, elle est revenue au capitalisme et en 15 mois il y a plus de gens au boulot et plus de nouveaux jobs que jamais...



Vite une petite info toute fraiche : Le taux de chômage chute à 3,7%, son plus bas niveau depuis près d'un demi-siècle, tandis que d’autres données montrent que l’économie est en plein essor alors que les revenus moyens ont augmenté de 2.8% sur 12 mois. Grâce à qui ?

Dans ce contexte favorable à Trump et devant ce flux ininterrompu de fausses nouvelles supposées soutenir les succès imaginaires d’Obama, je précise que cette info partielle et partiale avait été relayée sous le titre « Fact checker », en d’autres mots, voici les faits et arrêtez de déconner, en réalité Obama, lui aussi, a redressé l’Amérique !

Euhhhhh, quand on ne sait pas, on se tait ou on vérifie avant de parler, bon, vous en voulez encore, en voici…

Non et non, Obama, le « saint intouchable »  de la gauche, de la gauche de la gauche, de la gauche de la droite, des bobos, des naïfs, des ignorants et des idiots n’a pas redressé l’Amérique, il a fait tout le contraire, ce fut un lamentable échec, sur tous les plans, j’ai déjà traité le sujet, je recommencerai à l’occasion et je me contenterai de rappeler rapidement ici certains points en liaison aussi avec « l’éloge en image » trompeuse qui est faite plus haut (source ici).

  • En 2009, il a lancé un grand plan de dépenses publiques de plus de 900 Mds de dollars afin de redynamiser l’économie. OK, c’est bien de le dire, on évoque 790 milliards plus haut, pour quel résultat, la croissance n’a jamais décollé pendant tout son mandat. Ce genre de plan ne marche jamais, il est basé sur des prélèvements qui condamnent l’investissement privé ET la croissance en amont pendant que l’Etat dépense (dépenser n’est pas investir) sans compter en aval. C’est du gaspillage.
  • Si le taux de chômage était de 4.9 %, le taux d’emploi était aussi à son niveau le plus bas (Trumpobtient le contraire en termes de taux d’emploi).
  • Le salaire minimum a été augmenté et les classes moyennes croulaient sous les impôts.
  • Les politiques progressistes ont provoqué les résultats contraires à ceux escomptés : jamais la société américaine n’a été aussi divisée. Le rêve américain a été piétiné et seule l’envie entrepreneuriale a sauvé l’Amérique.
  • Obama a fait des promesses et il a surtout augmenté les impôts et multiplié les réglementations, plus de 4 000 pages de réglementations ont été ajoutées durant son premier mandat.
  • Sa politique économique aura comme résultat l’appauvrissement des classes moyennes au nom de la lutte contre les inégalités.
  • Le programme de santé « Obamacare » a été un désastre, Obama avait promis de baisser les franchises santé, elles ont augmenté de 60 % en moyenne. Les primes d’assurance ont bondi en moyenne de 25 % (et même 119% dans l’État d’Arizona) et les assureurs ne s’en sortaient plus à cause des réglementations très strictes qui leur étaient imposées. Obama avait promis de baisser le prix de l’assurance santé d’environ 2 500 dollars par famille et par an ; en réalité le prix a augmenté de 2 100 dollars !
  • Last but not least, en termes de croissance économique Obama a fait trois fois moins bien que Reagan entre 1980 et 1984 (j’y reviens plus bas).



Ma source inconnue mettait donc en évidence la « croissance positive et merveilleuse sous Obama », je viens de dire et d’expliquer ce qu’il fallait en penser, voici maintenant, en graphique, une cruelle réalité (pour les fans d’Obama) qui ne plait pas à tout le monde, l’évolution de la croissance US depuis 1961, à noter que la période s’arrête en 2017, avant les bons résultats apportés par la politique économique de Donald Trump.



Ce graphique illustre trois choses, l’aspect assez linéaire de la tendance, la mollesse de la croissance sous Obama qui fait moins bien que les autres et le succès phénoménal de la politique de Reagan qui a porté la croissance à 7.26% en 1984. 
Trump est parti sur la même voie si on le laisse faire, il est à 4.1% et ce résultat a été apparemment revu et corrigé vers le haut, il est porté à 4.7% ;  Donc oui, les bonnes politiques économiques portent de bons effets et les mauvaises politiques économiques conduisent au désastre, toujours et partout.

Juste pour rire et comme je suis « belge de Belgique, une fois… », je ne résiste pas non plus à l’envie de vous montrer le graphique de la croissance belge qui est….calamiteuse malgré notre gouvernement « turbo-libéral » qui est à gauche dans les faits et ceci explique aussi cela…Vous noterez qu’après le patatras de 2009 (comme partout), nous ne rebondissons qu’à 2.74 % (c’est un réajustement, comme partout et c’est visible sur tous les graphiques) pour dégringoler à 0.23% en 2012, 0.2% en 2013 et péniblement à 1.73% en 2017, Obama a fait mieux, beaucoup mieux, ben oui, chez nous on est dirigé par des vraies klettes (couillons en bruxellois) ignorantes, arrogantes, prétentieuses et socialisantes qui crachent sur Trump et vénèrent Macron, c’est logique, qui se ressemblent, s’assemblent, la vie se répète et les couillons renouvellent les mêmes gaffes parce qu’ils ne comprennent jamais rien, si, pardon, le couillon politique a pigé comment il pouvait s’en mettre plein les poches, conserver le pouvoir et piller le bon peuple. Ils ne sont finalement pas si cons, merde, c’est dur à dire !

J’ajoute encore ceci : ce qui frappe immédiatement sur ce graphique, c’est que depuis 1961, nous sommes inscrits sur une tendance linéaire descendante, encore une fois, c’est normal, nous n’avons pas eu d’hommes de la trempe de Reagan ou de Trump pour insuffler autre chose à notre économie que les principes socialistes qui conduisent nécessairement et inévitablement à l’appauvrissement général et à la décroissance, allez, puisqu’on y est, encore un petit effort, votons tous PTB (le parti marxiste) et nous irons immédiatement dans le trou, au moins ce sera bref, mais, hélas, pas sans douleur !



Je voudrais éviter de vous noyer dans les chiffres, mais la tentation est grande d’ajouter aux deux graphiques précédents (USA et Belgique) celui de la France, je ne vais pas le faire (il est ici), mais, en fait, il est comparable à celui de la Belgique, c’est presque comique, on arriverait quasiment à les superposer, même ligne descendante de la croissance, même « contre-performance » ce qui conforte l’idée que des politiques économiques similaires donnent les mêmes résultats. Il n’y a pas de place pour la pensée magique, CQFD !

On vient de le voir, les chiffres sont là pour le prouver, Obama est un échec, Trump une réussite et tant pis pour la rumeur, le capitalisme fonctionne à merveille, le socialisme rate à tous les coups. Il faut absolument en finir avec ce fléau !

Je ne résiste pas à l’envie de glisser ici une image bien pourrie en liaison avec ce jeu politico-médiatique minable et délétère.

J’adore la mousse au chocolat, bien sûr il faut qu’elle ait de la tenue, qu’elle soit compacte mais aussi suffisamment aérée, qu’elle soit faite de préférence  avec du chocolat noir de qualité, un zeste d’orange, pas trop, juste un peu pour le parfum, miam, miam, j’en rêve déjà…Evidemment si vous ajoutez de la merde, même très peu, ce ne sera plus très bon et plus vous en mettrez, plus ce sera dégueulasse, c’est pour ça que personne ne le fait, eh bien, le socialisme, c’est la même chose, plus vous en mettrez de doses, en économie et dans la société, moins ça marchera et plus vous installerez la dictature, le chômage et la pauvreté. Au final ce sera la merde pour le plus grand nombre, pas pour les oligarques qui se partageront pouvoir et argent, mais seulement pour vous et moi, les « petits ploucs », les éternels laborieux que les élites autoproclamées exploitent et méprisent en prétendant les protéger, en Belgique nous sommes en pleine période électorale, il faudrait voir les parasites politiques professionnels s’agiter, c’est pathétique, des places sont à prendre ou à conserver, quelle excitation, on les comprend, quand la soupe est bonne, abondante et gratuite, ça crée de nombreuses vocations motivées et « sincères », alors ils accourent et se bousculent nombreux au portillon. Il faut les voir et les supporter, je ne les supporte plus, non, je les méprise carrément et je parle d’expérience, pas d’un parti-pris subjectif, il y a 40 ans que ces gens-là me gonflent et me baladent, c’est assez, je ne suis ni aveugle, ni sot !




Je disais que la soupe est bonne pour les politiciens, c’est vrai, en Belgique toujours, le gouvernement fédéral (théoriquement à droite, ce qu’il n’est pas du tout dans la pratique) veut réformer le régime de congé maladie de la fonction publique, pourquoi pas, mais je ne vais pas entrer dans le détail ici, ce n’est pas l’objet. Raoul Hedebouw, élu du PTB, un parti marxiste d’extrême gauche, est trèèèèès fâché, il s’exprimera devant le parlement et affirmera, juste à propos, que le gouvernement demande aux fonctionnaires ce qu’il n’applique pas à lui-même et aux députés (de droite, dira-t-il, je suppose que les députés de gauche sont logés à la même enseigne, mais l’homme du PTB préfère incriminer la droite, chasser le naturel…, la gauche a toujours raison….), idem avec les pensions, il précisera :  « vous avez demandé aux gens de bosser jusque 67 ans alors que c’était pas le cas pour vous…..je trouve cela vraiment scandaleux et hypocrite ». Comment lui donner tort sur ces points, tous les mêmes, de bons parasites politicards, mais chuuuuuuuuuuuut, il ne faut pas le dire sous peine d’être pris pour un extrémiste, un populiste, un poujadiste, un idiot ou même un fou !

La plume que j’ai dans la tête et le clavier que je touche du bout des doigts m’ont amené jusqu’ici en me donnant l’occasion, encore une fois, de mettre en lumière l’insuccès programmé des politiques économiques de la gauche.
Fort opportunément je me rappelle d’un excellent article du Los Angeles Times sur l’échec des politiques sociales ou socialistes en Californie, j’avais noté le lien, le voici. Pas de chance, apparemment l’une des prouesses du RGPD, la nouvelle usine à gaz de l’UE sensée protéger nos données personnelles (pour quels effets positifs ???), a eu des répercutions immédiates, on s’en réjouit, enfin non, personnellement je râle sec, le site du journal US est interdit d’accès depuis l’UE, chouette !
Il n’est pas le seul, d’autres journaux US le sont aussi à cause du RGPD et c’est confirmé ici, je n’invente rien, merci l’UE !
Bon, j’étais en Suisse il y a quelques semaines et là-bas, c’est top, ça fonctionne très bien, une saloperie de plus à mettre sur le dos de cette UE « libérale » (socialiste) qui tient absolument à faire notre bonheur à sa façon, et tant pis si ça ne nous convient pas, c’est comme ça, c’est pour notre bien !



Ce RGPD est une imbécilité redoutable de plus, les entreprises sont noyées sous les contraintes, le boulot supplémentaire et les menaces de devoir payer des amendes phénoménales, ainsi, lira-ton,  d’importantes amendes administratives sont prévues, selon la catégorie de l’infraction, jusqu’à 20 m€ ou jusqu’à 4% du chiffre d’affaires mondial de l’entreprise. Grotesque, voilà, encore une fois, un frein apporté à l’économie, les règles, les contraintes et les amendes tuent le commerce et la croissance. On ajoutera à la note un racket supplémentaire installé au profit des Etats membres et ce sera complet, eh oui, vous ne le saviez peut être pas (moi non plus), mais les pays de l’UE se partagent le montant des amendes au prorata de leur contribution au budget de l’UE. Elle est pas belle la vie du parasite politique, en effet, la politique, c’est aussi l’Etat, vous pensiez à quoi ?
Rappelez-vous, la Commission européenne vient de condamner Google à une amende de 4.34 milliards d’euros pour pratiques anticoncurrentielles, la France devrait toucher 650 millions d’euros. Il parait aussi que chaque état membre pourra utiliser le pognon comme il voudra, une piscine par ici, de la vaisselle en or par-là, suivez mon regard, je n’en dis pas plus, vous m’avez compris. C’est bonard tout de même, il y avait un premier train d’amendes prévues par la Commission, en voilà un autre, il est tout neuf, des milliards en prévoyance pour les uns, les glandeurs professionnels, des trous dans la caisse pour les autres, ceux qui bossent et font la croissance et les emplois. Il y aurait pas là comme un truc malsain, illogique, liberticide et parfaitement antilibéral  dans le principe, je pense que oui, c’est vous qui voyez !

On peut résumer cette merveille sortie tout droit du « cerveau » de nos technocrates européens tarés ou pervers (il faut l’être pour pondre des trucs comme ça !) en quelques mots :  « De lois en régulations, de directives en règlements, on peut d’ores et déjà s’attendre à une perte de vitesse de tout un continent résolument tourné vers la censure, la surveillance tous azimuts et l’étouffement de l’innovation par l’encadrement permanent » (source réaliste et pleine d’humour ici)

Je me suis éloigné un peu de la Californie (démocrate et très anti-Trump), ne m’en voulez pas, me revoilou, et comme j’ai conservé l’article du Los Angeles Times, je peux le commenter pour vous maintenant.



Question : Quel Etat a le taux de pauvreté le plus élevé des USA ? Ne cherchez plus, c’est la Californie, où près d'un habitant sur cinq est pauvre, ça surprend quand on connait la réputation de la région à laquelle appartient la Silicon Valley, cette terre d’excellence qui accueille d’innombrables start-up et entreprises internationales de technologies grosses génératrices d’emplois et de prospérité, mais il faut croire que quelques hirondelles, même de taille, ne font pas le printemps. Il faut savoir que les gouvernements locaux démocrates et socialisants ont dépensé des sommes énormes dans plusieurs programmes sociaux qui se chevauchent et qui parfois ont amené des personnes qui ont des revenus supérieurs de 200% au seuil de pauvreté à percevoir des prestations. De cette manière, près de 958 milliards de dollars  (pour donner une idée, +/- 2 fois le PIB de la Belgique) ont été dépensés, entre 1992 et 2015, ce qui fait de la Californie, qui compte 12% de la population américaine, l’état qui abrite aujourd'hui près d’un tiers des bénéficiaires de l'aide sociale du pays. Beau résultat !

Il faut croire que dans la réalité ces dépenses généreuses n’ont pas contribué à réduire la pauvreté; elles ont fait le contraire, elles ont empiré la situation. A titre de comparaison, à la fin des années 1980 et au début des années 1990, certains États et le gouvernement fédéral ont entamé des réformes sociales solides et efficaces, résultat ;  le nombre de bénéficiaires de l'aide sociale a chuté et des millions d'anciens bénéficiaires de l'aide sont entrés sur le marché du travail. En Californie, rien de tout cela n’a été fait, des aides disproportionnées ont été offertes sans contrepartie et le piège de la dépendance qui a été ouvert par les gnomes socialistes s’est alors refermé sur les allocataires (comme en Europe, ça c’est moi qui l’ajoute) que l’on a transformés en assistés de longue durée. Et bim, bam, boum, les immigrés sont les premiers à tomber dans ce piège, 55% des familles bénéficient de prestations contre 30% seulement des locaux…Conséquence ; Les démocrates adorent les immigrés qu’ils arrosent de subventions parce qu’ils votent pour eux (c’est moi qui l’ajoute également !).

Le clientélisme des administrations joue aussi à plein régime (tiens, tiens !!), les organismes publics cherchent à maximiser leurs budgets grâce auxquels ils acquièrent puissance, statut, confort et sécurité. Le schéma est connu, pour continuer à accroître son budget, la bureaucratie de l’aide sociale est incitée à élargir sa « base client». En 2014, la Californie comptait 883.000 employés équivalents temps plein dans les États et les collectivités locales, la bureaucratie est gigantesque et nombreux sont ceux qui perdraient leur emploi si le client typique de l'aide sociale sortait des listes des assistés. Conflit d’intérêt ? A peine, mais qui le dira ?

La crise du logement en Californie a également contribué à aggraver le problème de la pauvreté. En 2015, plus de quatre ménages sur dix consacraient plus de 30% de leur revenu au logement. La pénurie de logements disponibles a entraîné une hausse des prix, nettement supérieure à celle des revenus. Pour répondre à cette pénurie, le pouvoir politique a fait l’inverse de ce qu’il aurait fallu faire, il a imposé des réglementations restrictives en matière d’utilisation des sols qui ont encore fait monter le prix des terrains et des logements. Des gens se sont alors littéralement enfermés dans la pauvreté.

Les règlements idiots se sont ajoutés les uns aux autres, les coûts se sont envolés et des projets immobiliers importants ont dû être abandonnés, au lieu de stimuler l’offre, on l’a étouffée, beau succès et éternel recommencement du socialisme en action !
Ajoutons à ces mesures les réglementations environnementales qui visaient à réduire les émissions de dioxyde de carbone et voilà la Californie  confrontée à des coûts énergétiques jusqu'à 50% supérieurs à la moyenne nationale. Flûte, c’est encore raté !



Toujours dans l’idée d’aider les plus pauvres, les législateurs californiens ont récemment adopté une mesure qui a fait passer le salaire minimum de 10 dollars l'heure à 15 dollars l'heure d'ici 2022, soit, mais quid pour les 60% de californiens qui vivent dans la pauvreté et qui n’ont pas de jobs (je cite l’article !), cette mesure n’aura aucun effet pour eux.
Question : Faut-il augmenter le salaire minimum ? Non, je ne le pense pas, il faut laisser faire le marché, la contrainte procure toujours un effet inverse à celui escompté, ce qui est d’ailleurs confirmé par une étude de l’université d’Harvard qui établit que, dans les restaurants qui emploient une main-d’œuvre non qualifiée, l’augmentation du salaire minimum finit par détruire l’emploi.

Apparemment aussi, les dirigeants  californiens se sont engagés dans un combat idéologique contre Trump, ils veulent refaire le monde et considèrent « leur état » comme un état sanctuaire porteur des « valeurs californiennes » en sécession du reste de l’Amérique. Ces gens-là sont aussi éloignés de millions de californiens, parfois parmi les plus pauvres, dont les valeurs sont plus traditionnelles et qui n’ont rien à faire d’un combat idéologique déplacé et néfaste qui coupe la Californie des réalités. En l’état des choses, il est peu probable que le problème de la pauvreté s’améliore parce que les décideurs politiques restent accrochés à leur idéologie et ils tournent le dos aux moteurs de prospérité économiques qui ont conduit jadis la Californie à son âge d’or.

Le socialisme tue, toujours et partout, ça c’est moi qui l’ajoute, je le savais déjà !

Mais, dans ce monde admirable, la réalité observée ne compte jamais, l’ennemi c’est Trump, il faut l’abattre, au propre ou au figuré, alors l’offensive continue, toujours et partout, aussi !

Seul contre tous, ou presque, le Président Trump a pris la parole devant l’Assemblée générale des Nations unies à New York, il a parlé de façon remarquable, le discours était précis, réaliste, juste et magnifique, le ton digne et assuré, la parole calme et respectueuse, nous avons assisté à un grand et beau discours tenu par un grand homme, un véritable Homme d’Etat, bravo Monsieur le Président !

Qui en a parlé avec honnêteté ? Quasiment personne et les gogos ne font qu’une seule chose, ils répètent ce que les journaleux racontent, ont-ils écouté ce discours, non, d’ailleurs ils ne le font jamais, ils colportent seulement les âneries que font circuler les médias, voilà leur seule compétence, leur seule connaissance, leur seule vérité et n’allez surtout pas les contredire, ils vous prendraient pour un fou ou pour un esprit partisan…

Devant l’Assemblée, Trump a évidemment mis en avant ses nombreuses réussites, c’est bien légitime, il a aussi parlé des tyrannies et mis en évidence l’échec du socialisme ou du communisme partout dans le monde, il a pris le Venezuela en exemple, il a eu raison, ce sont là de simples faits que chacun devrait comprendre et connaitre. Attaché également au principe du droit des Etats à défendre leur souveraineté nationale, il a terminé par ces mots : « Optons ensemble pour la paix et la liberté et non pour la domination et la défaite ». Sages paroles, comment ne pas être d’accord avec lui ? (Son discours est ici)



Celui qui voudra pourra encore trouver un résumé de son intervention à l’ONU ici .

Bien sûr les critiques ont fusé dans toutes les rédactions et à chaque coin de rue, c’est tristement logique, l’Occident vit dans le mensonge, la propagande et la manipulation. « Le Figaro », qui n’est pas à gauche, en principe, mais qui déroge souvent aussi à sa philosophie, a osé titré :

« À l'ONU, Trump vante son bilan et provoque l'hilarité générale »

Le ton est donné, Trump est un vantard, donc c’est un menteur qui s’attribue le mérite des autres ou des « circonstances ». Faut-il être con ou partisan pour en lâcher une grosse comme celle-là !

Le journal écrira plus loin :  « Donald Trump a fait rire mardi les dirigeants de la planète réunis à l'ONU en vantant, à la tribune de l'Assemblée générale à New York, son bilan…… »

Il ajoutera encore : « Probablement moins habitués que les Américains aux satisfecits et superlatifs que s'octroie à longueur d'interventions publiques le milliardaire républicain, plusieurs membres de l'assistance - chefs d'État et de gouvernement, ministres, ambassadeurs des 193 pays membres de l'organisation mondiale - ont alors souri. »

Mélange d’imbécilités et d’irrespect  pour plaire aux gogos au cerveau bien lavé, par contre, RIEN de RIEN sur le fond, seulement les 28 secondes du début de son allocution, histoire d’essayer de le discréditer et pas un mot sur le contenu des 35 minutes de son magnifique discours et on ose appeler ça du journalisme, quelle farce, c’est une mascarade digne d’une république bananière méprisable.

Ensuite si l’on veut être précis sans faire dans l’esbroufe à deux sous en affichant un vilain titre accrocheur  qui restera dans les mémoires (le coup de l’hilarité m’a déjà été répété au moins 10 fois, c’est systématique et c’est tout ce qu’un certain public retiendra), on ferait bien de noter que les fous-rires ont fait suite à la réaction, pétrie de fair-play et d’humour, de Trump lui-même dont les premiers mots n’avaient pas été accueillis avec l’enthousiasme espéré et mérité. A mon sens, c’est Trump qui a marqué un point et c’est lui qui a fait rigoler l’audience, si j’avais été là, j’aurais ri avec les autres, mais pour lui rendre hommage, pas pour me moquer de lui, j’aurais compris qu’il avait subtilement rattrapé le coup, je ne pense pas être seul à le croire et je suis certain que tous ne se foutaient pas de lui, loin de là, je n’ai pas une grande estime pour l’ONU, mais je ne suis pas assez stupide pour imaginer  que tous les représentants des pays membres sont des idiots, même les tyrans ont de l’humour au contraire des crétins qui n’en n’ont jamais, ils sont trop bêtes. Bilan : ce titre ne reflète pas la réalité !

Pour votre confort, je glisse un discours traduit en français ici

Mais si Trump a réalisé une prestation remarquable, à la hauteur de la grandeur de son personnage, comme d’habitude Macron a été minable, le début de son discours est composé de tous les poncifs imaginables, ordre international fondé sur le droit et le respect de la parole donnée, l’Humanité qui avance, la liberté qui serait plus assurée dans le monde et les droits de l’homme qui se sont diffusés…Après 40 secondes, j’ai déjà envie d’arrêter de l’écouter, le mec est totalement déconnecté de la réalité et franchement, à qui croit-il s’adresser, il est à l’ONU, pas devant l’assemblée générales des bonnes-sœurs de son village. Celui qui voudra pourra l’écouter ici, je laisse tomber, il m’agace, je n’ai pas envie de subir cet adolescent attardé, médiocre, ignorant, prétentieux, irréaliste et doctrinaire, narcissique, provocateur, impulsif, inapte à assumer ses fonctions qui s’enferme dans le déni et le mensonge qui crache sur la France et qui s’acharne à détruire la civilisation occidentale et les nations qui la composent en tapant sur son pupitre comme un sale gosse colérique, non, je ne l’aime pas, c’est un minus qui exprime la haine de soi et la condescendance à l’égard des tyrans les plus ignobles. Est-il sain d’esprit, j’en doute, un psychiatre italien le décrivait d’ailleurs comme un dangereux psychopathe, ça se passe ici et c’est pas nouveau.



Quand je pense que ce petit bonhomme a l’audace (comme d’autres qui ne valent pas mieux que lui) de faire la leçon à Trump, allez, je me tais, je sens que je vais devenir très grossier.

A défaut de l’avoir entendu pendant 44 très longues minutes, qu’en dit « Le Figaro » ?

Dans le fond, lire Le Figaro ou écouter Macron, c’est presque aussi pénible, je dis « presque » parce que le premier rapporte les propos du second en une seule page, c’est plus court, alors c’est barbant moins longtemps, c’est le seul avantage, mais le fond reste le même, il est désastreux, un blabla universaliste théorique coupé des réalités et de toutes nos racines. Quelle horreur et quelle honte !

Et quelle image pour Macron : « Tempes moites, les mains tremblantes, Emmanuel Macron avale d’un trait le verre d’eau qui l’attendait… », voilà les premiers mots du Figaro qui, en écrivant ça, ne met pas à l’honneur ce gamin qui aurait voulu être Roi, tant pis pour lui, cette réalité-là est bien réelle, elle en dit long sur le personnage et il devra l’assumer. Pour la bonne forme je vous renvoie vite au psychiatre italien plus haut et je vous confirme que Macron me fait peur, comme tous les idiots (psychopathe ?) et les faibles, il n’est pas raisonnable (au sens premier du mot ; on ne peut pas le raisonner) et il est soupe au lait, ce qui fait de lui un homme instable et dangereux.

Emmanuel Macron qui adore les formules toutes faites déclare qu’il veut partir en croisade contre «la loi du plus fort». Ok, super, c’est quoi ce machin-là et qui vise-t-il ? Eh bien c’est simple, dans son jargon, « la loi du plus fort », c’est quand tu n’es pas d’accord avec lui, alors il trépigne parce qu’il voudrait bien imposer sa petite règle personnelle ou celle du groupe restreint dont il ferait partie, il appelle ça ; « la gestion collective » et tant pis si ça te convient pas, tu dois courber l’échine, accepter et fermer ta gueule. Ah bon et on appelle ça comment ? Lui, avec ses potes, il peut imposer aux autres, et quand ça vient de lui, c’est cool et démocratique, je pige plus, en fait si, je comprends très bien, Macron est un dictateur en culotte courte qui utilise le verbe pour installer la tyrannie. L’histoire, les techniques de manipulation et les dirigeants se répètent inlassablement, ça crève les yeux !



Evidemment Macronvise Trump sans le nommer, ben oui, celui-ci veut contrôler l’immigration et défendre ses frontières alors ça plait pas au petit français qui voudrait gérer le territoire US avec son « collectif » de  parasites institutionnels liberticides, et puis il y a autre chose qui le chipote, Trumpa dénoncé l’accord avec l’Iran et, selon Macron, il pouvait pas, peu importe si le régime islamiste iranien est épouvantable et qu’il soutient le terrorisme partout, ça c’est pas grave, faut faire copain-copain avec eux et fermer les yeux sur toutes ces horreurs parce que le vrai danger (pour cet âne) c’est Trumpet ça ne se discute pas, c’est une question de foi ou de religion (socialiste) finalement. 

Macron l’universaliste (il adore l’expression le bougre) parlera du serpent de mer israélo-palestiniens (toujours les formules bidons), des maladresses américaines (lesquelles ????) et il regrettera aussi la fermeture du robinet des finances US à l’Autorité palestinienne.  En revanche pas un mot sur les réalités (on est habitué !), les « palestiniens », nous rappellera Guy Millière,  ont pourtant toujours refusé de réellement négocier un plan de paix afin de continuer à vivre grassement des aides internationales, et notamment de l’aide américaine, Macron s’en fout, ensuite, qui agresse qui, qui se défend, où sont les salopards, les escrocs, les corrompus, les génocidaires et les terroristes, quel est le seul pays réellement démocratique au Moyen-Orient, sinon Israël, qui mérite notre estime et notre soutien et qui ne le mérite pas, etc, etc…

Cet irresponsable congénital dira aussi de la France et devant le monde entier : «Nous sommes un pays qui a fait beaucoup d'erreurs, de mauvaises choses». Je préfère me taire, en 14-18, on a fusillé pour moins que ça, au-delà d’être un idiot, l’homme est aussi un traitre, c’est grave, très grave, pauvre France, pauvres français, mais, vous les français,  qui donc avez-vous élu, j’en viens presque à regretter Hollande, c’est dire !

Jean-Baptiste Noé sur Contrepointsparlera du discours vide d’un chef d’État sans vision et sans stratégie qui tape sans courage sur Trumppour se situer dans le camp du Bien, c’est bien résumé (source ici).

Mais nager dans le consensus onusien au détriment de l’Occident ça paie grave, voici Macron 1er l’empereur de l’universalisme de bazar nommé Roi de la terre, non pardon « Champion de la terre », un prix décerné par le Programme des nations unies pour l'environnement. On devait aussi en faire le champion du climat avec 14 autres dirigeants, je ne vais pas vous parler ici du réchauffement climatique d’origine anthropique (auquel je ne crois pas une seconde) qui est un mythe destiné à faire plier et raquer l’Occident et à faciliter l’instauration d’une gouvernance mondiale, je souhaite seulement souligner que Macron est l’antithèse du champion, c’est un parfait navet, un mauvais acteur qui devrait plutôt jouer dans une farce de dernier niveau. Quelle pantalonnade !

Bref, autant en rire, voici notre Tartuffe qui partage maintenant le titre de Champion de la Terre avec Goldorak (minute 0 :29, ici), franchement, nous vivons une époque formidaaaaaaaaable, vive Goldomacaron !



Mais ce n’est pas tout…On sait que Goldomacaron, maître en communication (enfin, ça c’est moins sûr !), aime toucher, étreindre, embrasser les mères, soutenir les pères, il déclare aussi « être content avec les gens » (on s’en fout !), tellement content qu’il va vers n’importe qui. Lors de son déplacement à Saint-Martin, il a pris la pose en se frottant (littéralement) à des jeunes, l’un était en maillot de corps, l’autre était torse nu et affichait fièrement un magnifique doigt d’honneur, de la toute grande classe. Quelle belle image pour la France et quel respect aussi de la fonction présidentielle de la part de Goldomacaron !

On apprendra que « Le premier jeune sur la photo, chez qui il s'était invité, est récemment sorti de prison pour braquage et il l'avait enjoint samedi à trouver du travail. Le second, qui fait le geste déplacé, "est en CAP, il fait des études", a précisé M. Macron dimanche ». Était-ce là, la place du Président de la République ? Je ne crois pas, ce mec est indigne de la fonction qu’il occupe. S’est-il excusé, pas le moins du monde, il a préféré tirer sur Marine Le Pen qui avait écrit, à juste titre :

« On ne trouve même plus de mots pour exprimer notre indignation. La France ne mérite certainement pas cela. C’est impardonnable ! »



Au lieu de dire qu’il avait gaffé, ce qui pouvait encore être pardonné, le mec s’est embarqué dans des explications vaseuses et typiquement politiciennes, noooooon, a-t-il dit, si j’ai fait ça, c’est parce que « j’aime chaque enfant de la République » et « qu’on ne tirera rien des discours de haine »….et patati et patata. Quel nullard, aucun rapport avec les propos de Marine, rien n’indique, dans ses propos, qu’elle n’aimerait pas chaque « enfant de la République », ensuite, où voit-il de la haine dans cette phrase ? Macron fait de l’intox, comme d’habitude, rien de neuf sous le soleil resplendissant de la république macronienne de l’enfumage et de l’épate à deux balles.

Décidément le « gamin » se prend pour le nouveau petit père des peuples.

Sors de ce corps Staline, on ne veut plus de toi, cède ta place à Donald (Trump, pas Duck), on a besoin de lui, la France sombre, l’EU également !

Le menteur-politique vit toujours dans la fausse réalité qu’il a construite à son avantage et il nous la fait bouffer tous les jours.

A suivre…